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Maintenant que l’État et ses médias ont faussement qualifié le coronavirus de pandémie proche de celle de la grippe de 1918 (faussement attribuée à l’Espagne), il est temps que l’élite mondiale et ses technocrates imposent au monde non seulement des vaccins très rentables (pour les grandes entreprises pharmaceutiques) mais aussi des identifications biométriques.
« Alors que les pays commencent à lever les quarantaines liées au coronavirus, l’identification biométrique peut aider à vérifier ceux qui ont déjà eu l’infection, et à s’assurer que les personnes vulnérables reçoivent le vaccin lorsqu’il est lancé, ont déclaré les experts en santé et en technologie », a rapporté Reuters.
Un système d’identification biométrique peut garder une trace des personnes infectées et de celles qui reçoivent le vaccin, a déclaré Larry Dohrs, responsable pour l’Asie du Sud-Est de iRespond, une association à but non lucratif basée à Seattle qui a lancé sa technologie le mois dernier.
Le prétexte pour cela – comme pour la décimation de la Libye, de la Syrie et de l’Irak par les États-Unis – est « l’humanitarisme », selon iRespond et Simprints, une ONG britannique partenaire de la Global mHealth Initiative de l’université Johns Hopkins, cette dernière étant liée à l’armée américaine et à ses scénarios de pandémie « Dark Winter » et « Event 201 » (voir Whitney Webb : All Roads Lead to Dark Winter).
La surveillance totale exige un suivi 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 des individus – en particulier ceux qui figurent dans la base de données Main Core des militants et des ennemis politiques de l’État – et la technologie biométrique introduite pendant l’hystérie d’une menace sanitaire exagérée fait l’affaire.
ID2020 – un projet initié par la Fondation Rockefeller, Bill Gates et Microsoft, des sociétés pharmaceutiques transnationales et des entreprises technologiques – met en avant le concept selon lequel chaque être humain sur la planète a besoin d’une vérification biométrique parce que « prouver qui vous êtes est un droit humain fondamental et universel », selon le site web ID2020.
« Ce qu’ils veulent vraiment, c’est un format de collecte et d’extraction des données entièrement normalisé, et le partage transfrontalier des identités de toute la population de la planète, afin que le centre de commande autonome alimenté par l’IA fonctionne sans accroc, et afin de calculer la contribution potentielle de chacun et la menace qui pèse sur le système », explique OffGrid Healthcare.
Si vous pensez que ce système est dangereusement proche du système de « crédit social » de la Chine, vous n’êtes pas loin du compte.
L’introduction de cette technologie totalitaire sous le couvert d’une supposée pandémie, qui fait l’objet de nombreuses spéculations et d’une pénurie de chiffres précis, est une couverture presque parfaite de la « technologie d’identification des patients », qui produit des données sur les individus partagées avec l’État et ses partenaires commerciaux.
Un vaccin prétendument conçu pour combattre le COVID-19 deviendra obligatoire et ceux qui résistent seront mis sur la liste noire des criminels de santé publique. Ils seront mis à l’écart de la société, comme les citoyens chinois qui souffrent sous le système de crédit social totalitaire de la Chine.
Martin Armstrong pense que le complexe industriel et médical et l’État introduiront subrepticement une puce d’identification et de suivi nanotechnologique ainsi qu’un cocktail de toxines vaccinales, ou qu’ils le vendront au public comme moyen d’identifier les personnes présumées infectées.
La proposition est un certificat numérique qui vérifie si vous avez été vacciné et qui a été développé par le MIT et Microsoft. Ils envisagent de le fusionner avec ID2020 de Bill Gates. Il est tout à fait possible que cette peur ait été un complot délibéré pour faire accepter ces implants numériques. Refusez et vous serez interdit de rassemblement social. Comme le 11 septembre nous a conditionnés à être scannés avant de monter à bord d’un avion, la prochaine étape consiste maintenant à implanter des marqueurs numériques qu’ils ont utilisés sur des chiens et des chats.
Le COVID-19 est le cheval de Troie parfait pour un État qui veut non seulement microgérer la vie des citoyens ordinaires, mais aussi dénicher les critiques et les adversaires potentiels et les punir en tant qu’ennemis de l’État. Ce dernier est l’objectif ultime. L’histoire regorge d’exemples, de Staline et Mao à Hitler et Mussolini, en passant par des autocrates et des dictateurs de moindre envergure.
Traduction de Another Day In The Empire par Aube Digitale
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