Exécution de CHEVALINE, un secret d’Etat ? L’identité de X… (l’ancien pilote de la Royal Air Force, aujourd’hui pilote de bicyclette à Chevaline) est-elle un secret d’Etat ?
Plus je m’intéresse à l’histoire du drame de Chevaline, et plus je crains que Saad Al-Hilli ait pu être pris pour cible pour des activités plus ou moins secrètes ou “sensibles” liées, de près ou de loin, à ce que l’on pourrait définir comme l’industrie de la défense.
En d’autres termes, la question serait de comprendre s’il travaillait sur un contrat – secret, ou pas – pour de grandes compagnies britanniques du secteur militaire.
De toute évidence, dans le passé, il a eu énormément d’employeurs, et certains ont été très prestigieux : ainsi, M. Al-Hilli aurait-il travaillé pour le Centre de recherches Rutherford Appleton, dès les années 1980.
M. Al-Hilli aurait aussi travaillé pour Surrey Satellite Technology Limited (SSTL): est-ce que cela a pu faire de lui la cible d’un assassinat?
Faisait-il partie (ou certains le suspectent-ils de faire partie) de quelque équipe impliquée dans des projets de défense aéronautique ou spatiale?
Concevait-il des satellites espions pour des clients, des sociétés ou des Etats, et que ce soit à des fins commerciales, d’espionnage ou de guerre?

La victime
Saad Al-Hilli aurait-il aussi travaillé sur un accélérateur de particules géant? C’est ce que l’on commence à affirmer, ou à murmurer. Il est probable que de telles affirmations vont se multiplier, et que les pièces du puzzle finiront par s’assembler.
Le blog de Robert Pioche a tout de suite émis l’hypothèse que cet attentat est l’oeuvre d’un tueur professionnel, ou de plusieurs tueurs professionnels. Cette hypothèse, peu à peu, semble confirmée.
Certes, les enquêteurs continuent à s’entretenir avec M. Zaid al-Hilli, le frère de Saad, en qualité de témoin au sujet des allégations selon lesquelles il aurait été impliqué dans une querelle avec son frère cadet, au sujet de l’héritage paternel. Mais…
Mais que devient “l’ancien de la RAF” ?

Les policiers examinent la voiture, sur les lieux de la tuerie
L’ancien de la RAF est capable de reconnaître, en un cadavre défiguré,
un homme qu’il a aperçu trente minutes auparavant, pendant un bref instant, de dos.
Celui dont on parle de moins en moins, c’est “l’ancien de la RAF”.
Or, plus je lis ce que les journalistes disent de lui ici ou là, ça ne “colle” pas trop.
Un exemple?
Dans la presse anglaise, ici :
http://www.thedailybeast.com/articles/2012/09/06/french-police-investigate-gruesome-murder-in-the-alps.html
“He recognized the cyclist as a rider who had overtaken him on the climb about 30 minutes earlier—now shot in the head”.
Donc, selon cet article, “l’ancien de la RAF” a reconnu un cycliste, qui l’avait doublé trente minutes auparavant, bien que ce cycliste ait une balle dans la tête.
Je dis simplement que l’ancien de la RAF a donc une mémoire extraordinaire.
Je mets au défi beaucoup de gens de reconnaître un inconnu qu’ils ont croisé trente minutes auparavant.
Mais je les mets d’autant plus au défi quand il s’agit d’un cycliste qui les a doublés, et dont il est donc difficile qu’ils aient vu le visage.
D’autres article de presse disent que le cycliste français a doublé l’ancien de la RAF “à grande vitesse”.
Je demande donc comment l’ancien de la RAF a fait : Sylvain Mollier le double, à bicyclette, à grande vitesse. Sylvain Mollier est vivant.
Mais, trente minutes plus tard, l’ancien de la RAF reconnaît, en un cadavre ensanglanté et (probablement) défiguré, un homme – Sylvain Mollier – qu’il a vu de dos, trente minutes auparavant, pour un bref instant?
Prenons un autre article (THE TELEGRAPH).
C’est ici :
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/france/9529272/France-shooting-British-cyclists-nerves-of-steel-after-massacre.html
Selon cet article-là, et selon M. Bertrand François, haut responsable de la gendarmerie française, l’ancien de la RAF a été traumatisé et serait “incapable de dormir”.
