On a vu précédemment que la première fresque de "Bank of América" à Charlotte en Caroline du Nord contient divers codes ésotériques de type maçonnique.
Elle s'intitule "The great Work" (le grand oeuvre) et dans le contexte de notre époque, elle raconte comment l'élite illuministe se prépare à présenter au monde son "élu".
La seconde fresque de Bank of America se déroule dans un futur proche, elle s'intitule "Chaos/Creativity". Le choix de ces 2 titres n'a rien d'anodin, ils font référence au travail alchimique qui consiste à transformer les métaux vils en "or philosophal".
"le grand oeuvre alchimique" est un processus extrêmement long pouvant durer des années voir des décennies. Au pied de la lettre, ce travail consiste à obtenir de l'or par transmutation.
Mais pour l'élite occidentale d'antan, ce travail concernait en réalité la création et la manipulation des énergies subtiles du corps humain. Quand l'alchimiste de base cherchait à transmuter la matière, l'alchimiste véritable faisait de son corps un creuset pour la manifestation du divin. Le premier avait quelques grammes d'or pour récompense d'une vie de travail quand le second pouvait atteindre l'immortalité comme l'attestent les légendes encore vivaces de Nicolas Flamel et de Fulcanelli.
De ce point de vue, le plan mondialiste exposé dans ces fresques se voudrait donc une allégorie du processus alchimique aboutissant à l'incorruptibilité, c'est à dire à quelque chose qui résistera à l'épreuve du temps. Autrement dit, ces fresques désignent bien les étapes nécessaires à l'accomplissement du "Novus ordo seclorum", un nouvel ordre pour les siècles.
D'ailleurs, on pourra vérifier que le grands sceau des états unis qui contient cette devise, contient également l'expression latine "Annuit Coeptis" inspirée des aneiedes de Virgile et qui peut se traduire par " notre oeuvre (ou projet) est approuvée". Celui qui approuve le projet mondialiste n'étant nul autre que Jupiter "le roi des dieux" représenté par l'oeil de l'illumination au sommet de la pyramide (symbole également présent dans la première fresque).
Au dos du grand sceau des USA, nous trouvons également l'aigle qui symbolise le phénix qui renaît de ses cendres, c'est à dire le corps subtil et incorruptible de l'adepte ayant passé le stade de l'initiation ou encore celui de l'alchimiste qui par le biais d'une " destruction libératrice" est parvenu à transmuter les composantes de son corps charnel en un "corps de gloire", le chaos initial laissant place à un ordre de perfection (d'ailleurs "Ordo Ab Chaos" est une autre devise illuministe).
L'intitulé des fresques ainsi que leur contenu est donc corrélé à la fois au travail alchimique et à divers autres symboles occultes américains. Un travail de longue haleine est donc mené depuis des siècles pour amener une transformation globale à l'échelle de tout le genre humain.
De ce point de vue, la première fresque intitulée "le grand oeuvre" peut également se lire comme la mise en place du système pyramidal dont la base est la franc maçonnerie spéculative. Instaurée à partir du XVIII ème siècle, peu après la grande convention satanique de 1717 dont l'un des buts principaux fut d'abolir la croyance au diable (voir entretien avec Roger Morneau), la franc maçonnerie prend sa base dans le petit peuple recrutant et contrôlant les éléments les plus intelligents afin d'en faire les rouages du grand oeuvre qu'est la transmutation des vils métaux (les hommes) en or alchimique (les illuminés), en d'autres termes, il s'agirait d'une oeuvre prométhéenne consistant à apporter la lumière aux hommes.
Évidement, à ce stade il faut rappeler que nous sommes dans un schéma contre-initiatique où le plagiat et l'inversion sont la règle. La lumière que le nouvel ordre mondial prétend apporter aux hommes n'est rien d'autre qu'une forme très poussée d'esclavage qui fait d'eux des objets de consommation (comme l'avoue Jacques Attali) soumis par le biais de la technologie à diverses influences démoniaques telles la biochip.
