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L’accord sur l’Union économique Eurasienne est signé. Les leaders de Russie, de Biélorussie et du Kazakhstan ont apposé leurs signatures en bas du document historique à leur rencontre à Astana. Cela posera une première pierre dans la fondation de l’un des plus grands marchés du monde, sont persuadés les présidents.
Dans un proche avenir l’Arménie et la Kirghizie pourront s’y joindre. La création de l’union économique donne aux trois pays une nouvelle dimension d’intégration et de coopération, a relevé dans son allocution le chef de l’État russe.
« Aujourd’hui nous fondons ensemble un puissant centre d’attraction de l’essor économique, un vaste marché régional, groupant 170 millions d’habitants. Notre union possède des réserves énormes de ressources naturelles. A la fois la troïka possède une industrie développée, une base industrielle, un potentiel important en matière de spécialistes et de culture. La situation géographique permet d’aménager des itinéraires de transports, logistiques de portée régionale, mais aussi globale. »
Le président du Kazakhstan a pour sa part souligné le principe de fonctionnement de la nouvelle union, à son regard le plus important. Toutes les décisions sont prises par consensus, a dit M. Nazarbaïev.
« La voix de chaque pays sera décisive. La politique de direction aura pour principe une représentation égale des parties et un appel d’offres pour attirer à ce travail des spécialistes les plus qualifiés. »
Les pays s’acheminaient durant plusieurs années vers la création de l’Union économique eurasiatique. Tout a commencé par l’Union douanière de Russie, de Biélorussie et du Kazakhstan. A partir de 2011 les barrières douanières entre les pays sont tombées. Et l’Union eurasiatique est une forme d’intégration plus avancée des Etats, et elle met devant soi des objectifs ambitieux, a remarqué Viktor Khristenko, président du Collège de la Commission économique eurasiatique.
« L’Union économique eurasiatique importe en tant que source de croissance pour nos économies, pour la réalisation de notre potentiel. Mais elle importe au même titre pour rendre notre avenir plus durable, prévisible dans ce monde agité. »
Après signature le texte du traité sera soumis aux parlements des trois pays, et comme on l’espère au Kremlin, ratifié rapidement. A partir du 1er janvier 2015 l’Union économique eurasiatique commencera de fonctionner.
Dans les plans prochains de l’Union – accepter l’adhésion de l’Arménie et la préparation de la feuille de route pour adapter la législation de la Kirghizie. Le Vietnam a déjà exprimé son intérêt dans la création d’une zone de libre-échange. Des consultations d’experts sont prévues avec Israël et l’Inde, ainsi que les pourparlers avec la Chine à ce sujet.
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« Aujourd’hui nous fondons ensemble un puissant centre d’attraction de l’essor économique, un vaste marché régional, groupant 170 millions d’habitants. Notre union possède des réserves énormes de ressources naturelles. A la fois la troïka possède une industrie développée, une base industrielle, un potentiel important en matière de spécialistes et de culture. La situation géographique permet d’aménager des itinéraires de transports, logistiques de portée régionale, mais aussi globale. »
Le président du Kazakhstan a pour sa part souligné le principe de fonctionnement de la nouvelle union, à son regard le plus important. Toutes les décisions sont prises par consensus, a dit M. Nazarbaïev.
« La voix de chaque pays sera décisive. La politique de direction aura pour principe une représentation égale des parties et un appel d’offres pour attirer à ce travail des spécialistes les plus qualifiés. »
Les pays s’acheminaient durant plusieurs années vers la création de l’Union économique eurasiatique. Tout a commencé par l’Union douanière de Russie, de Biélorussie et du Kazakhstan. A partir de 2011 les barrières douanières entre les pays sont tombées. Et l’Union eurasiatique est une forme d’intégration plus avancée des Etats, et elle met devant soi des objectifs ambitieux, a remarqué Viktor Khristenko, président du Collège de la Commission économique eurasiatique.
« L’Union économique eurasiatique importe en tant que source de croissance pour nos économies, pour la réalisation de notre potentiel. Mais elle importe au même titre pour rendre notre avenir plus durable, prévisible dans ce monde agité. »
Après signature le texte du traité sera soumis aux parlements des trois pays, et comme on l’espère au Kremlin, ratifié rapidement. A partir du 1er janvier 2015 l’Union économique eurasiatique commencera de fonctionner.
Dans les plans prochains de l’Union – accepter l’adhésion de l’Arménie et la préparation de la feuille de route pour adapter la législation de la Kirghizie. Le Vietnam a déjà exprimé son intérêt dans la création d’une zone de libre-échange. Des consultations d’experts sont prévues avec Israël et l’Inde, ainsi que les pourparlers avec la Chine à ce sujet.
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Paul : l'Europe a ratée le coche en se plaçant sous la dictature américaine, nous sommes en voie de tiermondisation...
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