Toujours selon M. Bernard François, et selon The Telegraph, la police est “déterminée à protéger son identité”.
On est ravi d’apprendre, naturellement, que la police française désire protéger l’identité de ce monsieur.
Mais qu’est-ce qui serait, le cas échéant, le plus important? La découverte de la vérité, ou la protection de l’identité de cet “ancien de la RAF”?
Je m’explique. Si ce monsieur est un “ancien” de la RAF, où serait le problème si son identité était révélée?
Selon le gendarme français, M. Bertrand François: “Il ne peut pas sortir ou aller faire ses courses”.
Diantre. L’ancien de la RAF “ne peut pas sortir”.
Pourquoi ne peut-il pas sortir, si son identité est secrète? Aucun journal n’a publié son identité, mais ce monsieur ne peut pas sortir de chez lui?
Selon le gendarme français, M. Bertrand François:
“Nous sommes en train de faire tout ce qui est possible pour protéger l’anonymat de cet Anglais. Mettez-vous à sa place. Imaginez ce qui se passerait si son identité était révélée? Sa vie changerait du jour au lendemain et il ne veut pas que cela arrive”.
Pourquoi la gendarmerie… française doit-elle (semble-t-il) absolument “tout” faire pour “protéger” l’anonymat d’un citoyen… anglais?
Le Procureur Eric Maillaud, quant à lui, et toujours selon The Telegraph, a dit que “le cycliste britannique” a une “seconde maison dans la région” et qu’il “partage son temps entre l’Angleterre et la France”.
De ces propos, on ne comprend pas très bien si l’ancien pilote de la RAF a une ou deux maisons dans la région de Chevaline (voire à proximité immédiate des lieux du crime).
Mais ce retraité (?) de la RAF ne semble pas avoir de problèmes économiques, puisqu’il a au moins une maison en France et qu’il partage son temps entre l’Angleterre et la France.
Le Procureur Eric Maillaud, en conférence de presse, et ses propos ont été retranscrits et cités publiquement par The Telegraph, n’a pas tari d’éloges sur l’ex-pilote de la RAF, aujourd’hui reconverti en pilote de bicyclette à Chevaline.
Eric Maillaud a dit: “Il faut saluer son témoignage et sa bravoure. C’est un professionnel de la Royal Air Force, et donc il a des nerfs d’acier”.
Puis, tout de suite :
“Il était profondément choqué”.
Donc, l’ancien de la RAF a des nerfs d’acier mais il est profondément choqué.
Dernière question du Telegraph à M. Eric Maillaud : est-ce que le cycliste restera en France pendant l’enquête?
Réponse de M. Maillaud : “He’s a former RAF pilot and perhaps has a superior ethic than many others. If we are in need of him, he will come wherever he is”.
En français : “C’est un ancien pilote de la RAF et, par conséquent, il a une éthique supérieure à beaucoup d’autres. Si nous avions besoin de lui, il viendrait, où qu’il soit”.
Et là, quelques remarques.
Avec tout le respect que l’on doit à M. Eric Maillaud, que signifie le fait de dire qu’un “pilote de la RAF a davantage d’éthique que beaucoup d’autres“?
Davantage d’éthique?
Davantage?
D’éthique?
Par exemple, ce cycliste anglais, parce qu’il est un “ancien de la RAF”, aurait “davantage d’éthique” que vous, lecteur de ce blog, ou moi?
Le seul fait d’être un ancien de la RAF confère des nerfs d’acier?
Le seul fait d’être un ancien de la RAF confère “davantage d’éthique”?
Résumons et concluons.
L’ancien de la RAF est (peut-être) rentré en Grande-Bretagne.
AUCUN journal n’a donné son identité.
Les seuls qui l’ont vu, ce sont les habitants de Chevaline qui déclarent l’avoir rencontré, à quelques mètres de la scène du crime, avec les mains ensanglantées.
La gendarmerie… française fera “tout” pour “protéger l’identité” d’un citoyen… britannique.
