La raison est simple mais méconnue : il ne faut surtout pas attendre que l'organisme transmette aux cellules le signal de se suicider. Le résultat c'est que les donneurs sont effectivement tués lors du prélèvement.
L'horreur : une patiente se réveille dans un hôpital de New York entourée de médecins essayant de prélever ses organes pour tirer profit des transplantations
Une femme nommée Colleen Burns a récemment ouvert les yeux en se retrouvant sur une table d'opération d'un hôpital de Syracuse (état de NY). Regardant autour d'elle, elle remarque qu'elle est le sujet d'une opération. Il s'avère que des médecins étaient sur le point de prélever ses organes et de les envoyer à d'autres chirurgiens qui les attendaient pour réaliser une transplantation sur d'autres patients.
Ce n'est pas une fiction. Cela a été rapporté par ABC News et plusieurs autres sources d'information. Cela s'est vraiment passé.
Et de quelle manière est-ce arrivé ? Les médecins ont faussement prononcé sa mort en déclarant frauduleusement qu'elle avait succombé à un "arrêt cardiopulmonaire" et à un "dommage cérébral irréversible". Ce qui leur a donné une justification médicale pour commencer à ouvrir alors même que le cœur de la femme battait encore.
C'est un sacré truc sur les dons d'organes : les médecins n'attendent pas que vous soyez réellement mort. Au moins pas selon la définition normale de "mort".
Vous voyez, vous et moi pensons que "mort" signifie que le cœur ne bat plus, que le cerveau ne fonctionne pas et que vous êtes sans vie. Mais les hôpitaux – qui génèrent d'immenses profits avec le trafic de transplantations d'organes – sont très motivés à vous déclarer "cliniquement mort" longtemps avant que vous ne le soyez vraiment.
Ils peuvent en fait vous déclarer "mort" même lorsque votre cœur bat encore et que vous avez toujours une activité cérébrale. Et ils le font souvent. Voilà comment bon nombre de prélèvements d'organes sont pratiqués en réalité en Amérique : des patients au seuil de la mort (mais pas vraiment morts) sont simplement "déclarés" morts, puis leurs organes sont rapidement enlevés, les tuant pour de bon.
C'est un crime qui se passe tous les jours en Amérique, où les hôpitaux ont été pris à maintes reprises sur le fait de participer à un trafic d'organes au marché noir.
Une industrie de plusieurs milliards de dollars
Et devinez qui gagne des sous sur toutes ces transplantations d'organes ? Les médecins, les hôpitaux et les sociétés pharmaceutiques, bien sûr. Les transplantations d'organes sont une industrie immensément profitable – largement parce qu'ils obtiennent gratuitement les organes. L'entourage des patients qui sont tués par ces médecins ne reçoit jamais d'argent pour les organes. Le fait que les patients fassent un "don" signifie en réalité qu'ils font don d'organes de très grande valeur pour un système de profit qui va tirer potentiellement des millions de dollars des organes d'un seul donneur.
Alors tandis que le patient donneur est assassiné pour ses organes, les médecins démarrent l'enlèvement et la transplantation des organes et s'enrichissent. Les receveurs de transplantations et les sociétés d'assurance santé paient très cher pour la chirurgie de transplantation et les profits se poursuivent parce que les receveurs doivent aussi payer pour des médicaments anti-rejet au long cours, tous à un prix fixé par monopole (bien sûr).
La vérité doit être dite, l'industrie de la transplantation d'organes n'est qu'une histoire de fric à tout prix. C'est un meurtre de patients, qui auraient pu autrement survivre, dans le but de prendre leurs organes et de gagner des millions de dollars en les transplantant chez d'autres patients...patients qui n'ont habituellement que quelques mois à vivre même après la transplantation.

Les organes transplantés sont souvent en mauvais état ou infectés
Pour une autre preuve à ce sujet, prenons le cas de Colleen Burns, mentionnée ci-dessus. Elle a tenté de se suicider en prenant un mélange de médicaments. Selon les médecins, ce cocktail toxique de produits chimiques était fatal, et il l'a tuée (ils ont prononcé sa mort).
En même temps, ils ont insisté pourtant sur le fait que ses organes étaient suffisamment sains pour être transplantés sur un autre patient ! C'est pourquoi ils ont presque commencé à les prélever.
En d'autres mots, même les organes que les médecins jugent lourdement endommagés par des cocktails chimiques seront quand même transplantés chez d'autres patients ! (c'est 100 % exact).
Mais c'est encore pire que ça...
