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Quand le NOM s'invite à l'épreuve du BAC - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
on a pas le droit de dire ce que l'on pense, on doit seulement expliciter les documents fournis. PS : Par contre, l'économiste John Kenneth Galbraith mérite d'être etudié. BAC S, le sujet ...
http://www.brujitafr.fr/article-quand-le-nom-s-invite-a-l-epreuve-du-bac-107188875.html
Ils avaient déjà le droit d’utiliser des calculatrices ultra puissantes et avaient accès au rattrapage, deux facilités totalement inexistantes dans la plupart des pays du tiers-monde, mais nous apprenons maintenant que les candidats peuvent, en France, avoir accès au sujet du bac avant les épreuves ! C’est à se demander à quoi sert tout ce cirque ! Pourquoi ne pas le leur donner à l’avance, à la naissance et que l’on cesse de gaspiller de l’argent public pour former des incultes, illettrés ! Nous sommes actuellement en pleine lecture de l’excellent livre de Madame Virginie Subias Konofal qui présente son ouvrage paru l’année dernière aux éditions du Rocher, Histoire incorrecte de l’école : De l’ancien régime à aujourd’hui.
Le ministère français de l’enseignement national, totalement infiltré par les loges maçonniques depuis deux siècles a réussi un tour de force, celui d’abrutir des générations entières et cela en monopolisant des moyens gigantesques, des dizaines de milliards d’euros chaque année pour un résultat aussi catastrophique. Chapeau bas les frères-la-truelle…source
Les élèves de terminale en filière scientifique ont pu prendre connaissance de certains sujets à l’avance.
Une expérimentation pour le bac 2018 qui pourrait être généralisée dans les trois ans.
Les candidats au baccalauréat planchent vendredi 22 juin, selon les filières, sur les mathématiques ou la langue vivante 2. Tous rêvent sans doute de connaître à l’avance le sujet. Un désir devenu réalité ou presque pour les élèves de la filière scientifique. À l’occasion d’une épreuve anticipée, début juin, les candidats ont pu découvrir à l’avance sur internet la liste des sujets. Expérimenté cette année, le ministère de l’Éducation entend généraliser ce procédé dans trois ans.
Un panel large de sujets possibles
Pour l’épreuve d’évaluation des compétences expérimentales (ECE), en sciences et vie de la Terre et en physique-chimie, chaque élève a tiré au sort son sujet parmi d’autres, disponibles sur internet, sur le site du ministère de l’Éducation. Les thèmes portaient par exemple sur la la biodégradation d’un polluant, la dilatation des océans ou la manière d’évaluer la fraîcheur d’un lait. Les candidats apprécient de connaître leurs sujets à l’avance. « Il n’y avait qu’à apprendre par cœur ce qui allait tomber pour avoir une bonne note », confie ainsi un élève.
Toutefois, cet avantage ne suffit pas à obtenir le précieux sésame : « L’épreuve d’ECE, c’est seulement 1/5e de la note de physique et de SVT, donc ce n’est pas très important.» Qui plus est, cette épreuve, comptant seulement pour quatre points sur vingt, ne séduit pas tous les élèves : « Il y avait tellement de sujets sur internet, qu’on ne peut pas tout voir pour anticiper ce qui va tomber », indique une élève de terminale. En réalité, il y avait 160 sujets sur internet, donc 160 sujets possibles pour chaque élève. « C’est un peu comme la plupart des épreuves, comme celle d’histoire : on va réviser 20 chapitres pour au final tomber sur un seul lors de l’épreuve », confie un autre lycéen.
L’histoire-géographie pourrait justement être bientôt concernée, tout comme les épreuves de langue vivante. Le ministère de l’Éducation souhaite étendre ce dispositif au futur bac, en 2021, pour les disciplines de contrôle continu qui seront évaluées au cours de l’année de 1ère et de terminale.
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