Les riches hommes d'affaires exigent des équipages non vaccinés pour leurs jets privés
Pilotes vaccinés et sécurité des vols
: Nous nous dirigeons vers
une catastrophe !
En avril, le Dr Lee Merrit et le Dr Kevin Stillwagon ont évoqué les «vaccins» et l'utilisation de masques faciaux en altitude, pendant les vols, et de la façon dont ceux-ci mettent en cause la sécurité des pilotes et des passagers.
Le Dr Stillwagon est un ancien chiropraticien et capitaine de ligne aérienne. Il a été pilote de ligne pendant 33 ans. Pendant 26 ans, il a été employé par Delta Airlines où il a été capitaine pendant 21 ans. Il a été contraint de prendre sa retraite de Delta Airlines pour avoir refusé de porter un masque facial. Il a été contraint de prendre sa retraite même si la compagnie aérienne a admis que le port d'un masque facial n'avait pas arrêté la transmission de Covid et que c'était uniquement pour «l'image».
Pilotes blessés par le vaccin
Chaque pilote qui a reçu une injection de Covid et qui a un effet indésirable, même un effet sans symptômes, comme par exemple une microcoagulation, « ces hommes et ces femmes sont des bombes à retardement », a déclaré le Dr Stillwagon.
Nous avons des pilotes qui volent maintenant avec une micro coagulation résultant directement des vaccins. Ils peuvent potentiellement faire une myocardite ou une péricardite, a-t-il expliqué.
Des millions de personnes ont des licences de pilote, mais seuls quelques privilégiés parviennent à faire carrière dans une grande compagnie aérienne. Ces pilotes sont hautement qualifiés et leur compagnie leur fait confiance pour effectuer des vols en toute sécurité. C'est au pilote de déterminer s'il est à la hauteur pour piloter un avion transportant plusieurs centaines de personnes.
« Alors, voici le problème. Si un pilote éprouve des douleurs mineures à la poitrine, s'il se présente et le mentionne à l'examinateur aéromédical, cela va le mettre sous un microscope et mettre littéralement sa carrière en danger. Je sais que cela arrive à certains de ces pilotes. Malheureusement, ils ne se manifestent pas et ne disent rien, parce qu'ils savent que cela pourrait ruiner leur carrière.
Il y a donc une incitation à ne pas être transparent ou à ne pas considérer les symptômes comme des signes d'une maladie potentiellement grave. "Ils pourraient penser que c'est juste un problème gastrique, des brûlures d'estomac ou peut-être quelque chose qu'ils ont mangé", a déclaré le Dr Stillwagon.
Les pilotes ont des examens médicaux semestriels. Bien qu'il y ait quelques pilotes montrant des irrégularités sur leur électrocardiogramme (« ECG » ou « EKG ») lors de ces examens, le véritable problème est la myocardite qui, la plupart du temps, n'apparaîtrait pas sur un ECG, à moins que l'ECG ne soit porté pendant une période de temps prolongée.
"Alors, voici ce qui doit arriver - et c'est pour la sécurité du public volant, chaque pilote qui a reçu cette injection, qu'ils appellent un "vaccin", je me fiche de leur âge, chaque pilote a besoin de subir un dépistage cardiaque complet. Cela comprendrait non seulement un électrocardiogramme, mais aussi une IRM cardiaque. Vous devez également vérifier les niveaux des D-dimères, ce qui indiquerait la présence de microcoagulation. Aussi, les niveaux de troponine, il y a des indicateurs inflammatoires qui peuvent être utilisés comme le test PULS » .
Tous ces tests coûtent très cher. Ainsi, les mêmes entreprises qui ont contraint ces pilotes à se faire injecteur devront payer pour cela et tout pilote qui montre des signes de blessure par vaccin devra être écarté. Les pilotes blessés par le vaccin devront être soignés jusqu'à ce qu'ils puissent prouver qu'ils sont en bonne santé et suffisamment sécuritaires pour voler à nouveau.
