
Beyoncé chante l'hymne américain et le sénateur Chuck Schumer apprécie. A.WONG/AFP/GETTY IMAGE
PEOPLE - «The Times» dit l’avoir appris du porte-parole de l'orchestre des Marines...
Beyoncé nous a bien eus. Alors que le monde entier avait observé lundi, transi d’admiration, son interprétation de l'hymne national américain lors de l’investiture d’Obama, le Times britannique brise notre élan d’amour et de respect éternel, bien traduit par cet article de Buzzfeed, en nous apprenant que la star «chantait en play-back sur une version enregistrée préalablement».
«Un porte-parole du Marine Corp Band (l'orchestre des Marines qui joue pour le Président des Etats-Unis) a assuré qu'enregistrer une version «de secours» en studio était une procédure standard et que Beyoncé avait décidé peu de temps avant sa performance de compter sur la version studio plutôt que de prendre le risque de le chanter en direct sur le Capitole», écrit le Times.
Du coup, quand Beyoncé a enlevé l’oreillette sous vos regards ébahis –Ouah, elle n’en a même pas besoin– c’était un beau numéro d’actrice.
Ce n’est pas la première fois que l’interprétation de The Star-Spangled Banner éblouit avant de décevoir. En 1991, en pleine guerre du Golfe, l’interprétation époustouflante de Whitney Houston pendant le Superbowl était aussi en play-back, avait-on appris d’AP. Depuis 1993, le play-back est d’ailleurs obligatoire au Superbowl pour les artistes qui se risquent au périlleux exercice de l’hymne considéré comme l’un des plus difficiles à chanter au monde.
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