2012. Nous y sommes.
Dit simplement…
Pour nous petits humains, 2012 n’est pas la fin du monde, mais le début d’un nouveau. Un monde intermédiaire, un monde de changement qui nous touchera jusqu’en 2079, moment où la métamorphose de la nouvelle planète sera complète.
Cette période qui s’échelonne de 1984 à 2079 n’est pas unique. Divisée en sept parties appelées journées, cette semaine était répertoriée dans le savoir traditionnel des anciens comme l’Apocalypse.
La Terre et les planètes tournent et changent. Elles le font et le feront encore. Ainsi en va t’il du plan divin. Nous entrons maintenant dans la troisième journée de l’Apocalypse. Jupiter entre dans la constellation du Taureau et viendra en 2013 compléter la formation pentagonale des planètes joviennes. À terme de la période actuelle, les terres cultivables et la population de la planète seront réduites à une fraction de ce qu’elles sont présentement.
Famines, crises sociales et guerres ne cesseront pas. En 2012, la musique du chaos s’enflera d’un autre ton.
Visible par les aurores boréales qui continueront à descendre en latitude, le champ magnétique continuera à s’appauvrir et la protection qu’il nous apporte contre les perturbations climatiques continuera à s’amenuiser.
Le climat planétaire.
La chaude température se poursuivra encore un moment. Mais les précipitations vont augmenter vers la fin janvier. En mars, la chaleur exceptionnelle se transformera en température froide accompagnée de vents et de pluies en grande quantité. Avril sera un retour à une chaleur trop hâtive et malsaine. À partir du milieu de mai jusqu’à aout, les changements de températures seront rapides et les écarts importants, il faut par conséquent s’attendre à des temps orageux et de nombreux épisodes de grêles. L’automne sera froid et pluvieux et l’hiver sera plus chargé en neige.
L’activité volcanique de la bande équatoriale s’accroitra de quelques crans. Trois fenêtres de tremblements de terre plus importante s’ouvriront dans l’année. La première sera de la mi-février jusqu’à la fin de mars. Une seconde fenêtre se produira en mai-juin. Une troisième à la toute fin de l’an.
La succession des brusques variations et des phénomènes se produiront principalement à des moments important pour les récoltes et elles auront comme conséquence d’affecter la saison des cultures.
Le climat vital .
Avril sera trop chaud et l’automne sera froid et humide. Ces saisons seront par conséquent malsaines et propices aux développements de maladie.
C’est dans les dernières journées de juin, d’aout et d’octobre que les conditions culmineront à nouveau pour occasionner des morts d’animaux massives comme par les années passées.
Déjà les humeurs sont plus irritées et agressives qu’à l’habitude, même les animaux sont plus agressifs. Trois crises solides de climat vital s’ajouteront. D’une semaine chacune, la première crête se produira le 21 de mars, la seconde crête se produira le 28 de juillet et la troisième crête se produira le 17 de novembre. Crise humaine, tuerie insensée, les raisonnements seront courts et les réactions promptes.
Culminant en aout et provoquant de nombreuses révoltes, une nouvelle vague de débâcle sociale se développera autour du Moyen-Orient occasionnant au passage un regain d’activité dans les pays bordant le nord de la Méditerranée.
Le plan humain.
Le plan humain fut spécialement concocté par des joueurs dominants pour tirer parti des extrêmes du climat planétaires et du climat vital. Crises, révolutions et provocations guerrières sont soigneusement planifiées et préparées de longue haleine. Elles sont conduites aux excès à des moments ou les individus sont plus vulnérables, engageant des réponses excessives et laissant la porte ouverte à toutes les exactions.
La guerre garantit la dette, un portail de l’esclavage en continu.
D’ailleurs vous n’avez qu’à observer l’état lamentable de l’économie de votre pays pour vous en convaincre.
Le plan fut appliqué selon le même stratagème à de nombreuses reprises depuis le 14e siècle. Quand une crise des climats s’approche dans une région, un pays ou un continent, une libéralisation économique débridée est alors semée à tout vent. Le savoir-faire est exporté, les richesses sont liquidées et la main-d’oeuvre désabusée. Les premières crises sociales sont le prétexte à démarrer une spirale de violence qui débouche toujours sur des interventions militaires interne ou externes, mettant tout à sac. Ne possédant plus les ressources nécessaires pour payer ses dettes de guerre, il ne reste que les titres de propriété et la mise en tutelle de la population, souvent attelée comme bête de somme à la production d’armement, poursuivant ainsi une chaîne infernale. Épousant étroitement les cycles du climat et profitant d’un moment similaire, c’est au début du 20e siècle que ce stratagème fut appliqué pour la dernière fois et qu’il s’apparente le plus à celui moderne. Ainsi, aux mêmes étapes de l’escalade climatique, il sera possible de retrouver des actions et provocations similaires. Le 9-11 en était.
La première moitié de l’année sera un moment propice aux provocations de guerres. Il faut s’attendre à des évènements d’éclats. Déjà alimentés par une dépression économique, les coups de gueule aux voisins et aux groupes de pression populaires garantiront de maintenir une tension suffisante. Devant l’affront, les sensibilités exacerbées feront le reste et assureront un appui croissant au front populaire qui prendra l’allure de révolution à plusieurs endroits de la planète.
C’est à partir du milieu d’aout qu’ils s’attèleront à enfarger l’économie. Septembre, octobre et novembre seront des mois très sombres résultants d’une crise économique qui sera plus sévère encore que celle de 1929. Pour y arriver, un climat de guerre suffisamment relevé devra être instauré et être en place pour aout, et des actions de guerre percutantes devront être exécutées. C’est de cette crainte que naitra le chaos nécessaire à l’effondrement financier. Turquie, Iran, Israël, Pakistan, Irak, Afghanistan, les candidats ne manquent pas. Cette première vague de guerre deviendra le prélude à la troisième guerre mondiale dans les prochaines années.
Du même coup, il est probable qu’il y ait résurgence de maladie contagieuse. L’automne qui approche sera un moment favorable aux développements de ces maladies. Un changement qui deviendra la norme des prochaines décennies. Il faudra surveiller étroitement les vecteurs de contagion.
Commenter cet article