Lui, rentré en Grande-Bretagne (où l’on suppose que sa famille et ses voisins doivent savoir que c’est un ancien de la RAF et qu’il a une maison à Chevaline) NE PEUT PAS SORTIR DE CHEZ LUI?
Qui pourrait lui en vouloir, et pourquoi?
Il NE PEUT PAS ALLER FAIRE DES COURSES?
Espérons que la gendarmerie anglaise charge un bénévole d’aller faire ses courses et de lui porter à manger, sinon il va dépérir de faim.
Et ce serait dommage qu’il disparaisse, ça va de soi, si on avait encore besoin de son témoignage…
Le Procureur Eric Maillaud, toujours cité d’après The Telagraph :
“Je vous rappelle que c’est un homme libre et qu’il a le droit de retourner en Angleterre après le choc qu’il a subi”.
“I remind you that he’s a brave witness and a free man and has the right to return to Britain to recover after the shock he went through.”
L’ancien pilote de la RAF (aujourd’hui reconverti en pilote cycliste à Chevaline) a des nerfs d’acier mais n’arrive plus à dormir, et il a été profondément choqué.
L’homme aux nerfs d’acier, mais qui n’arrive plus à dormir, a eu le droit de rentrer en Grande-Bretagne, où son nom n’a pas été cité mais où il a peur, malgré ses nerfs d’acier, d’aller faire ses emplettes.
D’autres sources avaient dit que la police française l’avait “exfiltré”. Maintenant, il est en Grande-Bretagne…
Il a des nerfs d’acier mais il ne veut pas que sa vie change du jour au lendemain, et la gendarmerie française est donc prête à tout pour “protéger son identité”.
Son identité, c’est un secret d’Etat ?
Et tant pis pour les petits enfants et le gentil goy à bicyclette qui passait par là, le Mossad ne tolère pas de témoins quand la sécurité de l'entité sioniste est en jeu.
http://www.kapitalis.com/fokus/63-maghreb/1993-selon-wikileaks-plus-de-650-savants-irakiens-liquides-par-le-mossad.html
Selon le site ‘‘Iraqi Rabita’’, créé en 2004 par des membres de la diaspora irakienne en Europe, qui a diffusé cette information, cette opération avait commencé juste après l’échec de l’administration Bush et ses agents à les recruter pour les faire travailler sur le territoire américain. Alors le choix idéal et simple fut de les liquider.
Des milices irakiennes font le sale boulot
C’est ce que révèle un rapport émanant de Département d’Etat et adressé au président Bush expliquant que le Mossad a réussi, avec l’aide des forces d’occupation, des milices et du gouvernement irakien, à liquider les scientifiques nucléaires les plus illustres et des universitaires, toutes spécialisations scientifiques confondues.
Le rapport note que certains scientifiques ont été contraints de travailler dans des centres de recherche américains et iraniens, alors que d’autres, plus nombreux encore, ont refusé de le faire dans certains domaines de recherche. De nombreux autres ont fui l’Irak pour d’autres pays alors que certains autres ont choisi de demeurer dans le pays.
Le rapport indique aussi que les scientifiques qui ont tenu à demeurer en Irak ont été soumis à de nombreuses séances d’interrogatoire accompagnées parfois de torture par les autorités officielles irakiennes.
Mais Israël est toujours convaincu que sa sécurité demeure menacée au cas où ces scientifiques restaient en vie et reprendraient leur travail si l’Irak retrouverait la paix et la stabilité.
Avec l’accord du Pentagone
Le document révèle aussi que le Pentagone avait exprimé son accord avec le rapport des services secrets israéliens et que c’est pour cette raison qu’il a été décidé que des commandos israéliens aidés par des milices pro-iraniennes se chargent de cette mission. Un groupe sécuritaire irakien a été chargé d’apporter son soutien aux commandos israéliens et aux milices chargés de cette mission.
Selon ce rapport, des personnalités officielles de premier rang se chargeaient d’établir des C.V. complets des scientifiques recherchés, de préciser leurs adresses et les moyens de les atteindre.
Cette opération a conduit jusqu’ici à la liquidation de 350 scientifiques nucléaires et plus de 300 professeurs d’université. Elle se poursuit toujours et vise, selon le rapport cité, plus de 1.000 savants irakiens.
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