"Certaines puissances économiques n'acceptaient pas le niveau d'ambition que je fixais pour la transition énergétique", a expliqué Delphine Batho lors de sa conférence de presse à Paris. "Ce combat s'est cristallisé sur les gaz de schiste et, plus discrètement, sur la réduction de la part du nucléaire en France", a-t-elle ajouté. Parmi ses opposants, Philippe Crouzet, "directement intéressé par l'exploitation des gaz de schiste", a-t-elle assuré. Mais pourquoi une telle accusation?
Le groupe qu'il dirige, Vallourec, est le leader mondial des tubes en acier, destinés principalement au marché de l'énergie. Il construit notamment des pipe-line, des puits d'exploitation. Le groupe a beau être peu connu en France, c'est un géant à l'international. Son chiffre d'affaires, de 5,3 milliards d'euros en 2012, est issu à 78% de son activité hors Europe.
Son patron, Philippe Crouzet, est à sa tête depuis 2009 et censé y rester jusqu'en 2016. Enarque de la promotion 1981, un an après le président français, il y rencontre sa femme, Sylvie Hubac. Son épouse devenue, aujourd'hui, directrice de cabinet de François Hollande.
Il est, enfin, membre du conseil d'administration d'EDF et préside le comité de suivi des engagements nucléaires du groupe. L'énergéticien français qui annonce, le lendemain de l'éviction de Delphine Batho, avoir obtenu un avis favorable de l'Autorité de sureté nucléaire pour prolonger la durée de vie de ses centrales de 60 ans… source
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Tout ce déballage, de coutume laissé secret, signifie simplement l'affaiblissement de l’État à son plus haut niveau.
je subodore des guerres claniques sanglantes, l'état apparait divisé, donc.........fragile !
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