Face aux dirigeants tchadien, nigérien et libyen, hostiles à la création de « hot spots » d’enregistrement sur leur territoire, le président français a préféré parler de « missions de protection ».
Le président du Niger, Mahamadou Issoufou, celui du Tchad, Idriss Déby, Emmanuel Macron et Angela Merkel à l’Elysée, le 28 août. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE / FRENCH-POLITICS POUR LE MONDE
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