Les organes transplantés sont souvent truffés de maladies : hépatite, virus à discrétion, maladie de la vache folle et pire
L'une des raisons pour lesquelles les patients transplantés meurent souvent si rapidement après avoir reçu un transplant est que les organes qu'ils reçoivent sont des bombes de maladies à retardement.
Introduire un cœur ou un rein malade dans le corps de quelqu'un, par exemple, peut soudain infecter cette personne avec des centaines ou même des milliers de virus et de maladies transmises par le sang qui submergent leur système immunitaire affaibli. C'est encore aggravé par les médicaments anti-rejet qui, par définition, entraînent une suppression extrême de la fonction immunitaire.
Donc au moment exact où de nouvelles maladies sont introduites dans le corps du receveur d'organes, leur système immunitaire est ébranlé par les médicaments anti-rejet. C'est sans surprise la recette des catastrophes et une raison pour laquelle tant de patients meurent si vite après réception des organes d'un "donneur".
Un vétéran de la guerre d'Irak tué par une transplantation de poumons atteints de cancer
Il n'est pas étonnant qu'il soit mort moins de 10 mois après. Les médecins et chirurgiens de sa transplantation l'ont-ils remboursé pour ce travail bâclé ? Bien sûr que non ! Les transplantations d'organes ne sont pas garanties et on vous donne un organe malade, endommagé ou largement infecté qui va vous tuer. (Mais vous allez quand même payer!)
Il y a en gros 100.000 personnes aujourd'hui en attente de transplantations d'organes aux USA. Mais il n'existe qu'un petit nombre d'organes disponible dans une année donnée, les médecins sont donc sous une intense pression pour 1) prélever des organes de gens qui ne sont pas encore morts, et 2) utiliser N'IMPORTE QUEL organe qu'ils peuvent trouver, même des organes atteints de maladies.
De nouveau, ce sont les sales petits secrets de l'industrie de la transplantation d'organes dont aucun médecin ne vous parlera. Attendez-vous à n'entendre que des dénégations si vous posez une question aux médecins transplanteurs.
Il est nécessaire que davantage de donneurs sains meurent subitement
Idéalement, l'industrie de transplantation aimerait voir beaucoup de jeunes en bonne santé décapités dans des exercices militaires ou des accidents d'automobile. Cela fournirait un approvisionnement frais d'organes sains qui vaudrait le coup. En Chine, bien sûr, c'est pourquoi les membres du Falun Gong sont habituellement arrêtés et emprisonnés : ils suivent des régimes très sains et ont donc des organes de grande qualité qui peuvent être prélevés avec profit sur les prisonniers politiques.
Pratiquer l'arrestation de gens, les emprisonner et parfois les tuer pour leurs organes est bien plus répandu que vous ne l'imaginez. Comment supposez-vous que Steve Jobs a obtenu un nouveau foie si rapidement, alors que des milliers d'autres gens en attendaient un ? Il l'a acheté. Tiens, pensez-vous vraiment que Steve Jobs soit resté en file d'attente comme tous les autres et qu'un foie soit apparu magiquement beaucoup plus vite que pour quelqu'un d'autre ?
Consentement présumé
Comme l'explique cet article :
Le consentement présumé est connu autrement comme système de "dérogation" et signifie que sans le souhait express exprimé de ne pas être donneur d'organes, on suppose qu'il y a consentement. Ce peut être dans le détail connu comme une "dérogation à la dure" où la famille n'est pas consultée.
Il existe même un site web à ce sujet – PresumedConsent.org – qui emploie un beau langage fleuri et une imagerie bien pensante pour cacher le fait de pousser les médecins à prononcer davantage de "mort" de patients et à prendre leurs organes pour assurer chaque année des millions supplémentaires de dollars à l'industrie de la transplantation.
Nous parlons ici d'un prélèvement coercitif d'organes pour alimenter le trafic.
Pensez-y la prochaine fois qu'on veut vous faire remplir un papier où est écrit, "Voulez-vous être donneur d'organes ?"
Vous n'avez qu'à répondre : "Non merci. Je préfère que les médecins essaient en fait de me garder en vie".
Ne donnez aux médecins aucune incitation à vous tuer. Ils tuent déjà assez de malades sans le faire exprès.
Croyez-moi : dites NON au don d'organe. Si vous voulez vraiment aider les gens, apprenez-leur à protéger les organes que Dieu leur a déjà donné grâce aux super-aliments, la nutrition, l'exercice et la vie saine.
Commenter cet article