Le 25 août 2023, est censée entrer en vigueur la directive européenne sur les services numériques (DSA) qui va considérablement renforcer la censure des réseaux sociaux, sous prétexte de lutter contre « la haine et la désinformation ». Des principes fumeux non définis clairement qui sont la porte ouverte à l’arbitraire le plus scandaleux.
Au moment où Emmanuel Macron évoque l’idée d’un « ordre public numérique », au moment où nombre de nos compatriotes prennent conscience de l’absence de diversité idéologique dans les médias traditionnels et donc de la nécessité de défendre la liberté d’expression sur Internet et les réseaux sociaux, nous lançons une initiative pour que la France dénonce cette directive de la honte !
Aux États-Unis, une proposition de loi pour la protection de la liberté d’expression arrive au Congrès (Free Speech Protection Act). Voilà une source d’inspiration bien plus motivante !
La loi sur le numérique supprime toutes les opinions contraires au système.
La loi sur les services numériques (#DSA), un règlement imposé au niveau de l'#UE, est pratiquement la mère de toutes les censures. Sous couvert de transparence et de responsabilité des plateformes en ligne, toute opinion contraire au système sera éliminée. Plus précisément, le règlement oblige les plateformes à atténuer les risques tels que la désinformation ou la manipulation des élections, avec le soutien d'entités "de confiance" qui censureront tout.
La période troublée qu'a connue la pandémie a montré clairement comment fonctionne la censure agressive des autorités, de concert avec les réseaux sociaux, qui n'hésitent plus à éliminer les voix, en particulier celles des spécialistes et des sommités médicales, qui ne s'alignent pas sur le récit officiel. Il n'y avait pratiquement qu'une seule opinion sur la pandémie, et ceux qui osaient la contredire étaient ostracisés et lynchés publiquement.
Le fait que les opinions de personnes extérieures au domaine médical aient été censurées n'était pas si destructeur, mais il est impensable que des chercheurs médicaux réputés et reconnus soient devenus du jour au lendemain des parias simplement parce qu'ils ont osé mettre en évidence les failles de la logique et les distorsions de la science elle-même.
Les dirigeants de l'UE se sont plaints à maintes reprises des faibles taux de vaccination dans certains pays, dont la #Roumanie, en pointant du doigt les "théories du complot" qui circulent sur les médias sociaux.
Ces théories ont-elles eu un quelconque effet dans notre pays ?
En partie seulement, car le plus important est l'instinct de survie de la population, qui a senti que quelque chose n'allait pas et a choisi de résister à la pression ou, lorsqu'elle n'avait pas le choix, d'adhérer au simulacre de vaccination. Entre-temps, toutes les "théories du complot" se sont vérifiées, mais l'attention du public a été spécifiquement détournée vers d'autres crises.
Préparant assidûment la prochaine pandémie, qui dépendra en grande partie du vainqueur de la bataille entre les deux ordres mondiaux, l'Union européenne instaure aujourd'hui un acte officiel de censure totale. La loi sur les services numériques (DSA) n'est pas du tout ce qu'elle veut paraître être, une protection des citoyens de l'UE, mais une protection des gouvernements de l'UE.
Surveillance générale
La loi sur les services numériques est un règlement qui s'applique directement dans toute l'UE. Parmi les obligations imposées aux très grandes plateformes en ligne et aux moteurs de recherche figure la surveillance, au moyen d'audits indépendants, de leurs mesures de gestion des risques. En outre, les plateformes devront atténuer les risques tels que la désinformation ou le trucage d'élections, la cyberviolence à l'égard des femmes ou les préjudices causés aux mineurs en ligne. La loi prévoit également des mesures pour lutter contre les contenus illégaux en ligne, y compris les biens et services illégaux.
L'ASD impose de nouveaux mécanismes permettant aux utilisateurs de signaler des contenus illégaux en ligne et aux plateformes de coopérer avec des "dénonciateurs de confiance" spécialisés afin d'identifier et de supprimer les contenus illégaux, ainsi que des garanties efficaces pour les utilisateurs, notamment la possibilité de contester les décisions de modération de contenu des plateformes sur la base de nouvelles informations obligatoires pour les utilisateurs lorsque leur contenu est supprimé ou restreint.
Mécanisme de réponse aux pandémies
La loi sur les services numériques introduira également un nouveau mécanisme de réaction en cas de menace grave pour la santé publique et de crise sécuritaire, telle qu'une pandémie ou une guerre.
"La loi sur les services numériques réglemente les responsabilités des très grandes plateformes en ligne et des très grands moteurs.
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