Fin de vie : les députés adoptent en commission une proposition de loi créant un « droit » à l’aide à mourir
Les débats sur les critères d’accès à cette aide à mourir demeurent vifs. Le texte doit être examiné en séance à partir du 12 mai.
Les débats sur les critères d'accès à cette aide à mourir demeurent vifs. Le texte doit être examiné en séance à partir du 12 mai.
C’est un sujet qui me met mal à l’aise, tout comme l’avortement jusqu’à 8 mois, qui est pour moi un assassinat, le bébé étant viable. On se plaint du vieillissement de la France, les françaises ne font plus assez d’enfants, mais on autorise l’avortement en majorité de « confort », au lieu d’éduquer à la contraception.
En arriver à envisager la mort volontaire pour « x » raisons plus ou moins légitimes et ce, à n’importe quel âge, pose un sacré problème éthique, et démontre l’incapacité pour la société et la médecine, de prendre en charge les individus si mal dans leur peau qu’ils désirent en finir. Le droit à la vie doit-il être compensé par le droit à donner la mort, même si c’est la volonté du « demandeur » ? Quel statut accorder à celui ou celle, qui se chargera d’interrompre l’ordre naturel ? Les pires criminels ne risquent plus la peine de mort, abolie en octobre 1981 et portée par Robert Badinter à l’assemblée Nationale. Ça mérite un grand débat national et le citoyen, a le droit de donner son avis par un référendum.
En faisant abstraction pour les malades en proie à de grandes souffrances, sans espoir de guérison. Ça se pratique déjà
J’ai reçu les articles de loi (merci Françoise.G) se rapportant à l’euthanasie et franchement, ça pose problème pour ceux qui seraient tentés de dissuader un individu, (si j’ai bien tout compris). On ne doit pas laisser cette loi être votée, il y a trop de dérives possibles.
L' »humain » a de plus en plus tendance à se prendre pour le Créateur, en s’octroyant le droit de vie ou de mort sur ses semblables, avec des lois et arguments qui légitiment ces actes irréversibles, tant pour l’avortement, que pour le suicide assisté. Qu’en pensez-vous ? À force de tout accepter, de ne pas oser se positionner pour ou contre ces décisions qui nous concernent tous, ça aura pour conséquences, qu’elles s’imposeront de fait avec toutes les dérives et abus possibles…

🚨 Les amendements visant à s'assurer qu'un patient sollicitant une euthanasie le fait de son plein gré ont été rejetés.
RAPPEL : LE FILM "SOLEIL VERT"
Des pressions financières, sociales, de l'entourage pour éliminer un malade, un vieillard, un interdit bancaire.. ne seront donc pas illégales ! F.A.
> En route pour le programme Aktion T4, mis en œuvre par Hitler (ndb: entre 1939 et 1941 et qui aurait fait près de 80000 victimes) avec la complicité des médecins pour éliminer les handicapés et faire des économies. Il faut bien rembourser la dette, c’est ça ?
À force de soutenir les forces d’extrême droite néonazie en Ukraine, en Israël et maintenant en Allemagne avec le nouveau chancelier (le plus dangereux depuis Hitler), leurs méthodes déteignent sur notre pays.
Le rejet de cet amendement en témoigne, il est absolument abominable. Comme celui adopté, qui prévoit de qualifier de « mort naturelle » le meurtre légal que cette loi va mettre en place.
(lien vers l'article du blog publié le 02 mai : L’euthanasie médicalisée sera considérée comme une « mort naturelle » afin de ne pas brusquer les assureurs ! /+/)
> Cet amendement rejeté est encore plus ressemblant à l'Aktion T4.
> Cette affiche de 1934 explique aux allemands que les "improductifs" coûtent 60000 RM par an à "la communauté du peuple". Aktion T4=environ 80000 morts sous de molles protestations.
Sources :
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Donc avec la loi assassinat pour tous, une personne ne disposant pas de son jugement (temporairement confuse, démente, ou en épisode dépressif majeur, ou maniaco-dépressif, etc.) pourra être euthanasiée sans soucis.
Elle pourra aussi être euthanasiée même si des pressions, psychologiques, physiques ou financières sont exercées contre elle pour la forcer à choisir cette option.
Bref, la vie sera l’exception.
La plupart des gens vont se retrouver à se faire euthanasier pour un oui ou pour un non pire qu’au Canada d’ici quelques années.
Le retour en force de la barbarie, de l’inhumanité et de l’eugénisme ne sont pas un progrès.
