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L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


La Grèce et le Portugal sont à nouveau en fièvre

Publié par Brujitafr sur 16 Septembre 2013, 17:48pm

Catégories : #Crise de l'Euro

La Grèce et le Portugal sont à nouveau en fièvre

Par La Voix de la Russie | La situation dans les pays « problématiques » de l’UE est à nouveau compliquée. La Grèce est bouleversée par de puissantes grèves, les affrontements des manifestants avec la police, etc. Ils protestent contre l’arrivée d’une nouvelle « troïka » d’inspection : Commission européenne, Banque centrale européenne et FMI. Les eurocrates ne sont pas pour le moment convaincus qu’il est nécessaire d’accorder à Athènes une nouvelle tranche de crédit : 1 milliard d’euros. Le Portugal est sur le point d’adresser une demande de concours. 

La « troïka » d’inspection s’est rendue en Grèce. Cependant, pour obtenir une nouvelle tranche de crédit le pays doit satisfaire les conditions dures : former, en particulier, d’ici fin septembre une « réserve » de 12,5 mille employés de l’Etat pour licencier ensuite au moins quatre mille d’entre eux.

Les meneurs des grèves et les opposants de l’UE et du FMI passent sous silence les origines essentiellement intérieures de la crise en Grèce, a dit à notre correspondant le professeur de la chaire d’intégration européenne de l’Institut d’Etat des relations internationales du ministère russe des AE Alexei Kouznetsov, membre correspondant de l’Académie des sciences de Russie :

La Grèce glissait pendant plusieurs années vers la crise. Les dépenses militaires exagérées vu l’éventuel conflit avec la Turquie, les JO 2004 à Athènes n’ayant entraîné que des pertes et plusieurs autres facteurs ont joué sans aucun doute leur rôle.

Les mécontents de la politique socio-économique des autorités engagent les manifestations en Grèce alors qu’au Portugal les instances judiciaires suprêmes sont utilisées à ces fins et le résultat s’avère encore plus négatif pour Bruxelles.

Le vice-président du gouvernement portugais Paulo Portas, leader du Parti populaire, a exhorté l’UE et le FMI à réviser les conditions d’octroi d’une tranche de crédit.

Les pays qui déclinent les propositions de « se serrer les ceintures » sans appliquer simultanément les mesures en vue de stimuler la croissance économique comme un instrument anticrise conduisant dans une impasse sont de plus en plus nombreux, a dit à notre correspondant l’experte du département des études politiques européennes de l’Institut d’économie mondiale et de relations internationales de l’Académie des sciences de Russie Nadejda Arbatova :

Il convient de noter que les gouvernements « techniques » des pays européens critiquent ces derniers temps la politique de l’Allemagne en vue de régler la crise. Les gouvernements de plusieurs pays donne la priorité à la croissance économique.

Or, si la Grèce et le Portugal ont besoin de crédits, l’eurozone sera à nouveau en proie à la crise.

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C
<br /> Est-il  possible  pour  les  pays  comme  la  Grêce,  l'Espagne, le Portugal, l'Irlande  et,  bientôt  la  France  d'abandonner<br />  l' OTAN  et  de  se  tourner  vers  la  Russie  pour  former  un  bloc  différent : économique,  culturel, militaire et<br />  autre,  en  retrouvant  la  monnaie  d'antan, c'est-à-dire  la  peseta  pour  l' Espagne, le franc pour la France  etc.... Au  lieu<br />  d'avoir  une  UE,  pourquoi  ne  pas  en avoir  deux?<br />
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