Dès dimanche, les médias grecs ont estimé que le gouvernement socialiste grec de Georges Papandréou avait "perdu un allié".
"Athènes en détresse", jugeait le libéral Kathimérini, relevant que le patron du FMI était "à l'avant-garde des discussions récentes sur une possible nouveau prêt UE-FMI à la Grèce". "L'arrestation du Français semble compromettre ces négociations", ajoutait le journal.
(toujours les "échos")
et en avant les faillites !!!
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