Le gouvernement redoute un acte terroriste autour du mouvement social.
C'est Le Parisien qui le révèle : quatre hommes, certains connus pour radicalisation, ont été arrêtés le 13 novembre à Saint-Etienne parce qu'ils étaient soupçonnés de préparer un attentat pour le samedi suivant, premier jour de mobilisation des gilets jaunes. Ils ont été mis en examen et placés en détention.
Le gouvernement redoute actuellement "un parasitage terroriste", selon l'expression utilisée en privé par le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. Les services qui observent en permanence les vidéos diffusées par Daech - une cinquantaine par jour - ont en effet repéré que certaines d'entre elles font explicitement référence aux "gilets jaunes".
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