Emmanuel Macron apporte sa pierre : l’article 23 de la loi de programmation militaire précise (imprudemment selon nous) le régime des réquisitions en cas de péril pour la nation. Un amendement du gouvernement a même prévu des peines d’emprisonnement pour ceux qui refuseraient d’y obéir. Cette mesure s’inscrit dans la logique générale de “l’urgence” sur laquelle Macron s’est tant appuyé.
Quelles seront les réquisitions possibles ?
Le terrain glissant du droit d’exception
Regardez ces 2 dingues se satisfaire d'un accord que personne n'a accepté à part eux pour 10 ans bien au delà du mandat de Macron. 10 jours après,
Macron annonce la possibilité d'envoyer des troupes
terrestres.
Regardez ces 2 dingues se satisfaire d'un accord que personne n'a accepté à part eux pour 10 ans bien au delà du mandat de Macron.
— 🇫🇷 fred le gaulois 🇫🇷 Uniondesdroites 🐱 (@FredGaulois) February 27, 2024
10 jours après, Macron annonce la possibilité d'envoyer des troupes terrestres.
Inquiétant 😡, pensez y ce 9 juin 2024. pic.twitter.com/lVytIHbMLR
🌍 Le secrétaire général de l’OTAN, Stoltenberg, s’est désolidarisé des propos du président français, en annonçant qu’il mentait.
— vl_plus (@vl_plus) February 27, 2024
🇩🇪 Olaf Scholz, le chancelier allemand, tourne également le dos à la France. Il affirme que le président Macron a tout inventé et qu'il n'y aura pas… pic.twitter.com/OxDXjGd9Go
Envoi de troupes au sol en Ukraine, Attal défend les propos irresponsables de Macron
— Carėne Tardy (@Carene1984) February 27, 2024
«On ne peut rien exclure dans une guerre qui agit au cœur de l'Europe et aux portes de l'UE»
La voix de la France est complètement discréditée après le démenti de l’OTAN !pic.twitter.com/3c2VZ0gMPB
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