La fresque "The Great Work" nous informe que la première partie du projet mondialiste entamé depuis 3 siècles se terminera au moment où un enfant fruit de ce réseau occulte sera présenté au monde. Cette époque sera marquée par le dévoilement du soleil noir puis l'apparition d'une comète dans le ciel à une époque ou commencerons des guerres et des troubles civils ( représentés par le feu qui consume l'olivier).
Aprés ces présages célestes vient la deuxième partie du "grand oeuvre" néo-mondialiste, intitulé Chaos/Creativity la deuxième fresque expose un contexte apocalyptique où une foule de gens disparates sont réunis derrière les murs de ce qui semble être un camp. Nous voyons entre autres, des militaires, des protestataires et des religieux (un évêque et une nonne).
C'est une ère de confusion et d'oppression, les protestataires brandissent des pancartes blanches, cela signifie qu'ils sont mécontents mais qu'ils ne peuvent s'exprimer. Les panneaux de signalisation sont également blancs, cela veut dire qu'il n'y a nulle part où aller.
On distingue un homme décharné, ce qui est le signe d'une période de famine ainsi qu'un homme en tenue de protection "hazmat" ce qui signifie que ces évènements se déroulent dans le contexte d'une grande épidémie.
Là encore le contenu de ce tableau renvoie aux fresques de l'aéroport de Denver. Dans les 2 cas, sont évoqués une ère de conflits et d'épidémies, où règne la loi martiale alors que la civilisation tombe en ruines.
C'est la période de transition où seront employés les 600 camps de concentration que la FEMA destine à 12 millions d'américains. Ce sera une ère de Chaos (ce qui justifie le titre) mais également une ère de création (idem) puisque c'est à partir de cette population concentrationnaire que germera la future humanité représentée par la femme enceinte au centre de l'image.
Les 3 drapeaux placés sur la droite représentent, les 3 phases du travail alchimique, de ce pont de vue, l'aigle est le phénix, le corps glorieux qui renaît à partir des cendres de l'ancien.
On remarque que l'horizon est obstrué par d'innombrables cheminées d'où jaillit de la fumée. Il s'agit des incinérateurs où sont brûlés les corps de ceux qui meurent dans ces camps.
Un gigantesque filet est suspendu entre la tête des gens et un astre symbolisant le soleil. Il s'agit tout simplement de la représentation des chemtrails qui sont destinés à nous protéger des rayons nocifs du soleil.
Les chemtrails ont étés mis en place depuis des années car le champ magnétique terrestre qui nous protège des radiations solaires est en train de faiblir à cause de l'influence de la planète X.
Dans le contexte qui est décrit ici, les radiations solaires sont plus intenses et nécessitent un bouclier encore plus renforcé.
Le soleil quand à lui est représenté sous la forme d'une grosse boule de feu d'où jaillissent des flammes, autrement dit des éruptions solaires. Le soleil contient plusieurs corps d'hommes et de femmes, c'est à dire qu'il est le siège de forces de polarité masculine et féminine imbriquées les unes dans les autres.
Sans rentrer dans les détails, pris dans ce contexte cette image correspond au symbole universel et ambivalent qu'est le svastika.
Le svastika est universel car contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'un signe spécifiquement hindou (et encore moins nazi). En effet, c'est tout autour du monde qu'il a été retrouvé gravé dans des poteries, des assiettes, des pierres, sur le fronton des temples et à même à l'intérieur des églises, d'ailleurs Notre Dame de Paris abrite des svastikas.
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Source : http://atlantides.free.fr/svastikas.htm |
Le svastika remonte à la préhistoire, c'est le plus ancien symbole humain connu. Il sert à représenter des notions multiples, c'est à la fois l'axe du monde et le souffle de vie mais dans le cas qui nous préoccupe ici, c'est sous son aspect solaire qu'il faut l'appréhender.
