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MOINS de BIENS PLUS de LIENS

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L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


le parti d'Emmanuel Macron change déjà de nom : "En Marche" devient "La République En Marche" = LREM...

Publié par Brujitafr sur 10 Mai 2017, 05:26am

Catégories : #ACTUALITES, #POLITIQUE

"La République en Marche", le nouveau nom choisi pour le nouveau mouvement créé par Emmanuel Macron sera usuellement raccourci en trois lettres : REM. Des initiales qui en rappellent d'autres : un biscuit, un androïde de série culte, ou un groupe emblématique du rock indépendant américain.

"La République en Marche", le nouveau nom choisi pour le nouveau mouvement créé par Emmanuel Macron sera usuellement raccourci en trois lettres : REM. Des initiales qui en rappellent d'autres : un biscuit, un androïde de série culte, ou un groupe emblématique du rock indépendant américain.

Commentaires :

1) mifa52 - 08/05/2017

Le terme "république " si l'on ne lui ajoute pas "République française" n'a aucune signification . La république n'est qu'un système politique parmi d'autres et une forme de gouvernement. Toutes sortes de républiques existent ou ont existé : soviétiques , populaires , cubaines , bananières , nord coréennes ... qui ne se sont pas illustrées dans le respect de la démocratie.La seule qui nous importe , c'est la République de France . Encore faut-il le préciser .source

2) Mais REM fait surtout référence, en anglais, à Rapid Eye Movement (ou MOR pour mouvement oculaire rapide en Français), le nom donné à l'étape du sommeil paradoxal durant laquelle les globes oculaires s'agitent rapidement alors que le dormeur rêve.

Un groupe américain a aussi pris ce nom-là en 1980 à Athens (Georgie). Fondé notamment par le chanteur charismatique et très engagé (politique, environnement, LGBT) Michael Stipe, REM a ouvert la voie au rock alternatif des années 80 et 90. Kurt Cobain, de Nirvana, a régulièrement dit que son groupe n'aurait pas existé sans l'influence de REM.

Après plusieurs années underground, et des chansons marquantes d'une époque (Radio Free Europe, It's the end of the world as we know it...), 
 le quatuor a cartonné dans le monde entier avec "Losing my religion" ou "Shiny happy people" sur l'album "Out of time" (1990), voguant aussi sur le succès des clips à l'ère MTV.
source

 

 

Bio express  1949. Naissance à Paris.  1975. Diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris, elle intègre l’Assemblée nationale en tant que secrétaire générale adjointe du groupe parlementaire PS-MRG.  1981. Devient directrice de cabinet de Michel Crépeau, ministre de l’environnement, puis ministre du commerce, de l’artisanat et du tourisme.  1986. Directrice des ressources humaines de Prisunic, puis du groupe Printemps-Redoute, devenu PPR. Elle est licenciée en 1993.  1999. Nommée déléguée générale à l’emploi et à la formation professionnelle par Martine Aubry. Elle occupera cette fonction jusqu’en 2005, sous l’autorité successivement d’Élisabeth Guigou, de François Fillon et de Jean-Louis Borloo.  2005. Rejoint le conseil régional d’Île-de-France en tant que directrice générale des services.  2011. À la retraite depuis un an, elle devient présidente de l’Adie.  8 mai 2017. Nommée présidente par intérim d’En Marche! pour succéder à Macron.

Bio express 1949. Naissance à Paris. 1975. Diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris, elle intègre l’Assemblée nationale en tant que secrétaire générale adjointe du groupe parlementaire PS-MRG. 1981. Devient directrice de cabinet de Michel Crépeau, ministre de l’environnement, puis ministre du commerce, de l’artisanat et du tourisme. 1986. Directrice des ressources humaines de Prisunic, puis du groupe Printemps-Redoute, devenu PPR. Elle est licenciée en 1993. 1999. Nommée déléguée générale à l’emploi et à la formation professionnelle par Martine Aubry. Elle occupera cette fonction jusqu’en 2005, sous l’autorité successivement d’Élisabeth Guigou, de François Fillon et de Jean-Louis Borloo. 2005. Rejoint le conseil régional d’Île-de-France en tant que directrice générale des services. 2011. À la retraite depuis un an, elle devient présidente de l’Adie. 8 mai 2017. Nommée présidente par intérim d’En Marche! pour succéder à Macron.

Richard Ferrand a tenu une conférence de presse pour l'annoncer : le parti d'Emmanuel Macron change de nom. Il est désormais présidé par Catherine Barbaroux, 68 ans.