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Au terme d’une semaine dense, la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale a adopté, vendredi 2 mai au soir, la proposition de loi « relative à la fin de vie » désormais renommée « relative au droit à mourir », à défaut d’avoir accepté d’assumer la réalité des termes suicide assisté et euthanasie. Un vote final qui entérine une version particulièrement permissive du texte, malgré de nombreuses mises en garde sur ses déséquilibres éthiques, juridiques et humains.
« Délit d’entrave » : un glissement sémantique préoccupant
L’article 17, introduisant un « délit d’entrave à l’aide à mourir », a cristallisé les tensions. Pour Patrick Hetzel (Droite républicaine), ce point touche à « une question éthique fondamentale ». Plusieurs députés, notamment du Rassemblement National, se sont interrogés sur la frontière entre la tentative de dissuasion d’un suicide et une entrave pénalement répréhensible : « Si je sauve quelqu’un de la défenestration, allez-vous me mettre en prison ? » interroge un député.
Philippe Juvin (Droite républicaine) a rappelé le rôle même de la psychiatrie, qui est de « tenter d’empêcher » le passage à l’acte suicidaire, et a mis en garde contre une formulation trop large du texte. Des associations comme SOS Suicide, mentionnée par Thibault Bazin (Droite républicaine) pourraient, dans cette logique, voir leur action criminalisée.
Les amendements visant à créer un délit symétrique d’incitation à l’« aide à mourir » ont été rejetés. Thibault Bazin, Frédéric Valletoux (Horizons et Indépendants) et Cyrille Isaac-Sibille (Les Démocrates) ont défendu cette mesure de « juste équilibre ». Mais le rapporteur général Olivier Falorni (Les Démocrates) s’y est opposé arguant que la loi sur l’IVG de 1974 est équilibrée : elle contient un délit d’entrave, mais pas de délit d’incitation.
Pourtant, même Yannick Monnet (Gauche démocrate et républicaine) s’est dit favorable à cette symétrie, à titre personnel, pour éviter certains abus. En vain.
L’absence de soins palliatifs, un angle mort assumé
En fin de séance, plusieurs amendements ont tenté d’introduire un lien entre l’effectivité des soins palliatifs et l’application de la loi. Christophe Bentz (RN) a proposé de reporter l’entrée en vigueur du texte à 2030, « l’urgence étant les soins palliatifs ». Sandrine Dogor-Such (RN) a suggéré de la conditionner à la présence d’au moins une unité de soins palliatifs dans chaque département.
Patrick Hetzel a exprimé une inquiétude partagée sur le fait qu’il ne faudrait pas que certaines personnes aient recours à l’« aide à mourir » par défaut de soins. Matthias Tavel (LFI-NFP) lui a répondu qu’il n’y avait pas de confrontation entre les deux approches. Pourtant, tous ces amendements ont été rejetés.
Le constat est clair : aucun garde-fou liant explicitement accès aux soins palliatifs et possibilité de recourir à la mort médicalement assistée n’a été retenu.
Une loi aux contours assumés
L’article 18 a suscité peu de débats, sauf une brève controverse sur la mention des mineurs dans un article du Code de la sécurité sociale — mention qualifiée de simple « précision légistique » par la rapporteure Elise Leboucher (LFI-NFP).
Enfin, le titre même du texte a été modifié. Refusant les termes d’« euthanasie » ou de « suicide assisté », jugés trop explicites par certains, Olivier Falorni a proposé la formule « relative au droit à l’aide à mourir ». C’est ce libellé qui a été adopté.
Une loi sans contrepoids
Cette proposition de loi marque un tournant majeur. Malgré des débats nourris et des appels constants à l’équilibre, le texte adopté en commission n’inclut ni délit d’incitation, ni condition d’accès aux soins palliatifs, ni clause de conscience renforcée. Comme l’a rappelé Christophe Bentz en séance : « C’est le texte le plus permissif au monde ».
A rebours de l’éthique de la vulnérabilité, le législateur semble avoir fait primer la logique d’un droit individuel radical — jusque dans la mort — sur les garanties collectives essentielles à une véritable protection des personnes fragiles.
Une loi historique au même titre que l’abolition de la peine de mort ?
Lors des explications de votes les députés saluent le ton qui a prévalu dans les échanges et espèrent que la sérénité sera de mise dans l’hémicycle. Alors qu’Olivier Falorni se félicite du probable vote d’un texte « équilibré », certains groupes regrettent qu’il n’ait pas été plus loin. De façon surprenante, Philippe Vigier (Les Démocrates) trouve le moment approprié pour rendre hommage à Robert Badinter et son rôle historique pour l’abolition de la peine de mort en France. Un parallèle pour le moins provocateur.
