Quand Kouchner, Glucksmann, Lang
et toute la clique des intellectuels
de gauche soutenaient des
pédophiles
La même année, Libération publiait également un appel à participation pour une réunion afin de constituer le FLIP (Front de libération des pédophiles). Il est beau leur progrès sociétal, elle est belle leur émancipation sexuelle !
Cette pétition n’est qu’un élément parmi de nombreuses lettres ouvertes, autres pétitions, et tribunes publiées par Libé, Le Nouvel Obs et Le Monde à la fin des années 70. La dernière pétition de Libération en faveur de la pédophilie date de 1979… Il n’y a pas si longtemps…
"... pour l'un de ses anciens amis, "l'inacceptable" est ailleurs, pas dans ses relations avec des adolescentes, "pas tout à fait de la pédophilie", minimise-t-il. Selon lui, "il tombera pour ses histoires de tourisme sexuel". Matzneff en est un habitué. Sur son site, on lit ainsi qu'"écartelé par ses amours" avec huit jeunes filles, "Gabriel s'enfuit à nouveau aux Philippines".
L'ancien proche qui a accepté de nous parler assure avoir mis fin à son amitié avec l'écrivain au début des années 1990, après qu'il lui eut évoqué le sujet. "Vous devriez aller aux Philippines, lui glisse alors Matzneff. Les petits enfants, c'est merveilleux. On rentre dedans comme dans du beurre."
"A cette époque, on ne savait pas, se défend l'ancien ami. La première chose qu'il vous disait n'était pas 'J'encule des enfants à Manille'." Peut-être ne le disait-il pas. En tout cas, il l'écrivait déjà. Subrepticement, dans Les Moins de Seize Ans, puis de façon explicite dans ses Carnets noirs. "Ce délicieux petit trou du cul, quelle divine étroitesse, quelle chaleur, quelle fermeté!", décrit-il en parlant d'un gamin de 14 ans dans Un galop d'enfer (1985), où il relate son premier séjour aux Philippines en 1978. Matzneff compare ces enfants à des "piments rares qu'il met dans son lit", parle de ces soirées où il cherche des "culs frais", raconte une "journée délicieuse" consacrée à des garçons de "onze ans", "douze ans" et "quelques autres, dont un de huit ans".
A propos de ces "câlins mercenaires", selon sa formule, Matzneff assure ne pas y recourir tant que ça. "Mes amis pédophiles, soutient-t-il dans un livre, peuvent témoigner que ce n'est qu'exceptionnellement que j'utilise les réseaux de notre secte, où l'on se refile les gosses, et où l'unique séduction est celle du portefeuille.""
PS. la mention d'un réseau pédophile, pire une secte, par Matzneff n'a été repris par aucun autre média à ce jour...
En 93, la RTBF avait mis l'écrivain face à ses contradictions lorsqu'il affichait son dédain concernant le tourisme sexuel en Thaïlande:
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