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L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


Réunion extraordinaire du Conseil de l'OTAN sur la Syrie= Màj 17h10

Publié par Brujitafr sur 26 Juin 2012, 16:14pm

Catégories : #CONFLICTS DANS LE MONDE

guerrière

 

17h10 :

L'OTAN restera « saisi » du conflit turco-syrien

L'OTAN restera « saisi » du conflit turco-syrien

Photo: EPA
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Le secrétaire général de l'OTAN Anders Fogh Rasmussen a déclaré à l'issue de la réunion extraordinaire du Conseil que celle-ci n'avait pas examiné l'application de l'article 5 du Traité de Washington fixant le principe de la défense collective suite à l'incident de l'avion turc abattu par la défense aérienne de Syrie.

Selon lui un tel incident ne doit pas se répéter. M. Rasmussen a souligné qu'il s'agissait du non-respect des normes internationales. « Cet acte est inacceptable et nous le condamnons dans les termes les plus forts », a-t-il dit. source

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15h50 :

L'Otan condamne Damas pour avoir abattu l'avion turc

 

Les pays de l'Otan ont mené mardi de premières consultations sur la Syrie, à la demande de la Turquie, condamnant fermement Damas pour avoir abattu un avion de combat turc, a indiqué le secrétaire général de l'Alliance atlantique, Anders Fogh Rasmussen, à l'issue d'une réunion extraordinaire du Conseil de l'Otan.

© ap.

"Nous considérons cet acte comme inacceptable et nous le condamnons dans les termes les plus forts", a-t-il déclaré devant la presse.

Le Conseil de l'Atlantique nord de l'Otan s'est réuni mardi matin à Bruxelles à la demande de la Turquie après la destruction de l'un de ses avions de combat par la Syrie. Elle s'est tenue à la demande de la Turquie qui a invoqué l'article 4 du traité de l'Alliance prévoyant que tout pays membre peut porter une question à l'attention du Conseil quand il estime que son intégrité territoriale ou sa sécurité est menacée.

C'est seulement la seconde fois depuis la création de l'Otan en 1949 qu'est évoqué l'article 4, la précédente ayant été en 2003, également à la demande de la Turquie, à propos de la guerre contre l'Irak. En 1990, Ankara avait toutefois été plus loin, invoquant préventivement l'article 5 - stipulant qu'une attaque contre un allié doit être considérée comme une attaque contre tous - ce qui avait entraîné le déploiement d'avions de combat, dont des Mirage belges, dans le sud-est de la Turquie.

"Nous n'avons pas discuté de l'article 5" cette fois, a déclaré M. Rasmussen. source

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Une réunion extraordinaire du Conseil de l'OTAN au niveau des ambassadeurs des 28 pays membres a commencé mardi à Bruxelles. La réunion a été convoqué d'urgence par la Turquie pour examiner l'incident de l'avion de reconnaissance turc abattu par la défense aérienne de Syrie.

Jusqu'à présent l'OTAN déclarait sa volonté de ne pas s'ingérer dans la situation en Syrie.

La veille, le vice-ministre des Affaires étrangères de Russie Alexandre Grouchko a exprimé l'espoir que le Conseil de l'OTAN n'entreprendrait nulle action qui pourrait provoquer l'escalade de la situation en Syrie et mettre en échec le règlement politique du conflit syrien. source

"ballet aerien, islande" by g. soligny

L’avion turc aurait été abattu par le système antiaérien russe « Pantsir »

Les forces antiaériennes de la Syrie auraient pu utiliser le dispositif antiaérien de courte et moyenne portée « Pantsir S1 » pour abattre le chasseur turc F-4 Phantom.

« Selon l’information disponible sur Internet, il est clair que le Phantom turc a été abattu par des tirs d'artillerie. Et la défense antiaérienne syrienne est équipée uniquement du système « Pantsir », a indiqué le général-lieutenant Leonid Sajine, l’expert militaire dans ce domaine.

En évaluant l’état des forces syriennes de la Défense antiaérienne, Sajine a souligné que « cet incident montre la capacité de combat et la viabilité et des systèmes de défense antiaérienne de la Syrie, et cela veut dire que le pays a encore du potentiel militaire qu’il peut montrer ».source

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Nouvel incident aérien entre la Syrie et la Turquie

Un nouvel incident aérien entre la Syrie et la Turquie, qui n’a fait ni victime ni dégât matériel, s’est produit au dessus de la Méditerranée après la destruction d’un avion de combat F-4 turc abattu vendredi par la Syrie, a indiqué lundi une source diplomatique européenne à l’AFP.

