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Un verdict scandaleux qui servira sans doute de jurisprudence à l'avenir. Dans les milieux pédophiles par contre, ça n'a pas du tomber dans l'oreille d'un sourd. Comme d'habitude, silence ...
Hélas, les chiffres 2016 confirment l’explosion des viols et agressions sexuelles sur mineurs constatée depuis 2011.
Chiffres 2016
Les services de police et de gendarmerie comptent sur la France métropolitaine (pas de chiffres publiés en 2016 pour les DOM-TOM) :
12.650 agressions sexuelles sur mineurs (+3,30% par rapport à 2015)
7.050 viols sur mineurs (+2,95% par rapport à 2015)
Ces données confirment que 80% des victimes sont des filles.
Par contre il permet une fois de plus de battre en brèche l’idée reçue selon laquelle l’immense majorité des actes seraient des incestes commis dans le cercle familial.
70% des mineurs victimes d’abus sexuels le sont en dehors du cadre familial !
C'est plus que du culot, c'est de l'effronterie, de l'impudence, du cynisme. Cet être abject, au lieu d'aller se cacher, loin du regard de ceux qu'il a blessés, ose les affronter et, plus grave ...
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Ces chiffres sont à multiplier a minima par 10 puisque d’après les études annuelles de victimation “Cadre de Vie et Sécurité” (CVS) menées par le ministère de l’intérieur (15.000 personnes interrogées), moins d’un acte sur 10 fait l’objet d’une plainte.
NDLR: Une étude de victimation consiste à demander à un échantillon aléatoire de plusieurs milliers personnes ce qu’elles ont subi comme délits ou crimes au cours de leur vie.
En moyenne moins de 8% des victimes d’abus sexuels majeures portent plaintes d’après les enquêtes 2011-2015.
On peut supposer que ce chiffre est encore inférieur pour les mineurs (autonomie, confiance en soi, choc psychologique).
Donc nous parlons bien a minima de 90.000 mineurs victimes de viols et de 160.000 mineurs victimes d’agressions sexuelles en France en 2016.
Ceci n’est que pour une seule année.
Ces chiffres ne comptent pas les actes mais bien les victimes: une fillette violée tous les jours pendant 10 ans compte pour 1.
Au global il existe un consensus sur la question entre les administrations, associations, chercheurs qui se retrouvent sur les chiffres suivant :
d’une fille sur 6 (15%) et un garçon sur 14 (7%)
victimes d’abus sexuels avant 18 ans.
On rappellera que l’enquête de victimation “Virage” de 2015 prouve sur un échantillon de plus de 27.000 personnes interrogées que des abus sexuels sont commis pour la première fois :
avant 18 ans pour 60% des personnes
avant 11 ans pour 30% des personnes
Quand on parle d’abus sexuels en général, en fait on parle de pédocriminalité.
Cela mets aussi à mal l’idée reçue selon laquelle l’essentiel de la pédocriminalité serait subie à l’adolescence.
Libération de la parole ?
Souvent le lobby pédo argumente que ce n’est pas la pédocriminalité réelle qui augmente mais c’est simplement la libération de la parole qui fait monter les statistiques.
Ces résultats permettent de se faire une idée claire et fiable de l’ampleur de la soi-disante “libération de la parole”.
Les variations constatées sont très faibles et les différences ne sont pas statistiquement significatives.
En d’autres termes le taux de dépôt de plaintes ne varie pas suffisamment pour que ça veuille dire autre chose que l’effet du hasard lors de l’échantillonnage des personnes interrogées.
On aurait du mal à croire que ce taux varie de manière différente pour les mineurs…
Donc on en tire la conclusion que si la parole se libère dans les repas de famille, avec des amis ou des confidents, cela ne se traduit pas pour autant par des plaintes et des actions en justice(douloureuses, coûteuses, fastidieuses… mais salvatrices psychologiquement par la reconnaissance publique des faits).
Et il faut donc en déduire que hélas c’est bien la pédocriminalité réelle qui explose et non le taux de dépôt de plaintes des victimes.
Maintenant on passe à l’offensive!
Nous faisons face à un phénomène de société réel, brutal, omniprésent et quantitativement très important.
Cela a certainement été favorisé par Internet, l’hypersexualisation des enfants et le déni ou le manque de vigilance des parents qui préféreraient vivre dans un monde sans “pédo”.
Nous aussi, mais ce n’est pas le cas…
Sans tomber dans la paranoïa ou l’anxiété permanente, il est temps de veiller rationnellement sur nos enfants en prenant nos dispositions dans tous les moments où ils pourraient être exposés à des prédateurs.
Quelles sont les situations où je confie mon enfant ?
Qui peut-être amené à être en contact avec mon enfant ?
Pour faire quoi, aller où et dans quelles conditions ?
Quels éléments ai-je en ma possession pour donner ma confiance ?
Dois-je vraiment afficher mes enfants sur les réseaux sociaux?
Réveillons nous et assumons de manière responsable le monde dans lequel nous vivons car les gosses violés n’en ont rien à faire de nos états d’âmes, de nos œillères ou de nos paresses coupables.
C’est en parents et en citoyens responsables que nous devons agir.
Nos enfants sont la société de demain, protégeons-les, quitte à bousculer les habitudes, à parler de ce qui fâche ou de ce qui mets mal à l’aise.
Protéger nos enfants est notre droit le plus fondamental et notre devoir biologique le plus essentiel.
En cas de découverte d’un cas d’enfant abusé sexuellement, le réflexe à avoir est d’abord et avant tout chose d’aller faire des examens médicaux et de consulter un pédopsychiatrique le plus vite possible.
Ensuite exigez une procédure MELANIE lors de l’audition unique de l’enfant par les services de forces de l’ordre.
Cela consiste en un enregistrement audio et vidéo du témoignage de l’enfant victime recueilli par un personnel formé et spécialisé !
Demandez aussi à ce qu’ils vérifient que la caméra et les micros marchent avant car les procédures MELANIE sont trop souvent inexploitables à cause de matériel défectueux, de mauvaise manipulations, mais ça vous ne le saurez qu’après…
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