[Mis à jour le 8 mai 2017 à 18h09] Emmanuel Macron a démissionné de la présidence de son mouvement En Marche! ce lundi 8 mai à midi. L'association pour le renouvellement de la vie politique, fondée en 2016 s'est même doté d'un nouveau patron. Ou plutôt d'une patronne, puisque celle qui a été désignée pour devenir "présidente par intérim" du mouvement est une femme, Catherine Barbaroux. Et le parti, dans la perspective des législatives, commence à se structurer. Il change de nom est devient "La République un marche!"

C'est le secrétaire générale d'EM!, Richard Ferrand, qui l'a annoncé en conférence de presse. Ce dernier a fait le point sur son rôle dans le mouvement, qui est amené à évoluer : "J'ai été très fier d'animer la vie de ce mouvement depuis septembre dernier. Le premier acte de la refondation de notre vie politique s'est terminé hier avec l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République", a dit celui qui est pressenti pour devenir Premier ministre d'Emmanuel Macron.

LREM, créé pour les législatives

Hier, Richard Ferrand, l'ex-secrétaire général d'En Marche! avait par ailleurs indiqué sur son compte Twitter que les candidats investis par la majorité présidentielle "se présenteront sous l'étiquette La République En Marche". Des propos qu'il avait déjà tenus sur TF1 quelques minutes plus tôt. "Le chantier du rassemblement des Françaises et Français va s'ouvrir très rapidement et ce sera la première tâche à laquelle le président Macron va vouloir s'atteler", a prévenu le député du Finistère.

Emmanuel Macron envisageait dès l'entre-deux tours de réorganiser son mouvement. En Marche !, qu'il avait créé en avril 2016 comme une organisation qui n'avait "rien à voir avec un parti politique", devait revoir son fonctionnement, mais aussi sa façade. Lors de son interview à Médiapart le vendredi 5 mai, le candidat à la présidentielle n'excluait pas, pour mener la course des législatives, de changer d'étiquette et de se rapprocher de l'organisation d'un parti plus classique, longtemps honnie. "On essaiera de trouver une formule qui sera plus inclusive", annonçait le futur président de la République. Les initiales du mouvement "En Marche !" elles-mêmes étaient à revoir, elles qui correspondent à celles d'Emmanuel Macron.

Les élections du 11 et 18 juin seront donc le premier défi pour ce parti "du renouvellement". Car s'il entend présenter 50% de candidats issus de la société civile, Emmanuel Macron compte aussi investir 50% de candidats issus du monde politique... Dont il n'exige pas qu'ils quittent leur parti d'origine, mais qu'il contraint à choisir "La République en marche" pour seule bannière. A ce jour, seuls 14 candidats En Marche ! ont été désignés. La commission d'investiture, pilotée par Jean-Paul Delevoye, travaillait encore jeudi dernier pour rendre les derniers arbitrages. La liste des 577 candidats sera présentée cette semaine. Manuel Valls, qui avait reçu un appel du pied d'Emmanuel Macron la semaine dernière, a d'ores et déjà indiqué sur Europe 1 qu'il n'envisageait pas de quitter le PS pour adhérer à En Marche !. La question se posera peut-être pour François Bayrou, fondateur du MoDem. S'il ne sera pas candidat aux législatives, la décision du maire de Pau, qui avait fait alliance dès le premier tour avec Emmanuel Macron, sera très attendue.

La République En Marche (LREM) aura en tout cas un dilemme très compliqué à régler, lors de ces législatives et sans doute bien après. Car comme dans le gouvernement d'Emmanuel Macron, il s'agira de jouer la carte du renouvellement tout en intégrant les innombrables soutiens qui ont rejoint Emmanuel Macron du début à la fin de sa campagne. Des soutiens incarnés parfois par des personnalités présentes dans le paysage politique depuis des années...

source

"Discipline collective et diversité"

Richard Ferrand a également indiqué que les 577 candidats présentés aux législatives sous la nouvelle bannière La République en marche seront connus d'ici jeudi. "Au moins 50% de candidats sont issus de la société civile, il y aura au moins 50% de femmes et aucun candidat ne sera investi s’il a un casier judiciaire qui n’est pas vierge", a indiqué Richard Ferrand.

Pour empêcher d'éventuels frondeurs d'empoisonner le quinquennat, Richard Ferrand a notamment exigé "de la discipline collective". "La discipline collective, ce n’est pas une règle du passé, c’est une règle d’avenir (...), c’est une éthique". Enfin, Richard Ferrand a également parlé d'élus issus de la "diversité". La discrimination positive à l'américaine pourrait ainsi être actionnée.

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U
ILS ONT ENCORE CHANGER DE PYJAMA MAIS ONT GARDER LEURS ODEURS PESTILENTIELLES !
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