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Les différentes représentations du svatiska concordent avec le schéma des éruption solaires (en haut à gauche). |
Peu de gens le savent mais le soleil présente un champ magnétique quadripoliare avec 2 pôles nord et 2 pôles sud situés au niveau de l'équateur. Les lignes de force de ce champ sont tordues du fait de leur interaction avec le gaz ionisé de l'environnement Ces lignes canalisent les éruptions solaires, cela veut dire que si de multiples éruptions surviennent à la surface du soleil, elles seront visibles sous cette forme depuis la Terre.
Et on a toutes les raisons de croire que ce fut le cas par le passé puisque diverses civilisations qui n'avaient aucun contact entre elles, ont reproduit ce motif en lui attribuant des vertues magiques.
Ces éruptions auraient étés causées par le passage du soleil noir (la planéte X ) à proximité du soleil et elles auraient entraîné par la même occasion une inversion provisoire du sens de rotation de la Terre. Le soleil se serait alors levé à l'ouest, ce qui concorde avec ce qui est raconté dans le Timée de Platon.
A cette époque, tout autour du monde, les gens auraient donc observé 4 bras (et même plus) autour du soleil, ce qui rappelle beaucoup l'image de Kali, déesse de la mort et de la destruction dont le retour marquera la fin du cycle actuel.
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Si l'astre de la seconde fresque représente bien le soleil agité de multiples soubresauts lors du passage de la naine brune, reste à déterminer pourquoi il contient des couples mâles et femelles. C'est le savoir Traditionnel qui nous fournira cette réponse. On a déjà déduit que dans son sens premier, le Svatiska désignait l'état du soleil au moment de multiples sursauts éruptifs, une étude plus poussée de ce signe révèle qu'il consiste en la combinaison des principes masculin (créateur/émetteur) et féminin (récepteur puis émetteur à son tour).
On retrouve donc sous forme allégorique le processus à la base des éruptions solaires : 2 boucles de champ magnétique émergent à la surface du soleil et créent à leur base 2 taches sombres de polarités opposées, ce qui a pour résultat une éjection de masse coronale pouvant atteindre la Terre.
Le décryptage symbolique de la seconde fresque de Bank of Amerika révèle donc un futur proche où l'activité solaire est à son comble. Les multiples tempêtes solaires ont détruit la société civilisée. les survivants sont contraints de se réfugier dans des camps de concentration où règne la loi martiale. C'est une époque d'oppression où règnent la maladie, la famine et la désolation.
Du point de vue du grand oeuvre illuministe, elle correspond à la phase alchimique de la "destruction libératrice", celle où les éléments indésirables sont éliminés tandis que les plus aptes sont transmutés vers d'autres états. C'est le cheptel humain qui constitue la "primae materia" de ce processus initié il y a plus de 3 siècles à partir des arrières loges occultes et ce seront les camps de concentration du NOM qui serviront de creuset à cette opération alchimique de grande envergure.
Ainsi, à l'époque du grand chaos universel, la sinistre farce illuministe prendra tout son sens. L'humanité sera littéralement calcinée par les éruptions solaires et les incinérateurs des camps (oeuvre au noir) puis lessivée et réduite par les conflits et les maladies (oeuvre au blanc ou au jaune, un code de couleurs contenu dans la fresque).
L'oeuvre au rouge, la phase finale où les éléments qui subsistent sont portés à incandescence ou en d'autres termes, deviennent "illuminés" est décrite dans la troisième et dernière fresque qui orne le hall de Bank Of Amerika.
Qui aurait pu croire que ces fresques pouvaient contenir autant d'informations concernant le plan de l'élite occulte ?
Et surtout qui, sinon ces illuminés imbus d'eux mêmes, aurait pu croire que le public soit assez bête pour ne pas voir ce message qu'ils ont caché à la vue de tous ?
Désormais, ces fresques de Bank Of America sont promises au même avenir que d'autres oeuvres sinistres comme celles de l'aéroport de Denver. Des milliers de gens les contemplent et s'interrogent. Peut être qu'un jour la vérité finira par jaillir...
À suivre en troisième partie...
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