Un avion Casa CN-235 de recherche et de sauvetage de l’armée turque qui participait aux recherches des deux pilotes du F-4, a été visé par un système de défense sol-air syrien, l’étape ultime avant l’ouverture de feu, a expliqué cette source.

Ce système de défense comprend un radar et des missiles.

Lorsqu’un avion est pointé par un système de défense, il en est averti par ses instruments, et c’est ce qui s’est produit, a-t-on précisé.

On ignore si l’avion se trouvait au moment de cet incident dans l’espace aérien syrien, soit à moins de 12 milles nautiques (env. 22 km) de la côte syrienne, ou dans l’espace international.

L’incident, qui a eu lieu vendredi ou samedi, a été rapporté par le ministre des affaires étrangères turc Ahmet Davutoglu aux diplomates des pays de l’Union européenne et de l’Otan lors d’une réunion dimanche à Ankara, a précisé cette source.

Une autre réunion d’information sur ces incidents a eu lieu au ministère des Affaires étrangères avec des représentants de plusieurs autres pays.

Un avion de combat F-4 turc a été abattu vendredi par la défense aérienne syrienne, alors que, selon Ankara, il effectuait une mission d’entraînement, n’était pas armé, et se trouvait dans l’espace aérien international, après une brève incursion dans l’espace syrien.

L’incursion dans l’espace syrien aurait été de trois minutes selon la Turquie, et de cinq selon la Syrie. L’arbitrage est compliqué par le fait que la Turquie n’a pas signé la Convention de Montego Bay (1982) sur le droit de la mer, à cause de ses différends territoriaux avec la Grèce.

Les deux pilotes sont portés disparus.

Un navire garde-côte, deux frégates, quatre vedettes rapides des gardes-côtes, cinq hélicoptères et des avions basés à Ankara, dont des Casa, participent aux recherches, menées en coordination avec des forces syriennes, selon la même source diplomatique.

Suite au grave incident du F-4, la Turquie a demandé une réunion urgente avec ses alliés de l’Otan, qui aura lieu mardi à Bruxelles. source

La Turquie revendique une condamnation de l'OTAN

La Turquie revendique une condamnation de l'OTAN

La Turquie a convoqué une réunion extraordinaire du Conseil de l'OTAN au niveau des ambassadeurs au sujet de l'avion de reconnaissance turc abattu par la Syrie. Cette consultation doit avoir lieu mardi.

L'OTAN déclarait jusqu'à présent sa volonté de ne pas s'ingérer dans la situation. Le chasseur a été abattu vendredi dernier, deux pilotes ont disparu. Une déclaration du ministère des Affaires étrangères de Turquie diffusée aujourd'hui stipule que la Syrie était entièrement responsable pour la destruction du chasseur turc. source

 

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L'avion turc abattu n'était pas dans l'espace syrien : l'Otan confirme une réunion mardi

Le chef de la diplomatie turque a déclaré que l'avion abattu vendredi par l'armée syrienne effectuait, sans arme, une mission d'entraînement et de test d'un système radar.

 

L'avion de combat turc abattu vendredi par la Syrie se trouvait dans l'espace aérien international et non dans l'espace syrien, a déclaré aujourd'hui le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, précisant que l'avion effectuait sans armes une mission d'entraînement et de test d'un système radar. 

"L'appareil n'a montré aucun signe d'hostilité envers la Syrie et a été abattu 15 minutes environ après avoir violé momentanément l'espace syrien", a-t-il ajouté. Selon lui, aucun avertissement n'est venu de la Syrie. "Les Syriens savaient bien qu'il s'agissait d'un avion militaire turc et la nature de sa mission", a-t-il assuré. 

Vendredi soir, la Syrie avait confirmé avoir abattu l'avion de chasse, affirmant qu'il avait pénétré d'environ un kilomètre dans son espace aérien, au-dessus de ses eaux territoriales. Selon Damas, les forces syriennes n'ont découvert qu'après avoir tiré sur l'appareil qu'il s'agissait d'un avion de l'armée turque.

L'Otan a confirmé ce dimanche la tenue d'une réunion mardi prochain sur l'avion turc abattu par la Syrie. Une demande en ce sens avait été faite plus tôt dans la journée par Ankara. 

L'article 4 du traité fondateur de l'alliance permet des consultations "chaque fois que (...) l'intégrité territoriale, l'indépendance politique ou la sécurité de l'une des parties sera menacée". 

