Le Monde le lâche parce qu'ils en ont assez de ses conneries avec la dissolution et l'instabilité permanente
Une enquête du Monde met en cause le langage du président de la République et de ses conseillers au cours de quelques soirées à l’Élysée. Lorsque Gabriel Attal occupait le poste de Premier ministre, les remarques homophobes étaient devenues récurrentes.
Matignon baptisé "la cage aux folles" sous Gabriel Attal : polémique autour de l'homophobie décomplexée dans les couloirs de l'Élysée
Selon Le Monde, Bruno Roger-Petit aurait constitué une sorte de "boys club", avec notamment Jonathan Guémas, décrit comme le "conseiller spécial" du Président. Ce "boys club", Emmanuel Macron se plairait à le rejoindre de temps en temps, après de longues journées de travail, pour déguster les meilleurs whiskies. Et ce "boys club" tiendrait ou aurait tenu des propos ouvertement homophobes ces derniers mois, notamment lorsque Gabriel Attal était Premier ministre.
"Le Pervers jouit de la souffrance de l Autre."
Ce mercredi, Le Monde a publié une enquête sur Emmanuel Macron, et cette première partie d’une série de quatre volets pourrait faire réagir. Dans ce chapitre intitulé « Le président et son double », le langage du président de la République est particulièrement ciblé.
Le quotidien affirme que « l’Élysée avait baptisé Matignon la cage aux folles », lorsque Gabriel Attal était encore Premier ministre.
Le chef de l’État est très proche de l’ancien journaliste Bruno Roger-Petit, et ce dernier aurait, selon nos confrères, constitué une sorte de « boys club ». Emmanuel Macron aurait pris l’habitude de se joindre à celui-ci, en fin de journée, autour de quelques verres d’alcool.
Ainsi, selon Louis Jublin, ex-conseiller de Gabriel Attal, Matignon était surnommé "la cage aux folles" dans les couloirs de l'Élysée ces derniers mois. Entre eux, toujours selon Le Monde, les membres du "boys club" échangeraient des injures homophobes, sous couvert de blagues, telles que "petit pédé" ou "grande tarlouze", le tout "entre deux imitations d'acteurs des années 1960 et de citations de Michel Audiard". Du "15 000e degré", a même justifié Jonathan Guémas, visiblement embarrassé, auprès du quotidien national.
Cette ambiance de vestiaire de foot est une chose. La tendance aux "petites punitions et grosses humiliations" en est une autre. Par exemple, selon Le Monde, Emmanuel Macron a eu l'indélicatesse de demander leur "avis" sur leurs successeurs à Élisabeth Borne et Gabriel Attal quelques minutes après leur démission de Matignon. "Que penses-tu de Julien Denormandie ou de Gabriel Attal ?", aurait-il ainsi lancé à Élisabeth Borne. "Ça t'ennuierait de recevoir Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve pour me donner ton avis ?", aurait-il dit à Gabriel Attal début septembre. Des techniques de management qui commencent sérieusement à peser sur le moral des troupes.
Emmanuel Macron, une certaine idée du pouvoir
" Le président et son double " (1/4). Alors que la décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale a provoqué une crise politique majeure, " Le Monde " revient dans une série ...
"Macron est un psychopathe" : l’analyse d’un psychiatre italien
Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »
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L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation
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