À peine a-t-il intégré son hôtel particulier que François Bayrou a procédé à de gros changements.
Un Premier ministre frileux ?
Fin du suspense, François Bayrou est désormais Premier ministre ! Une annonce qui n’a pas surpris les Français, qui depuis plusieurs jours voyaient circuler le nom de l’homme politique. Ainsi, comme les médias l’avaient prédit, le maire de Pau a intégré Matignon en fin de semaine dernière.
Une passation de pouvoir glaciale, au sens propre comme au figuré. Ce sont d’ailleurs les basses températures qui ont dû motiver l’étonnante demande du bras droit d’Emmanuel Macron. Il faut dire que, tandis que le mercure affichait entre 3 et 7° C à Paris, il frôlait les 15 degrés à Pau. De quoi brusquer François Bayrou.
Ainsi, à peine a-t-il intégré ses appartements que le Premier ministre a sollicité le personnel. Il a ainsi demandé à ce qu’un feu de cheminé soit allumé dans son bureau. Une demande courante, penserez-vous ! Or ce n’est pas le cas.
Ces décisions de François Bayrou qui questionnent
En effet, la cheminée de son bureau n’avait plus été utilisée depuis des décennies. Pour lui allumer un feu, le personnel a dû se mettre au diapason, ramoner le foyer et effectuer quelques travaux pour rendre l’âtre opérationnel.
Le remue-ménage provoqué par les travaux n’a pas manqué d’alerter, si bien que la nouvelle n’a pas tardé à s’ébruiter. Et quand certains y voient là une manière comme une autre de se réchauffer, d’autres supposent une énième extravagance de la part du Premier ministre.
À peine nommée, celui-ci s’était en effet fait remarquer en effectuant un déplacement express en jet privé jusqu’à Pau. Un vol qui a provoqué de vives réactions chez les citoyens et les politiques. La remise en état de la cheminée ne fait que les conforter dans leurs impressions…
Bayrou utilise un jet privé pour se rendre à Pau
Le récent déplacement de François Bayrou à Pau en jet privé a déclenché une vague de critiques virulentes, notamment en raison du coût et de la symbolique du trajet. Ce vol de 52 minutes, effectué le 16 décembre 2024, a non seulement suscité des interrogations écologiques mais également des débats sur la gestion des priorités en pleine crise à Mayotte.

© Capture Youtube
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