Toujours pas de véritable évolution, personne n’a été arrêté, bref, il n’y a rien de nouveau à dire, mais les chaines télé vous le disent quand même. Cela meuble les JT, et cela fait de l’audimat… La seule véritable info hormis le fait que la victime d’hier est sorti du coma, c’est que le tireur est actuellement en train de devenir un « phénomène » sur internet, voire une « star », triste constat que l’on peut faire de notre société en voyant cela…
Désormais, des produits dérivés à l'effigie du tireur fou de Paris sont en vente sur internet. © infoshirt.fr.
Le tireur fou de Paris, activement recherché par la police française,
fait des émules. Sur internet, de nombreux témoignages de soutien, sérieux ou décalés, sont apparus "en hommage" à l'attaque de lundi dans le bâtiment de la rédaction du journal Libération.
Depuis ce mardi, des produits dérivés à son effigie sont mis en vente en ligne. Le site infoshirt.fr propose un t-shirt manches courtes, disponible dans toutes les tailles, avec un imprimé tiré d'une image captée par les caméras de surveillance du lieux où il a sévi. Cette photo, en noir et blanc, le montre arme au poing, coiffé d'une casquette et habillé d'une veste sans manches. Le tout pour un montant de 21 euros, taxes comprises, mais hors frais de port.
D'autres démarches toutes aussi douteuses ont fleuri sur le net. Des groupes de soutien au "tireur de Libérafion" (sic) sont nés sur Facebook. Si certains d'entre eux ont disparu, d'autres comme le "soutien au tireur fou de paris et a tout les revolutionnaire" (re-sic) étaient toujours actuellement disponibles.
Traque dans Paris : le tireur toujours recherché, son visage dévoilé
source
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maj 18H00
Fusillades à Paris: la photo du tireur présumé diffusée
Le site de Libération piraté
Après avoir été le théâtre d'une fusillade dans la matinée, Libération était victime lundi après-midi d'une attaque informatique "malveillante" empêchant la mise à jour de son site internet, a-t-on appris auprès des responsables du journal.
Cette attaque dite "de déni de service" consiste à inonder de requêtes un serveur informatique au point de bloquer ou de perturber largement son fonctionnement
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Après des coups de feu au journal "Libération" et d'autres tirs devant le siège de la Société générale, une prise d'otage a eu lieu entre la Défense et les Champs-Elysées.
(FRANCETV INFO)
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• Que s'est-il passé ? Après des coups de feu au journal Libération et d'autres tirs au pied d'une tour de la Société générale, une prise d'otage aurait eu lieu entre la Défense et les Champs-Elysées, lundi 18 novembre. Un automobiliste dit avoir été contraint, à la Défense, à conduire un homme armé devant l'hôtel George-V, près des Champs-Elysées. Selon LCI, l'homme lui aurait indiqué être en possession de grenades.
• Quel est le signalement de la personne recherchée ? La police est à la recherche d'un homme âgé d'une quarantaine d'années, de type européen, de taille moyenne, assez corpulent, portant une casquette et vêtu d'une parka kaki et d'un jean clair. Ce signalement correspond également à l'auteur d'une menace de fusillade, vendredi matin, dans le hall de BFMTV.
• Comment s'organise la traque ? Selon France 2, l'homme serait descendu dans le métro après avoir été déposé sur les Champs-Elysées, survolés vers 13 heures par un hélicoptère de la sécurité civile. La préfecture de police de Paris cherche par ailleurs à vérifier les propos de l'automobiliste qui dit avoir été victime de la prise d'otage.
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