Lu sur Le Figaro.fr

 

 

 

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La Turquie étudiait, samedi, sa riposte à la Syrie, qui a reconnu avoir abattu la veille un avion de combat turc, un grave incident qui attise encore les tensions entre Ankara et Damas et menace de lourdes conséquences internationales, au-delà des deux pays. Ankara a attendu près de douze heures vendredi pour confirmer que l'un de ses F-4 Phantom, qui avait décollé de sa base de Malatya (sud-est), avait été abattu par la DCA syrienne, excluant la thèse d'un accident.

Des recherches étaient en cours samedi en Méditerranée, au large de la province turque de Hatay (sud), pour tenter de retrouver les deux pilotes de l'appareil, des opérations auxquelles participe également la Syrie, a indiqué le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, qui a tenu une réunion de crise à Ankara à son retour de Rio du sommet de l'ONU sur le développement durable. De premières informations attribuées vendredi soir à Recep Tayyip Erdogan par la presse turque avaient indiqué que les deux pilotes étaient vivants.

"Après évaluation des données (...), on comprend que notre avion a été abattu par la Syrie", a annoncé dans la soirée un communiqué de ses services de presse. "La Turquie fera connaître son attitude définitive et prendra avec détermination les mesures qui s'imposent quand toute la lumière sera faite sur cet incident", indiquait le communiqué. Le communiqué ne donne pas de détails sur la mission qu'effectuait le F-4 - un avion généralement affecté par l'armée de l'air turque à des missions de reconnaissance - à proximité de la Syrie.

Zones d'ombre

À Damas, un porte-parole de l'armée syrienne a confirmé que l'appareil turc avait bel et bien été abattu."Nous avons confirmé que la cible (du tir syrien) était un avion militaire turc qui a été touché par un coup direct après être entré dans l'espace aérien syrien. Il s'est écrasé en mer dans les eaux territoriales syriennes à environ 10 kilomètres des côtes de la province de Lattaquié", a déclaré en soirée cette source. Le porte-parole a ajouté que les radars syriens avaient détecté une "cible non identifiée" ayant pénétré dans l'espace aérien syrien à grande vitesse et à basse altitude.

De nombreuses zones d'ombre persistent cependant sur ce grave incident : pourquoi l'avion n'a-t-il pas reçu ou répondu aux avertissements radio d'usage avant l'utilisation de la force ? Et que faisait-il dans l'espace aérien syrien, comme l'affirme Damas ? Ankara a opté dans un premier temps pour la retenue et a annoncé attendre les conclusions d'une enquête complète avant de définir sa réponse, afin, selon les observateurs, d'éviter d'être entraîné dans une confrontation militaire avec son voisin syrien. Et ce, alors que la Syrie est au bord de la guerre civile, avec des combats quotidiens entre armée régulière et différents groupes rebelles, après plus d'un an de manifestations antigouvernementales.

"Il faut d'abord établir si l'avion turc a violé ou non l'espace syrien. Même en cas de violation, la procédure habituelle est de chasser un intrus ou de le forcer à atterrir", explique le professeur en relations internationales Ilter Turan, de l'université stambouliote de Bilgi. Son collègue de l'université Yeditepe d'Istanbul, Mesut Casin, évoque une "attitude hostile" de la Syrie, qui devrait songer à s'excuser auprès de la Turquie et lui payer des réparations, pour que les Turcs décident de classer l'affaire.

Risque d'escalade

Depuis la répression sanglante par le régime syrien du mouvement de contestation, les bons rapports économiques et politiques entre les administrations turque et syrienne n'ont cessé de se dégrader. La Turquie réclame le départ du régime syrien, abrite sur son sol quelque 32 000 réfugiés syriens ainsi que des soldats rebelles qui ont fui le conflit. Elle accueille aussi le Conseil national syrien (CNS), principal rassemblement de l'opposition politique syrienne.

Autant de raisons de redouter que le grave incident de l'avion de chasse turc ne provoque une dangereuse escalade entre les deux pays, voire au-delà, l'un allié de l'Otan et des États-Unis, l'autre allié de l'Iran et soutenu par la Russie. La Turquie a prévenu récemment qu'elle pourrait invoquer l'article 5 du traité de l'Otan, qui prévoit une action de tous les membres de l'Alliance atlantique, pour protéger sa frontière avec la Syrie, après des tirs des forces syriennes vers le territoire turc. L'Otan a annoncé qu'elle n'envisageait pas d'intervenir en Syrie.

Cet incident intervient au lendemain de la publication par le New York Times d'informations sur la présence de la CIA en territoire turc pour superviser des livraisons d'armes aux rebelles syriens, armes fournies par la Turquie et des pays arabes. La Turquie, qui partage avec la Syrie une frontière de plus de 900 kilomètres, a démenti cette information et toute livraison d'armes.source

Photo: RIA Novosti

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