Je sens un très grande pression qui est en train de monter des entrailles du pays.
Notre gouvernement de fantoches et de guignols pense que le « storytelling » et les « éléments de langage » sont suffisants pour « tenir » la population. Ils pensent que personne ne voit leurs incompétences, leurs inconstances, leurs mensonges, leur nullité crasse, leurs manipulations, et parfois, même, leurs trahisons.
Ils se trompent lourdement.
Très lourdement.
Ils sont impardonnables.
Les Gilets Jaunes sont rentrés chez eux contraints et forcés par une pandémie et motivés par une répression toute « poutinienne » à base de flash-ball dans la tête sans que cela n’émeuvent trop nos grands démocrates préoccupés surtout par la préservation de leurs plates bandes c’est-à-dire des avantages dont bénéficient tous les membres du « tout-Paris » comme par exemple se faire des dîners clandestins lorsque pour le petit peuple, la loi est dure et dure est la loi.
Ils sont impardonnables.
Pourtant nous avons des signaux faibles de plus en plus forts.
La dictature sanitaire parce qu’elle est excessive, folle, insupportable et surtout parce que les actions et les inactions de nos mamamouchis sont totalement contradictoires qu’elles en deviennent insupportables pour ceux qui n’ont pas totalement renoncés à utiliser leur cerveaux.
Confinés ici, mais le Brésil peut venir tous les jours ici avec ses variants. Les écoles ne sont pas un problème, mais nous finissons face aux évidences par fermer les écoles. Les masques ne servent à rien. Les masques sont désormais obligatoires même sur les plages sinon c’est 135 euros d’amende. Tout ceci, c’est une année d’effroyable amateurisme, d’aveuglement et de mensonges.
Que le gouvernement ne s’occupe pas trop de ceux qui ne pensent plus.
Ce n’est pas cette catégorie qui fait les révolutions.
Pour le moment la révolution couve.
Elle est là.
Si elle reste aussi élégante que cette si douce et belle protestation en chanson alors ce sera pacifique.
Ce qui est à redouter, c’est évidemment le moment du déconfinement, car l’élastique est très tendu, et si c’est la fête en Angleterre avec la réouverture des pubs, en France, c’est un moment d’anarchie qui est à redouter.
Tant que la population fait preuve d’irrévérence avec élégance le pouvoir serait bien inspiré pour sa propre survie (et l’intérêt de tous) de laisser ces formes sympathiques s’exprimer car comme le disait Kennedy « à vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ».
Les gens veulent danser encore.
Les gens veulent vivre.
Etre enfermé, ne plus avoir d’école, ne plus avoir de vie sociale, ne plus sortir, ne plus faire la fête, c’est déjà mourir un peu.
Mourir en bonne santé n’a pas franchement d’intérêt.
Faire attention oui ne plus rien faire ? Non.
Les gens veulent danser encore, et ils ont raison.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Commenter cet article