Les 44 membres de la Commission passent au vote. Seul son président s’abstiendra et la proposition recueille 28 votes pour, 15 contre. Sous les applaudissements les députés se donnent rendez-vous le 12 mai pour son examen en séance plénière.
Source :
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Vendredi 2 mai, l’examen de la proposition de loi pour légaliser le suicide assisté se termine en commission et montre que c’est bel et bien une loi faite par et pour le lobby de l’euthanasie (vidéo ci-dessous), l’Association pour le droit de mourir dans la dignité.
En effet :
- Le texte créant un « droit à mourir » est large et ne s’appliquerait pas uniquement à « la fin de vie », mais à toute personne malade ;
- Les amendements de bon sens pour protéger les personnes vulnérables, garantir un consentement éclairé et promouvoir les soins palliatifs sont systématiquement
rejetés ; - Le délit d’entrave au suicide assisté est déjà prévu dans la loi et l’ADMD pourra exercer des recours juridiques contre ceux qui voudront « entraver » le suicide d’autrui, y compris les pharmaciens qui refuseraient de préparer le poison.
À partir du 12 mai, les parlementaires examineront deux propositions de loi, l’une sur les soins palliatifs et l’autre sur la fin de vie visant à légaliser le suicide assisté et l’euthanasie.
À l’approche de cette date, il devient urgent de se mobiliser pour rappeler que donner la mort n’est pas un soin. La légalisation de l’euthanasie constituerait une rupture éthique profonde, fragilisant les plus vulnérables et bouleversant la mission du monde médical, déjà bouleversé par l’avortement.
Lundi 12 mai, Alliance VITA organise une mobilisation dans une cinquantaine de villes en France pour réclamer des soins et refuser l’euthanasie. Nous vous invitons à rejoindre l’événement à Paris où dans la ville la plus proche de chez vous.
Source :
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L'équilibre de la loi sur l'aide à mourir au cœur des désaccords en commission : " Nous prévoyons moins de garde-fous qu'en Belgique! " (Le Figaro.fr)
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Cette loi sur l'euthanasie et le suicide assisté est un véritable scandale.
Ceux qui ont rejeté les amendements proposés sont des ordures.
- Une simple dépression pourra donner lieu à suicide assisté.
- La signature d'un malade mental sous tutelle sera considéré comme valide.
N'oubliez jamais ce qu'ils ont déjà été capable de faire dans les Ephad et même à domicile pendant l'escroquerie covid, j'appelle celA un assassinat de masse. C.H.
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Soleil vert (1973)
Soleil vert (Soylent Green) est un film américain d'anticipation réalisé par Richard Fleischer, sorti en 1973 et inspiré du roman Make Room! Make Room! d'Harry Harrison
Synopsis
L'action du film se déroule en l'an 2022 à New York qui est devenue une mégapole de 44 millions d'habitants. Il règne en permanence une température élevée, soit plus de 30 °C. L'eau est rare. La faune et la flore ont quasiment disparu. La nourriture issue de l'agriculture également. La plupart des habitants n'ont pas les moyens d'acheter des aliments naturels, les prix étant exorbitants. Ils en sont réduits à manger des produits de synthèse, fournis par la multinationale « Soylent », des tablettes de forme carrée, jaunes, rouges ou bleues. Un nouvel aliment vient d'être lancé, le soylent green, beaucoup plus nutritif, cher et disponible uniquement le mardi : ce jour-là, des émeutes de citoyens affamés ne sont pas rares et sont sévèrement réprimées.
Thorn, un policier « de premier ordre », vit avec son ami Sol Roth, un vieux juif lettré, dans un petit appartement délabré et surpeuplé. Sol peste contre l'état du monde et a la nostalgie du passé tandis que Thorn se contente des seules choses qu'il a connues, à savoir la nourriture synthétique et la canicule perpétuelle.
La suite sur Wikipedia.org
L’euthanasie médicalisée sera considérée comme une « mort naturelle » afin de ne pas brusquer les assureurs ! /+/
C'est toujours une question d'argent, de flouze, de maille, de pépètes... !
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On a rarement vu des hypocrites pareils dans l’histoire de l’humanité. Ces gens n’ont absolument aucune morale, ils sont prêts à tordre le réel afin de faire passer et imposer leurs idées tordues.
Selon cet amendement adopté par la gauche au pouvoir, l’euthanasie qui sera pratiquée à l’hôpital via une injection conduisant à la mort sera considérée comme un décès naturel ! Oui vous avez bien lu, c’est une mort tout à fait naturelle qui n’a rien à voir avec le médicament mortel administré par le soignant !
