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Samedi 23 novembre, après le décès accidentel d'un jeune motard qui avait pris la fuite pour échapper à un contrôle statique de gendarmes, la compagnie de Mulhouse a été visée par des tirs de mortiers et des jets de pierre, rapporte Le Parisien. En plus des bâtiments administratifs, les auteurs ont lancé leurs projectiles en direction des logements de fonction des militaires et de leurs familles.
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Une trentaine de djeunes cagoulés munis de barres de fer
Si les autres casernes n'ont pas fait l'objet de violences, la compagnie mulhousienne et dix autres situées dans les environs font désormais l'objet d'une protection renforcée.
Ces violences contre la compagnie avaient été précédées vendredi et samedi par d'autres incidents dans la banlieue de Mulhouse et dans un de ses quartiers. Il avait, notamment, fallu disperser une trentaine de jeunes encagoulés et munis de barres de fer pour certains. Des engins explosifs avaient aussi été saisis.
Commentaires
"J'ai connu un temps où les casernes de gendarmerie, les brigades étaient grandes ouvertes...
Maintenant les gendarmes sont obligés de s'enfermer, se protéger, se cadenasser.
Comment peuvent-ils nous protéger ?
Mais on les aime tant nos jeunes cagoulés... ils s'amusent.
Une sacrée civilisation qu'on a mis sur pied et vive le progressisme..."
"Si des gendarmes protègent des gendarmeries, qui va protéger les gendarmeries des gendarmes partis protéger les gendarmeries des premiers gendarmes.
d'autre gendarmes venus d'autre gendarmeries ?
ou alors les gendarmes des gendarmeries protégées par les autres gendarmes vont aller protéger les gendarmeries des gendarmes qui sont venu protéger leurs gendarmeries ?
Bon, je vais me coucher...."
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