SGP Police dénonce l'absence d'ordre d'arrêter les Black Blocs - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
124 personnes interpellées dans toute la France. 24 policiers ou gendarmes blessés, dont trois très grièvement à Paris. 24 personnes placées en garde à vue dans la capitale. Dans plusieurs v...
http://www.brujitafr.fr/2018/11/sgp-police-denonce-l-absence-d-ordre-d-arreter-les-black-blocs.html
#DIRECT - #GiletsJaunes - Soirée sous haute tension à Paris. - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
DIRECT - #GiletsJaunes - Soirée sous haute tension à Paris. https://www.facebook.com /brutofficiel/videos /337388367063327/ Le mouvement des "gilets jaunes", dénonçant à l'origine la hausse de...
http://www.brujitafr.fr/2018/12/direct-giletsjaunes-soiree-sous-haute-tension-a-paris.html
Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs annoncé qu’un manifestant, gravement blessé, était en « état d’urgence absolue ».
Invité sur le plateau du 20H de TF1, Christophe Castaner a fait le bilan d’une journée émaillée par de graves violences, notamment à Paris, en marge de la manifestation des Gilets jaunes.
Interrogé sur d’éventuelles tensions au moment auquel il parlait, le ministre de l’Intérieur a évoqué une situation « apaisée mais pas sécurisée ». « La place de l’Etoile et l’Arc de Triomphe ont été repris », a-t-il mis en avant, concédant que « des groupes en train d’errer dans Paris » devaient encore être « neutralisés ».
Un blessé en « état d’urgence absolue »
Le premier flic de France a également dressé un bilan humain de la journée. En tout, sur la centaine de blessés identifiés, « un Gilet jaune » est en « état d’urgence absolue ». L’homme a été renversé par une grille décrochée par les manifestants.
Le ministre a tenu à faire le distinguo entre les manifestants légitimes et ceux qui étaient là « pour blesser », et même parfois « pour tuer » des membres des forces de l’ordre. « Ils se sont camouflés en Gilets jaunes », a-t-il affirmé. Avant d’évoquer le cas de manifestants embrigadés par des individus plus virulents.
« Ne vous laissez plus embarquer »
« La plupart » des personnes interpellées « ne sont pas dans un profil de militant connu ou reconnu, a-t-il ainsi assuré. Parce qu’ils se sont fait avoir ! » Et de s’assurer aux mécontents pacifiques : « Ne vous laissez plus embarquer, protégez-vous », a-t-il intimé, invitant à « rentrer dans le dialogue » et « faire chemin commun ».
Alors que plusieurs figures de l’opposition accusent l’exécutif d’avoir laissé pourrir la situation afin de discréditer le mouvement, le ministre de l’Intérieur s’est montré ferme. « Est-ce que vous imaginez une seconde que quelqu’un prendrait le risque d’exposer nos forces de l’ordre pour des questions politiques ? », a-t-il questionné.
Christophe Castaner a alors évoqué « la réalité » de « manifestations qui ne sont jamais déclarées ». Et rendu hommage aux « 66 000 membres des forces de l’ordre mobilisés partout en France ».
Plus tard, interrogé par BFM TV sur l'opportunité d'instaurer l'état d'urgence, comme le réclame le syndicat Alliance, le ministre de l’Intérieur a dit ne pas avoir de « tabou ». « Nous étudierons toutes les procédures qui nous permettront de sécuriser plus encore (...). Moi, je suis prêt à tout regarder. »
Commenter cet article