Emmanuel Macron a fait une confidence inattendue sur son épouse, comme l'a rapporté Le Monde, ce vendredi 24 mars. Une plaisanterie qui n'est pas passée inaperçue.
(....) Depuis quelques semaines, les Français sont dans la rue pour exprimer leur mécontentement concernant la réforme des retraites. Mercredi 22 mars, afin de tenter d'apaiser la crise, Emmanuel Macron a accordé un entretien télévisé et celui-ci a fait parler. A la suite de cette interview, le chef de l'Etat n'aurait pas demandé leur avis à ses supports, comme l'a révélé Le Monde, ce vendredi 24 mars. "Vous a-t-on jamais dit que vous n'étiez pas bon ?", a demandé le journaliste. Ce à quoi le principal concerné a immédiatement répondu : "La seule qui me le dit, c'est Brigitte. Et elle n'est pas là". Une plaisanterie très remarquée et qui met en avant le fait que seule Brigitte Macron peut ouvertement critiquer son époux.
(...) Ce n'est pas la première fois que le chef de l'Etat fait une confiance concernant la femme qui partage sa vie. En mars 2022, alors qu'il se trouvait en déplacement en Charente-Maritime, Emmanuel Macron avait été interpellé par un habitant qui avait souhaité lui parler de ses animaux de compagnie, des tortues. "Monsieur le Président, j'ai deux tortues : Brigitte, elle est gentille, mais Manu, il râle un peu", avait-il d'abord affirmé. Ce à quoi le président de la République, très amusé par cette anecdote, avait simplement répondu : "Ce n'est pas loin de la réalité !". Brigitte Macron est le premier soutien de son époux et ce n'est pas Emmanuel Macron qui dira le contraire. A quelques jours du premier tour des élections présidentielles, le chef de l'Etat avait tenu son premier meeting à la Défense Arena. Pour cette occasion spéciale, il avait souhaité faire une déclaration à son épouse, présentée comme "l'évidence". En effet, il avait déclaré : "Celle qui m'importe le plus, qui m'apporte le plus dans cette singulière aventure de vie, Brigitte". Des mots qui mettent en avant l'importance de Brigitte Macron dans sa vie puisque cette dernière est aussi sa première conseillère.
Emmanuel Macron voulait apaiser les tensions en réalisant cette interview mais cela n'a pas été le cas. L'utilisation de l'article 49.3 pour l'adoption de cette loi a été très remarquée et les Français n'hésitent pas à faire entendre leur mécontentement. Une situation qui a même poussé le roi Charles III à reporter sa visite, initialement prévue du 26 au 29 mars.
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