Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

MOINS de BIENS PLUS de LIENS

MOINS de BIENS PLUS de LIENS

L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


Le Forum économique mondial ( #WEF ) exige une interdiction mondiale des aliments cultivés localement pour atteindre l’objectif « zéro émission nette » + Comment faire un jardin en permaculture ? Les bases indispensables à connaître.

Publié par Brujitafr sur 20 Mars 2025, 16:47pm

Catégories : #ACTUALITES, #POLITIQUE, #NATURE - ECOLOGIE, #NouvelOrdreMondial

Le Forum économique mondial (WEF) exige que les gouvernements du monde entier interdisent aux membres du grand public de cultiver des aliments à domicile afin de soi-disant réduire les « émissions ».

L’organisation mondialiste affirme que la production alimentaire locale contribue au « changement climatique ».

Le WEF soutient que l’interdiction des aliments cultivés localement aidera les gouvernements à atteindre leurs objectifs d’atteindre le « zéro émission nette » d’ici 2030.

Afin de respecter les objectifs « Net Zero » du WEF, les gouvernements doivent réduire drastiquement les « émissions de carbone » d’ici 2030 et les éliminer complètement d’ici 2050.

Selon les soi-disant « experts » à l’origine d’une récente étude du WEF, les chercheurs auraient découvert que « l’empreinte carbone » des aliments cultivés localement « détruit la planète ».

 

En conséquence, le WEF et d’autres fanatiques mondialistes du climat exigent désormais que les gouvernements interviennent et interdisent aux individus de cultiver leur propre nourriture afin de « sauver la planète » du « réchauffement climatique ».

Les mondialistes insistent sur le fait que permettre aux citoyens de cultiver leur propre nourriture compromettra les efforts visant à atteindre les objectifs du programme « Net Zero » dictés par le WEF et les Nations Unies (ONU).

L’étude a montré que les produits du jardin à la table génèrent une empreinte carbone bien plus importante que les pratiques agricoles conventionnelles, comme celles des fermes rurales.

Cette recherche, menée par des scientifiques financés par le WEF à l’Université du Michigan , a été publiée dans la revue Nature Cities.

 

L’étude a examiné différents types de fermes urbaines pour déterminer la quantité de dioxyde de carbone (CO2) produite lors de la culture des aliments.

En moyenne, une portion de nourriture issue de fermes traditionnelles crée 0,07 kilogramme (kg) de CO2, selon l’étude.

Cependant, les chercheurs financés par le WEF affirment que l’impact sur l’environnement est presque cinq fois plus élevé, soit 0,34 kg par portion pour les jardins urbains individuels.

Le premier auteur de l’article, Jake Hawes, a déclaré :

 

« Le contributeur le plus important aux émissions de carbone sur les sites d’agriculture urbaine que nous avons étudiés était l’infrastructure utilisée pour cultiver les aliments, des plates-bandes surélevées aux abris de jardin en passant par les sentiers. Ces constructions ont nécessité beaucoup d’investissement en carbone. »

L’étude a recruté 73 sites d’agriculture urbaine à travers le monde.

 

Ces fermes se trouvaient en Europe, aux États-Unis et au Royaume-Uni.

Les chercheurs affirment avoir mené une évaluation complète du cycle de vie des infrastructures, de l’irrigation et des approvisionnements du site.

 

Hawes et ses coéquipiers ont regroupé les sites d’agriculture urbaine en trois catégories : les jardins individuels ou familiaux, y compris les jardins familiaux ; les jardins collectifs, tels que les jardins communautaires ; et les fermes urbaines plus grandes à vocation commerciale.

Les chercheurs ont également découvert d’autres facteurs qu’ils considèrent comme « dangereux » en ce qui concerne leur impact sur la prétendue « crise climatique ».

Un compost mal géré et d’autres intrants synthétiques contribuent au « réchauffement climatique », ont-ils averti.

Ils ont également indiqué que les fruits étaient 8,6 fois plus « écologiques » lorsqu’ils étaient cultivés de manière conventionnelle que dans une ville.

 

Comment faire un jardin en permaculture ?

Les bases indispensables à connaître.

 
Découvrez les conseils d’Arthur Motté pour cultiver votre potager bio sur un petit espace ! Rencontre avec un jeune jardinier plein de ressources.

Commenter cet article

D
Je suis contre cet avis, empêchez aussi les usines de production de tous genres si c'est vrai que les cultures agricoles des gazs à effet de serre. Pour moi vous voulez tout simplement banir l'existence de l'Etre humain sur la terre
Répondre
A
gardé votre fou,,,,merci
Répondre

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents

weblogs