Douce France-Présidentielle : Emmanuel Macron, otage du vote islamiste, devra renvoyer l’ascenseur !
Ahmet Ogras, dont la belle-famille travaille au service du président turc Recep Tayyip Erdogan, devrait devenir le prochain président du Conseil français du culte musulman - un poste jusqu'ici occupé par des Marocains et des Algériens exclusivement.
Selon le quotidien Libération, Ahmet Ogras, représentant de l'islam turc en France et proche de l'AKP, le parti du président turc Recep Tayyip Erdogan, deviendrait le prochain président du Conseil français du culte musulman. Il s'agirait d'une première pour un membre de la communauté turque – une nomination qui pourrait également déclencher de vives polémiques.https://francais.rt.com/france/39283-pour-premiere-fois-musulman-origine-turque-proche-erdogan-president-conseil-francais-culte-musulman
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http://www.brujitafr.fr/2017/05/l-akp-turc-presentera-des-candidats-aux-legislatives-francaises.html
Ahmet Ogras devrait donc succéder à Anouar Kbibech le 1er juillet prochain à la tête du Conseil français du culte musulman, un poste que n'avaient occupé jusqu'ici que des Marocains et des Algériens. Ses proximités avec l'AKP risquent néanmoins de susciter de virulents débats, dans un contexte de crispation des relations entre l'Union européenne et la Turquie.
L'ascension d'Ahmet Ogras, raconte Libération, serait principalement due à sa belle-famille, sa belle-sœur et son beau-frère travaillant tous deux pour les relations publiques au palais présidentiel d'Ankara. En 2000, il a cofondé l’Union des démocrates turcs européens (UDTE), parrainée par l’AKP de Recep Tayyip Erdogan. Il était notamment l'un des organisateurs de la grande manifestation franco-turque de janvier 2012 contre la loi pénalisant la négation du génocide arménien.
De plus, Ahmet Ogras n'a jamais dirigé de lieu de culte et n'est pas réputé pour sa connaissance approfondie des dossiers relatifs à l'islam en France. Ce gérant d'une agence de voyage située dans le dixième arrondissement de Paris assure vouloir conduire le Conseil français du culte musulman de manière «indépendante». «Il ne faut pas regarder le passé», assure-t-il néanmoins à Libération, expliquant que les critiques lui étant adressées sont un «bizutage» de la part de ses rivaux. Désormais, il assure ne plus vouloir faire de politique : «Je vais m'occuper du culte», martèle-t-il.
Conscient des difficultés posées par cette nomination, le gouvernement de Bernard Cazeneuve avait tenté, dans ses derniers jours, de trouver une solution intermédiaire, envisageant notamment la prolongation du mandat d'Anouar Kbibech. Ce dernier ayant néanmoins refusé en raison d'un emploi du temps chargé (il exerce des fonctions de cadre chez SFR), le choix d'Ahmet Ogras s'est peu à peu imposé. Pour l'heure, le cabinet du nouveau ministre de l'Intérieur Gérard Collomb n'a pas fait de commentaires.
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