Merci aux clowns qui ont fait passer cette folie :
Mme Danielle Simonnet, M. Alexis Corbière, Mme Julie Laernoes, M. Sébastien Peytavie, Mme Sandrine Rousseau, Mme Sophie Taillé-Polian avec l’aide de l’association maçonnique pour le Droit de Mourir dans la Dignité.
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Par Ced
Pour :
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Mercredi 30 avril, la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale se réunissait pour débattre de l’adoption d’éventuels amendements à la proposition de loi sur la fin de vie, qui devrait être examinée en séance plénière d’ici deux semaines. Au terme de débats parfois très vifs, huit amendements ont été adoptés. L’un d’entre eux, en particulier, résume bien toutes les problématiques associées à cette loi : l’amendement AS895, porté par la députée LFI Danielle Simonnet, qui a « travaillé » ce texte en liaison avec l’Association pour le Droit à Mourir dans la Dignité. Cet amendement est d’ailleurs le même que le n°586, de la députée Ensemble pour la République Nicole Dubré-Chirat…qui a également rédigé ce texte avec l’aide de l’ADMD. Vous êtes prêts pour le verbatim ? On est partis.
« Mort naturelle »
Le texte réclame qu’une mort administrée à quelqu’un soit qualifiée de « mort naturelle ». Tollé dans l’assistance, notamment de la part du député RN de Vaucluse Hervé de Lépinau, que BV a pu joindre dans le cadre de la rédaction de cet article. Pour lui, la question est évidemment sémantique et philosophique, et en quelque sorte complémentaire de la rationalité d’un député comme le médecin Philippe Juvin (LR), qui s’en tient strictement à la position délicate du médecin. Hervé de Lépinau remonte à la racine de cet amendement tout à fait orwellien : dès la rédaction du projet de loi initial, c’est-à-dire avant la dissolution du mois de juin, le rapporteur général Falorni (macroniste) avait déjà été très attentif à l’emploi de mots qui ne puissent pas choquer : il n’était pas question de parler de « suicide assisté » (trop anxiogène), ni d’euthanasie (rappelant trop selon lui -et à juste titre ! - les heures sombres du régime nazi). Les germanistes et les historiens se souviendront que l’assassinat des handicapés et des malades mentaux portait le nom délicat de Gnadentod, ou « mort miséricordieuse ». On n’est pas très loin, en effet.
Étouffée avec un oreiller
Hervé de Lépinau est un fin connaisseur des arcanes du droit. Avocat de formation, envoyé en renfort au sein de la commission des affaires sociales, au sein de laquelle il ne siège pas d’ordinaire, il a tout de suite vu l’effet « cliquet » de cette loi : le législateur français vient, en adoptant ces amendements, de prendre une position initiale aussi délétère que celle à laquelle nos camarades belges ou hollandais sont parvenus après dix à quinze ans d’élargissements successifs. La suite ne pourrait donc être que pire. Si l’on fait un peu de politique-fiction, d’ici à quelques décennies, il n’est pas absurde d’envisager que les plus de 80 ans qui refuseraient de s’engager dans un « processus d’aide à mourir » reçoivent des malus fiscaux, par exemple. Le culot de vivre, tout de même !
Allons plus loin en examinant les effets de bord de cette loi devenue folle : que va-t-il se passer si l’injection létale ne marche pas ? Les risques sont infimes mais réels. Les abolitionnistes américains parlent, dans ce genre de cas, d’agonies qui durent des heures, voire des jours. La Belgique a résolu le problème : une patiente dont l’injection n’avait pas fonctionnée a été « finie » à l’ancienne, étouffée avec un oreiller. Alors, c’est donc ça, le droit de mourir dans la dignité.
À la manière de 1984, la mort provoquée, c’est donc une mort naturelle. Cette loi scélérate passera bientôt devant la représentation nationale. Il se dit que certains députés n’ont pas encore pris position sur le sujet, soit par incompétence, soit par défaut de connaissance, soit par paresse. Espérons que les quinze prochains jours leur ouvrent les yeux.
Par Arnaud Florac
Pour :
Euthanasie : le Dr Raphaël Gourevitch alerte sur les risques de dérive de la loi sur la fin de vie
DÉRIVES. Psychiatre, le Dr Gourevitch s’inquiète de l’inclusion de la souffrance psychique dans le projet de loi et rappelle que provoquer la mort est contraire à sa mission de médecin.
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