Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

MOINS de BIENS PLUS de LIENS

MOINS de BIENS PLUS de LIENS

L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


Des Humains Génétiquement Modifiés pour lutter contre le réchauffement climatique

Publié par Brujitafr sur 15 Mars 2012, 23:48pm

Catégories : #SCIENCES - TECHNOLOGIE

Avec ce projet eugéniste, on nage en plein délire : Il s'agit de transformer les humains en nains végétariens à yeux de chats afin de réduire les effets des émissions de carbone.


On aurait pu croire que toutes les limites de l'ânerie avaient déjà été franchies depuis belle lurette par les Torquemada de la lutte contre le réchauffement climatique prétendument anthropique. Il y avait ainsi eu, sans prétendre à l'exhaustivité :

-Cette étude de l'Université de Dublin, publiée dans The Telegraph qui proposait de donner aux bovins un supplément alimentaire à base d'Omega 3 pour en réduire les flatulences qui sont - chacun le sait - bien plus efficaces que le CO2 pour réchauffer la planète.

-Cette « étude » de l'Université d'État de l'Oregon, financée par la NASA (oui !, plus précisément le Jet Propulsion Laboratory du National Aeronautics and Space Administration), où d'innommables « scientifiques » avaient osé calculer - à grand renfort d'équations s'il vous plaît - les effets cumulés de l'héritage carbone des individus par la reproduction. Cet article avait été distingué par l'attribution, par Jacques Duran, d'un « bonnet d'âne » de l'irremplaçable site Pensée Unique. On peut voir aussi ceci.

-Cette « étude » de la London School of Hygiene & amp; Tropical Medicine (abstract) qui gaspillait les deniers publics en étudiant - très sérieusement - l'impact de l'obésité sur les émissions de « gaz à effet de serre ». Voir ceci, si vous y tenez.

-Cette « étude » de l'université de Victoria, rapporté par Tanya Katterns qui comparait les « empreintes carbone » des animaux de compagnie. Cette étude établissait par exemple qu'un chien moyen avait une « empreinte carbone » un peu supérieure à la moitié d'un 4×4. J'avais à cette époque commenté cet article dans deux articles du Post. On peut regarder ceci et cela.

Une étape nouvelle de ce concours planétaire de stupides énormités vient d'être franchie par une étude de l'université de New-York. Cette étude fera date car ses auteurs proposent, ni plus ni moins, une « réingénierie » de l'espèce humaine. Ici, l'OGM est enfoncé, pulvérisé... Place à l'HGM (Humain Génétiquement Modifié) qui sera re-façonné pour en diminuer l'empreinte carbone.

L'étude est rapportée dans The Atlantic et n'a pas échappé à l'irremplaçable WattsUpWithThat. L' « auteur principal » de l'étude, S. Matthew Liao, est philosophe, professeur de bio-éthique à l'Université de New-York (Oui oui !).

Je n'ai pas lu le papier jusqu'au bout. Vous jugerez vous-même si c'est utile après avoir lu les quelques passages qui suivent :
Le titre : « Comment une reconfiguration du corps humain pourrait combattre le changement climatique ».
L'introduction : « Des médicaments destinés à vous aider à éviter de consommer de la viande, à la modification génétique vous donnant des yeux de chat pour réduire le besoin de lumière, une interview sauvage concernant les changements que les humains pourraient s'appliquer à eux-mêmes pour combattre le changement climatique. »

Quelques passages du genre : « Les parents pourraient faire usage de l'ingénierie génétique ou des traitements hormonaux dans le but de donner naissance à des enfants plus petits, réclamant moins de ressources » ou encore « Imaginons que je sache que je devrais envoyer un chèque à Oxfam [NdT : un très gros conglomérat international d'ONG] mais ma volonté n'est pas assez forte, et il se pourrait que je n'envoie jamais ce chèque.

Mais si j'augmente mon empathie au moyen de médicaments, alors peut-être pourrais-je surmonter ma faiblesse et envoyer ce chèque. » [NdT : capito ?] Ou enfin [NdT : l'auteur se place dans la perspective d'un rationnement par la définition d'une allocation fixe de gaz à effet de serre par famille] : « Si cela devait être le cas, la réingénierie humaine pourrait donner aux familles le choix entre deux enfants de taille moyenne, ou trois enfants de petite taille... (inversement) une famille pourrait vouloir un enfant qui devienne un excellent joueur de basket, et elle pourrait utiliser la réingénierie humaine pour avoir un [ndt : seul ?] enfant vraiment très grand. »

Bien entendu, l'auteur précise plusieurs fois qu'il ne souhaite pas que toutes ces propositions de progrès soient appliquées de manière coercitive. Ouf, me voila rassuré. Mais il faut bien considérer que l'aspect coercitif n'est pas un ingrédient essentiel dans une société « correctement » conditionnée par le formatage des consciences auquel les nouvelles générations sont soumises dès l'école...



www.contrepoints.org/2012/03/15/73234-des-humains-genetiquement-modifies-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique

