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#FRANCE - #Législatives: les ministres battus, y compris Élisabeth #Borne, devront démissionner

Publié par Brujitafr sur 23 Mai 2022, 04:31am

Catégories : #ACTUALITES, #POLITIQUE

#FRANCE - #Législatives: les ministres battus, y compris Élisabeth #Borne, devront démissionner

POLITIQUE - Ils seront donc quatorze à jouer leur poste les 12 et 19 juin prochains, à commencer par leur cheffe Élisabeth Borne. Comme en 2017, les ministres candidats aux législatives et battus lors du scrutin devront démissionner, a fait savoir le palais de l’Élysée, comme le rapportent ce dimanche 22 mai nos confrères du Figaro, de franceinfo et de BFMTV.

Mais si en 2017, il n’y avait que six ministres du premier gouvernement d’Édouard Philippe dans ce cas, cinq ans plus tard, c’est un membre du gouvernement sur deux qui mettra son portefeuille en jeu.

Première campagne et ex-LR

Avec donc Élisabeth Borne en tête, elle qui prend part dans le Calvados à la première campagne de sa carrière politique. Un cas de figure qui vaut aussi pour Clément Beaune, ministre délégué en charge de l’Europe, qui se présente dans la favorable septième circonscription de Paris.

Viennent ensuite plusieurs ministres et députés sortants: Gérald Darmanin dans le Nord, Marc Fesneau dans le Loir-et-Cher, Brigitte Bourguignon dans le Pas-de-Calais, Amélie de Montchalin dans l’Essonne, Olivier Dussopt dans l’Ardèche, Olivier Véran dans l’Isère et Gabriel Attal dans les Hauts-de-Seine.

Plusieurs autres ministres sont, eux, des députés LREM sortants qui sont entrés au gouvernement sous Élisabeth Borne: Stanislas Guérini et Olivia Grégoire à Paris, Yaël Braun-Pivet dans les Yvelines et Justine Bénin en Guadeloupe. Et s’ajoute enfin à cette liste Damien Abad, dans l’Ain, lui qui était auparavant élu sous l’étiquette LR, parti dont il avait même la présidence du groupe à l’Assemblée nationale. Un homme qui est désormais au cœur d’une affaire de violences sexuelles qui pourrait avoir un impact sur le résultat du scrutin.

Reste en effet à voir qui passera le cut au mois de juin. D’autant, explique Le Figaro que des ajustements de l’équipe gouvernementale ne sont pas à écarter une fois passé les législatives, notamment pour refléter justement les équilibres entre les différentes composantes de la future majorité présidentielle. Si les électeurs la portent effectivement au pouvoir bien sûr.

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