Les prophéties se réalisent ! L'Iran prend le contrôle du détroit d'Ormuz, risque de guerre et de récession

Publié par Brujitafr sur 30 Août 2018, 13:53pm

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Les prophéties se réalisent ! L'Iran prend le contrôle du détroit d'Ormuz, risque de guerre et de récession

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Depuis 24 heures, l'Iran a annoncé avoir pris le contrôle total du Détroit D'Ormuz. Il s'agit là d'un événement capital mais pourtant les médias n'en parlent pas trop, probablement soucieux de ne pas effrayer le public de ses conséquences néfastes à savoir une la guerre, une hausse des cours du brut et une récession généralisée car un tiers du pétrole mondial passe par ce détroit.

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Lundi, le chef de la marine des gardiens de la révolution, le général Alireza Tangsiri, a déclaré que l’Iran avait le plein contrôle du Golfe et que la marine américaine n’y avait plus sa place.

Tangsiri a indiqué que l’Iran avait le contrôle total de la région du Golfe et du détroit d’Ormuz qui y mène.

Il a déclaré : "Nous pouvons assurer la sécurité du golfe Persique et il n'y a pas besoin de la présence d'étrangers comme les Etats-Unis et les pays qui ne sont pas ici chez eux"

Il a ajouté : "il y a une supervision complète du golfe Persique. Tous les transporteurs et les navires militaires et non militaires seront contrôlés. Notre présence dans la région est physique et constante, nuit et jour. "

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a déclaré le mois dernier qu’il soutenait l’idée que si l’Iran n’était pas autorisé à exporter du pétrole, aucun pays ne devrait exporter du pétrole du Golfe.

Dans la soirée de lundi, le secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, a réagi sur Twitter à cette annonce en estimant que "la République islamique d'Iran ne contrôlait pas le détroit d'Ormuz".

The Islamic Republic of Iran does not control the Strait of Hormuz. The Strait is an international waterway. The United States will continue to work with our partners to ensure freedom of navigation and free flow of commerce in international waterways.
— Secretary Pompeo (@SecPompeo) 27 août 2018

"Le détroit est une voie navigable internationale. Les Etats-Unis vont continuer à travailler avec nos partenaires pour assurer la liberté de navigation et la libre circulation du commerce dans les voies navigables internationales", a-t-il ajouté.

Le scénario le plus probable est que les États-Unis ne reconnaîtront pas le contrôle de l'Iran. Si l'Iran tente de contrôler les navires militaires américains, cela déclencherait probablement un affrontement.

Les forces en présence :

Les planificateurs militaires américains croient que les forces américaines et alliées battraient l’Iran s’il tentait de fermer le détroit d’Hormuz. Les plus optimistes pensent que les forces dirigées par les États-Unis pourraient rouvrir le détroit en quelques jours, alors que d’autres pensent que le rétablissement du trafic maritime pourrait prendre jusqu’à trois mois.

Même dans le scénario optimiste, un véritable conflit feraient monter le pétrole à plus de 100 dollars le baril, même si une crise était en grande partie résolue en quelques jours.

Dans les scénarios courts, il existe un pipeline et d'autres capacités et, dans les scénarios plus longs, il existe des réserves stratégiques. Une crise plus importante se produirait si un Iran désespéré frappait l’installation de traitement du pétrole saoudien Abqaiq. Cela perturberait 7 millions de barils par jour jusqu'à ce qu'il soit réparé.

Il y a des bases américaines et des troupes américaines en Arabie Saoudite, au Koweït, à Bahreïn et en Turquie.

La 5e flotte américaine est actuellement déployée dans le golfe Persique avec des transporteurs, des navires, des avions de combat, des marins et des marins et a été impliquée dans des affrontements périodiques avec les forces iraniennes.

Selon l'US Navy, de janvier 2016 à août 2017, il y avait en moyenne 2,5 interactions par mois entre les troupes américaines et les forces maritimes iraniennes.

De son côté, l’Iran possède des milliers de mines terrestres, de torpilles, de missiles de croisière avancés, de sous-marins de taille normale et de mini-sous-marins, ainsi que sa flottille de petits bateaux d’attaque rapide. l’Iran vient de tester un missile balistique à courte portée, le Fateh-110.

L'Iran dispose de divers missiles anti-navires. Le Nasr-1 est un missile anti-navire capable d’éviter les radars. Il a une portée d'environ 35 kilomètres. Il a la capacité de détruire des cibles de 1 500 tonnes telles que de petits navires de guerre comme des frégates. Le missile Nasr-1 peut être lancé depuis des bases intérieures et des navires militaires en mer, et il est en train d’être modifié pour être tiré à partir d’hélicoptères et de sous-marins.

L’Iran a déjà harcelé des navires de la marine américaine dans le golfe Persique et autour du détroit d’Hormuz, le cas le plus notable étant la capture de 10 marins américains dans les eaux iraniennes en janvier 2016

Petit rappel des faits :

Depuis plusieurs mois, les tensions sont au plus haut entre Washington et Téhéran depuis que Donald Trump a décidé en mai dernier de sortir de l'accord de 2015 sur le programme nucléaire iranien et de rétablir le programme des sanctions.

La République islamique est menacée par une grave crise économique qui a causé le mécontentement populaire et pour couronner le tout, depuis quelques jours, la caste dirigeante est la cible d'un scandale qui a révélé l'immensité de sa corruption.

Pour les dirigeants iraniens, la seule issue de sortie est de durcir ses positions au risque de déclencher une guerre que ce soit contre les USA ou contre les monarchies du Golfe y compris l'Arabie Saoudite.

De son côté, Donald Trump est lui même menacé de destitution après les élections de mi-mandat et cette fois l'oligarchie mondialiste menée par Georges Soros a fait en sorte de faire taire tous ces supporters dans les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs (Cf la mise à l'écart d'Alex Jones).

Les dirigeants iraniens et américains sont donc pris au piège, ils n'ont pas d'autre choix que de durcir leurs positions au risque de déclencher une guerre inutile, sachant que dans ce cas de figure, ils bénéficieront automatiquement du soutien populaire.

De mon côté, cela fait plusieurs années que sur la base d'anciennes prédictions, j'annonce que l'Iran va lancer une grande offensive au moyen-orient. Cette fois, nous y sommes, il n'y a plus d’échappatoire, il suffit qu'un navire américain refuse de se laisser contrôler pour que démarrent les hostilités et il se pourrait bien qu'une fois lancée et après avoir pris la mesure des forces en présences, l'armée iranienne décide de tout dévaster y compris le reste du monde car le commerce mondial dépend en grande partie de cette région stratégique que constitue le détroit d'Ormuz.

Voici unes des nombreuses prophéties qui annoncent cela :

« Dans l’année où le Meleh Hamachiah (Messie-Roi) apparaît, toutes les nations du monde se provoquent les unes les autres. Le roi de Perse provoque un roi arabe et le roi arabe se tourne vers Aram pour des conseils.

Et le roi de Perse revient et détruit le monde entier. Et toutes les nations du monde sont en panique et en détresse, et ils tombent sur leurs faces et sont pris de douleurs comme celles d’une femme qui accouche, Israël est dans la panique et la détresse et demande » où irons-nous ? Où irons-nous ? »

(Commentaire du Rabbi Its’hak à propos d'une prophétie tirée du livre d’Isaïe)

Mais normalement, avant cette grande offensive, nous devrions assister à d'autres événements qui ont été prophétisés : l'apparition d'un grand éclair dans le ciel, la mort d'un Calife ainsi qu'un accord de paix avec Israël.

Il nous reste donc encore un peu de temps...

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