Naturalnews : L’APE a annoncé hier qu’elle cesse ses protocoles de contrôles spéciaux aux Etats-Unis pour la radioactivité du désastre de Fukushima Daiichi, en dépit du fait qu’aucun progrès réel à la centrale n’a été fait et que les menaces pour les Etats-Unis sont persistantes. En même temps comme l’annonce l’APE, les rapports étrangers indiquent aussi que les niveaux de radiation dans les eaux Pacifiques près de Fukushima sont maintenant de 1000 fois les niveaux normaux, sans indication réelle d’où provient cette eau radioactive.
L’EPA a déclaré que les niveaux de radiation aux Etats-Unis rattachés à l’incident Fukushima ont » diminué de manière conséquente » et que l’agence n’a plus besoin d’évaluer régulièrement la nourriture, l’air et l’eau pour la radiation de la manière effectuée jusque-là » En fait, l’agence est si confiante qu’elle déclare dans son annonce que « le prochain échantillonnage d’eau potable et de lait se fera dans environ trois mois. »
Mais il y a juste quelques semaines, les données de l’APE ont révélé que plusieurs laits et échantillons d’eau d’un bout à l’autre du pays étaient testés positifs avec des niveaux dangereusement élevés de radiation.Les niveaux d’iode 131, de Césium 134 et de Césium 137 – tous émis de Fukushima – étaient remontés en flèche aux Etats-Unis.
Le pire de tout cela, c’est que l’APE n’évaluait même pas tous les différents types de radiation émis par Fukushima. Les bulletins de données de l’APE révèlent que l’agence n’évaluait jamais l’uranium ou le plutonium et aucun de ses tests sur les réserves d’eau n’a impliqué une évaluation sur autre chose que l’Iode radioactif 131. Mais tout est parfait, disent- ils et des tests supplémentaires sont inutiles.
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