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« Oui, nous formons chaque année une centaine de jeunes »
« Plusieurs arguments concourent au rétablissement du métier : une demande des particuliers et des jeunes que nous formons, une logique de création d’emplois de proximité, sachant que la France importe chaque année 280 000 tonnes de plantes médicinales, une logique sociale enfin, l’herboriste pouvant conseiller le consommateur sur la façon d’utiliser les plantes, sans aller jusqu’au conseil purement médical réservé, lui, au médecin et au pharmacien.
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Auteur : Ferny Crouvisier
Source : www.la-croix.com
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