
« C’est de la poudre aux yeux, dénonce la porte-parole du collectif. Il s’agit de la première phase de leur plan final qui vise à exploiter les réserves de schiste, non pas le pétrole traditionnel. Ils viennent à Jouarre justement parce qu’ils connaissent le sous-sol et ses richesses. Ils n’ont pas besoin de le cartographier ». Elle s’interroge : « Pourquoi auraient-ils déjà déboursé autant d’argent (12 millions d’euros à Jouarre et 100 millions dans l’ensemble du bassin parisien) sans être certain de la rentabilité de cet investissement? »
Elle ajoute : « Nous ne les accusons pas de faire des choses illégales, nous restons simplement vigilants parce que nous pensons qu’ils attendent un changement de la loi ». Ce revirement législatif est suspendu, au plus tard le 17 octobre prochain, à la décision du Conseil constitutionnel qui, suite à une demande du Conseil d’État le 12 juillet dernier, va examiner une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par la compagnie pétrolière texane Schuepbach.
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