La mère d'Emmanuel Macron, Françoise Noguès-Macron a fait carrière à la CPAM d'Amiens en tant que médecin-conseil.
Elle était spécialisé dans les questions de changement de genre, ca ne s'invente pas ...
La mère d'Emmanuel Macron, Françoise Noguès-Macron a fait carrière à la CPAM d'Amiens en tant que médecin-conseil.
— Babin Frank (@BabinFrank1) January 22, 2024
Elle était spécialisé dans les questions de changement de genre, ca ne s'invente pas ... pic.twitter.com/5jBprml1I2
Françoise Nogues a été médecin conseil à la CPAM. Elle a notamment travaillé dans le service des ALD (affection longue durée) Transidentité. L'ALD Trans ou ALD 31 permet de bénéficier du 100% pour changer de genre
— 🔴 Encore fallait-il que je le susse 🔴 (@AmarilloLeones) March 14, 2024
➡️Mais elle est aussi la mère d'un personnage très célèbre. Qui ? pic.twitter.com/8JZXE5ay43
pendant qu'on dérembourse les médicaments
Déserts médicaux, personnel de santé surchargé et système extrêmement coûteux pour pour les actifs...
Personne n'en parle = la perte irréversible de la fécondité
«La Haute Autorité de Santé échappe au pouvoir politique et n'a aucune légitimité reçue du peuple», a relevé Pascal Praud, dans son édito de l'émission L'Heure des Pros, ce vendredi, sur CNEWS, réagissant à l'idée de la HAS qui souhaite la gratuité de la transition de genre dès 16 ans.
Un rapport de la Haute Autorité de Santé fait des recommandations de bonnes pratiques pour les médecins et les soignants à l’encontre des personnes voulant changer de sexe. La transition de genre pourrait être prise en charge par la sécurité sociale, dès 16 ans.
C'est une révélation qui risque de faire grand bruit. La Haute Autorité de Santé recommande d’envisager les demandes de transition de genre des mineurs âgés de 16 à 18 ans, révèle Le Figaro ce jeudi. Nos confrères ont eu accès à un document recensant des recommandations de bonnes pratiques pour les médecins et les soignants à l’encontre des personnes souhaitant effectuer une transition de genre.
Dans ce rapport, il est recommandé de mettre en place un service public de la transition de genre avec l'appui du système de santé comme la médecine de ville, les médecins spécialisés, les centres hospitaliers et les psychologues.
Ces conclusions ont été rédigées par un panel d’experts qui sont, pour certains, des «militants transactivistes». En effet, on y retrouve Clément Moreau, psychologue transgenre exerçant au sein d’une association qui soutient l'accompagnement des transexuels, désigné co-président de ce groupe d’experts avec Nicolas Morel-Journel, chirurgien spécialisé dans les opérations de changement de sexe.
«La transidentité n’est plus considérée comme une pathologie»
«La transidentité n’est plus considérée comme une pathologie», rappelle la HAS mais préconise de rembourser intégralement le changement de genre. L'autorité publique indique qu'il est important de rendre accessibles les chirurgies «sans délai supplémentaire».
Parmi ces chirurgies : la rhinoplastie, le contouring du visage ou la greffe de cheveux qui visent à la «féminisation ou la masculinisation faciale». Mais aussi les chirurgies thoraciques comprenant la mammectomie ainsi que les prothèses mammaires, ainsi que les chirurgies génitales et de la voix. Plus surprenant, la Haute Autorité de Santé voudrait rendre gratuite une «dépilation» aux transexuels qui le demandent.
Concernant les mineurs, âgés de 16 à 18 ans, ils pourraient eux aussi voir leur demande de transition acceptée et remboursée. Toutefois, contrairement aux adultes qui ont un large panel de chirurgies, celle pratiquée pour modifier les parties génitales devra passer par une concertation pluridisciplinaire. Des représentants d’associations devront également être présents à ces réunions.
A ce jour, la chirurgie génitale n’est pas pratiquée en France avant 18 ans. «L’absence de soutien parental peut dégrader la santé mentale et mettre en danger la personne concernée», ajoute la Haute Autorité de Santé.
Concrètement, si les parents refusent à leur enfant de transitionner, ils pourront faire l'objet d'un signalement «pouvant aller jusqu’à une délégation partielle d’autorité parentale». Les parents risqueraient même d'être déchus de leur autorité parentale.
Ce document de travail est actuellement étudié par un comité de relecture. Ce dernier peut formuler des remarques avant la publication définitive des recommandations.
En Europe, plusieurs pays se montrent plus prudents que la France à ce sujet. Le Royaume-Uni a mis fin aux prescriptions des bloqueurs de puberté pour les mineurs et la Suède a elle aussi adopté une mesure similaire.
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