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Avant d'être ultra-sioniste, Manuel Valls était pro-palestinien ! - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
Une pute qui se vend au plus offrant... Farouche pro-palestinien en 2008, Manuel Valls est subitement devenu pro-israélien, au point d'interdire en 2014 les manifestations pro-palestiniennes dans sa
L'ancien Premier ministre français Manuel Valls vient d’annoncer son intention de quitter le Parti socialiste, auquel il a adhéré pendant 37 ans, sans toutefois mettre de côté la possibilité de «siéger dans le groupe En Marche».
L’ancien numéro deux français et député de l'Essonne Manuel Valls a déclaré sur RTL qu’il quittait le Parti socialiste, auquel il est demeuré fidèle pendant 37 ans.
«Une page pour moi se tourne. Je veux siéger au cœur de cette majorité, par cohérence. Une partie de ma vie politique s'achève. Je quitte le Parti socialiste, ou le Parti socialiste me quitte», a-t-il lancé au micro de RTL.
La bombe #Valls. (non) pic.twitter.com/nzI9YrMaQU
— Paul Guyonnet (@Pauluskupa) 27 июня 2017 г.
Cette déclaration intervient le jour du vote des 577 députés de l'Assemblée nationale qui désigneront ce mardi leur futur Président.
«Je ne siégerai pas dans un groupe où il y aurait des ambiguïtés et où l'on ne voterait pas la confiance au gouvernement. Moi, je voterai la confiance au gouvernement le 4 juillet prochain», a poursuivi M. Valls.
«Je souhaite être clairement dans la majorité», a-t-il ajouté, n’excluant pas ainsi un éventuel ralliement au groupe de La République en Marche dirigé par Richard Ferrand.
«Siéger dans le groupe En Marche, c'est une possibilité», a-t-il évoqué.
"Siéger dans le groupe En Marche, c'est une possibilité", dit @manuelvalls dans #RTLMatin avec @EliMartichoux pic.twitter.com/4rOZWPQyYT
— RTL France (@RTLFrance) 27 июня 2017 г.
Rappelons qu'en pleine campagne présidentielle l'ex-Premier ministre socialiste a annoncé qu'il voterait pour le centriste Emmanuel Macron, tournant ainsi le dos à son propre camp. Pour expliquer sa décision, il avait alors souligné «l'échec de la stratégie» de Benoît Hamon et «un risque de victoire du Front national».
L'intégralité de l’interview de M. Valls.
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