/https%3A%2F%2Fscontent-iad3-2.xx.fbcdn.net%2Fv%2Ft15.5256-10%2F333434540_156792147174708_5794207377857890718_n.jpg%3F_nc_cat%3D111%26ccb%3D1-7%26_nc_sid%3D776239%26_nc_ohc%3D-GbHm5f3qOsAX8rJrhq%26_nc_ht%3Dscontent-iad3-2.xx%26oh%3D00_AfAMP7q6a9zc5V-AzlKtXMjIXd0OgZ_dzppokbZhojS9OQ%26oe%3D640365EB)
🚜 Retraites : Macron hué au salon de l'agriculture. Bravo ! | By Antoine Léaument | Facebook
173K views, 8.9K likes, 1.1K loves, 2.6K comments, 6.9K shares, Facebook Watch Videos from Antoine Léaument: 🚜 Retraites : Macron hué au salon de l'agriculture. Bravo !
/https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FckTILihm6vo%2Fhq2.jpg%3Fsqp%3D-oaymwEoCOADEOgC8quKqQMcGADwAQH4Ac4FgAL-CYoCDAgAEAEYZSBUKE0wDw%3D%3D%26rs%3DAOn4CLBImM3r5vCd9KCbaP6zT2LkEgHz3w)
Macron humilié par un jeune militant au salon de l'agriculture #DernièreRénovation
Source : https://twitter.com/jdicajdisrien/status/1629503288285487108Musique : Else - Paris#Macron #clash #agriculture #salon #écologie
André Bercoff : "Macron au Salon
de l'Agriculture, on est bien loin de
la prestance de Chirac !"
Sortie mouvementée pour Macron au salon de l’agriculture. Il pensait redorer son blason, afficher l’image d’un président proche du terroir, mais comme le disait Chirac, « Il faut savoir tâter le cul des vaches », or Macron ne le sait pas. Dès qu’il sort sans ses figurants, l’exercice s’avère périlleux, impossible pour cette occasion de théâtraliser l’événement, la sentence a été immédiate, il s’est fait siffler, interpeller sans ménagement. Face à cette spontanéité, dont il ignore les codes, il n’a su au mieux que répliquer, avec l’aplomb d’un enfant de 7 ans, « Qui vous a élu, vous ? ». Au pire, il est resté muet.
C’est la marque des grands que de parvenir à s’extraire à l’improviste d’une situation difficile, il n’a pas su le faire. Bien entendu que son interlocuteur n’est pas élu, et alors ? Cela l’empêche-t-il de s’interroger, de questionner, de douter, voire même de proposer ? Nullement, c’est le creuset d’une vraie démocratie. À entendre Macron, seul l’élu est en droit de s’exprimer, car il serait l’unique gardien de la vérité. Quelle vision du monde et de sa charge. Le suffrage universel ne donne pas un blanc-seing, pas plus qu’il ne dispense son détenteur, de continuer à écouter le peuple… ce serait même l’inverse. Sa haute fonction devrait le conduire à être encore plus vigilant et à ne pas considérer ses positions, comme les meilleures. Infatuée posture, mais elle colle si bien avec son personnage, rendons à César ce qui lui appartient, dans cet exercice de style, il ne ment pas. Il n’écoute pas, ni son entourage et encore moins le peuple, il est tellement certain de Sa vérité, qu’il passe son chemin. Mais sa surdité n’est pas qu’hexagonale, le voilà qu’il se penche sur l’Afrique et nous sort de son chapeau un plan pour ce continent. Nous avons un président coupé des réalités. Il devrait appeler son plan, le plan Boomerang, tant il risque de le voir revenir plus vite que prévu, et pas forcément avec les effets escomptés.
Il est à craindre que s’il est du modèle de celui élaboré contre la Russie, nous devrions en pâtir, autrement certes, mais en pâtir tout de même. Il n’a toujours pas compris que les Africains ne veulent plus de lui, de sa vision de l’individu, et même de sa conception de la démocratie. Obtus jusqu’à la dérision, il insiste.
Pourquoi se priverait-il de poursuivre dans cette voie absurde et néfaste, il est adulé des médias. Encensés par les sénateurs LR, qui vont voter sa réforme sur les retraites, nonobstant le léger problème constitutionnel qui lui colle à la peau, et faisant eux aussi, fi de l’avis du peuple, qu’ils portent dans la même estime que notre cher président. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes… cheminons donc dans cette voie sans issue. En attendant, entre la risée internationale et l’obéissance aveugle vis-à-vis de l’UE sur sa réforme des retraites, notre pays s’enfonce durablement dans une crise dont on ne voit pas bien l’issue pacifique qu’elle pourrait contenir. L’homme ne sait parler que de guerre, c’est son leitmotiv. Souvenez-vous la jubilation qui fut la sienne au soir du confinement, martelant son : « nous sommes en guerre ». Semblable exaltation se lit chez lui quand il évoque la victoire de l’Ukraine, alors que sur le terrain, la situation est de plus en plus intenable pour les troupes de Zélensky, sans expérience, sans réelle volonté non plus de défendre, une terre qu’ils savent perdue depuis longtemps. Ce président mène un guerre contre son peuple, contre tout ce qui lui résiste, en réalité. Qui peut encore penser que cette aventure se terminera normalement ? Renverser ce gouvernement serait un préalable, si on ne veut pas sombrer dans un chaos inextricable. Pour y parvenir, il faudrait que l’opposition se réveille et se concentre sur un seul objectif, l’intérêt de la France. On en est très loin, entre pseudo-lutte contre le RN et séance d’enivrement au bar de l’assemblée. De cela aussi, un jour, ces oppositions fantoches, devront rendre des comptes.

Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Échange sidérant,entre #Macron et une infirmière, samedi au salon de l'agriculture
Commenter cet article