Commenter cet article

L
<br /> Bue du Poirier, rue sac<br /> longchamp pas cherdes Gravilliers, des sac longchamp barricades s'ébauchèrent. Devant sac longchamp<br /> pliage la porte Saint-Martin, nn Sac à Main Longchamp jeune homme,<br /> arméLongchamp Le Pliage moyen<br /> d'une carabine<br />
Répondre
A
<br /> la voici :-)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Article Londres, Septembre 15, 2011<br />     En Octobre, le premier test à une altitude de 1 km<br />     Un volcan artificiel pour sauver l'expérience du climat<br /> <br />     Le dernier recours pour lutter contre le réchauffement climatique? Ballons géants qui dévient les rayons du soleil libérant une suspension de particules chimiques<br /> "ligth-proof"<br /> <br /> (Rinnovabili.it) - La géo-ingénierie ne cesse d'étonner. Le plan B final pour sauver la planète contre les effets du réchauffement climatique vient d'une équipe de scientifiques britanniques<br /> d'Oxford et de Cambridge et est une fois de plus incroyable. L'équipe de chercheurs étudie la faisabilité d'un «volcan artificiel» à «lancer» dans la stratosphère, et qui peut, avec ses<br /> éruptions, libérer des particules quotidiennes de blindage contre les rayons solaires. L'idée serait de créer un ballon spécial géant - de la même taille que le stade de Wembley en Angleterre- le<br /> laisser suspendu à vingt mille pieds de haut à travers un long tube, à travers duquel, tous les jours seraient transportés puis relâchés dans les centaines de couches atmosphériques des tonnes de<br /> particules d'argile, des sels ou des oxydes métalliques et de l'eau. La suspension de gouttelettes, les scientifiques expliquent, empêcherait en partie le passage des rayons du soleil.<br /> <br /> Un premier test aura lieu en Octobre dans un aérodrome désaffecté de Sculthorpe, North Norfolk avec un ballon dirigeable, le même type normalement utilisé par les agences de publicité. Le<br /> prototype du volcan sera amené à une altitude de seulement 1000 mètres et sera relié à la terre par un tuyau d'arrosage simple qui va déchargera uniquement de l'eau dans l'air. Employant 10-20<br /> volcans flottants, capables de verser dans l'atmosphère 10 millions de tonnes de particules chacun, on pourrait obtenir une diminution globale de 2 ° C de température, disent les scientifiques.<br /> N’étant pas dépourvu de critiques, le projet a néanmoins été soutenu par Sir Martin Rees, l'ancien président de la Royal Society, qui en 2009 s'est prononcé en faveur de l'utilisation de la<br /> géoingénierie en l'absence de résultats concrets de la scène politique. <br />
Répondre
B
<br /> <br />  merci pour votre contribution<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> Merci, effectivement la science déconne vraiment !!! Sont tarés !!! ça me fait penser à un article que je viens de lire sur un blog italien, je vous le laisse si cela vous intéresse et je traduis<br /> volontiers :-)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Articolo Londra, 15 settembre 2011<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ad ottobre il primo test a 1km d’altitudine<br /> <br /> <br /> Un vulcano artificiale per l’esperimento salva clima<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L’ultima spiaggia per combattere il Global Warming? Mongolfiere giganti che deviano i raggi solari rilasciando una sospensione di particelle chimiche “ligth-proof”<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> (Rinnovabili.it) – Le geoingegneria non smette di stupire. L’ultimo piano B per il salvataggio del Pianeta dagli effetti del surriscaldamento globale arriva da un team di scienziati<br /> britannici di Oxford e Cambridge ed ha ancora una volta dell’incredibile. La squadra di ricercatori sta studiando la possibilità di realizzare un “vulcano artificiale”<br /> da “lanciare” nella stratosfera che possa, con le sue eruzioni, rilasciare quotidianamente delle particelle schermanti i raggi solari. L’idea sarebbe quella di creare una speciale<br /> mongolfiera gigante – della stessa ampiezza dello stadio britannico di Wembley – da lasciar sospesa a ventimila metri di altezza tramite un lunghissimo tubo;<br /> attraverso quest’ultimo, ogni giorno verrebbero trasportate e quindi rilasciate nello strato atmosferico centinaia di tonnellate di particelle di argilla, sali o ossidi metallici<br /> e acqua. La sospensione di goccioline, spiegano gli scienziati, impedirebbe parzialmente il passaggio dei raggi solari.<br /> <br /> <br /> Una prima prova si svolgerà ad ottobre in un aeroporto in disuso a Sculthorpe, a nord di Norfolk, con un dirigibile a “palloncino”, dello stesso tipo impiegato normalmente dalle agenzie<br /> pubblicitarie. Il vulcano prototipale sarà portato in realtà ad altitudine di soli 1.000 metri e sarà collegato a terra con un semplice tubo da giardinaggio che scaricherà in aria<br /> soltanto acqua. Impiegando 10-20 vulcani galleggiati, in grado di riversare nell’atmosfera 10 milioni di tonnellate di particelle ognuno, si potrebbe ottenere un calo globale 2 °C della<br /> temperatura, sostengono gli scienziati. Per quanto non esente da criticità, il progetto ha ricevuto l’appoggio di sir Martin Rees, l’ex-presidente della Royal Society, che nel 2009 si è detto<br /> favorevole al ricorso alla geoingegneria in mancanza di risultati concreti dal fronte politico.<br />
Répondre
B
<br /> <br />  effectivement la traduction serait souhaitable = nous vous remercions<br /> <br /> <br /> <br />

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents

weblogs