« Nous nous dirigeons vers un désastre – je vous le dis tout de suite. Les chances que les deux pilotes aient une crise cardiaque en même temps ou perdent connaissance dans le cockpit en même temps sont extrêmement faibles. Mais je pense que nous devons nous diriger vers une situation où les deux pilotes pourraient être frappés d'incapacité en même temps. En d'autres termes, ils vont vivre une sorte d'événement qui va les affecter physiquement ou mentalement et qui va nécessiter de poser l'avion en urgence pour la sécurité des passagers.
Avoir un pilote en incapacité est une chose, mais un pilote en charge d'un vol est une énorme responsabilité.
« Si vous êtes suffisamment proche de votre destination, vous continuez le vol. Mais si vous êtes sur un vol long courrier et que vous survolez une grande ville qui peut gérer le déroutement d'un avion, alors oui, vous détournez le vol.
Passagers masqués
Le Dr Stillwagon est resté assez longtemps pour voir les effets de l'obligation du port des masques faciaux sur les passagers, afin qu'il puisse parler de son expérience personnelle. Pendant ce temps, il avait vu un passager qui pendant le vol, s'est levé pour utiliser les toilettes et s'est évanoui dans l'allée, en se cognant la tête alors qu'il s'effondrait. Il n'y a pas eu de blessure grave, mais le passager a perdu connaissance, a déclaré le Dr Stillwagon.
« Je suis sûr que c'est arrivé à d'autres pilotes. Je suis sûr que si vous interviewez d'autres pilotes ou agents de bord, ils pourraient probablement vous dire que cela s'est produit dans de plus en plus d'incidents avec le masque.
"Nous sommes tenus de remplir un formulaire d'incident, les agents de bord le possèdent, en particulier si le passager a perdu connaissance, il doit être inscrit dans les dossiers."
Donc, quelqu'un connaît cette information, c'est juste que le public n'en a pas été informé. Jusqu'à ce que quelqu'un demande ces informations ou soumette une demande en vertu de la liberté d'information, il est peu probable que nous sachions combien de passagers subissent un incident en raison de l'obligation de porter des masques en altitude.
Pénurie de pilotes
Il y a une pénurie de pilotes en ce moment, a déclaré le Dr Stillwagon, mais nous ne le verrons pas avant quelques mois, car l'horaire des pilotes est flexible.
"Un pilote peut travailler autant qu'il le souhaite ou aussi peu qu'il le souhaite. Donc, normalement, lorsqu'il y a une pénurie de pilotes, la compagnie offrira des incitatifs pour qu'un pilote vienne voler pendant ses jours de congé, ce serait une augmentation de son taux de rémunération. Ainsi, les entreprises ont un moyen de couvrir ces pénuries. Mais finalement, ça va atteindre un point où les pilotes vont voler au maximum qu'ils le peuvent. Il existe certaines limitations d'heures. Selon les règles de la FAA, vous ne pouvez pas voler autant que vous le souhaitez .
Un autre signal qu'un certain nombre de pilotes ont été affectés par les injections de Covid et sont incapables de voler, amenant une pénurie de pilotes, serait si la limite d'âge de départ à la retraite des pilotes est augmentée.
"S'il y a une réelle pénurie de pilotes, ils devront peut-être abandonner l'obligation de prendre leur retraite à 65 ans. Tant qu'un pilote peut continuer à passer ces examens physiques tous les six mois et ces vérifications sur simulateur tous les neuf mois, pour s'assurer qu'il puisse gérer toutes les urgences, ils laisseront les pilotes voler jusqu'à ce qu'ils ne veuillent plus voler.
Que dit la FAA à propos de l'injection de pilotes ?
La Federal Aviation Administration (« FAA ») fait quelque chose soit à titre préventif, soit de façon réactionnaire. Malheureusement, la plupart des choses sont réactionnaires, a déclaré le Dr Stillwagon. "Aucune donnée de sécurité n'a été collectée [sur les effets indésirables des injections de Covid sur les pilotes]. Nous recueillons les données de sécurité maintenant. Nous sommes toujours dans l'expérimentation.
« Ce sont tous des produits expérimentaux. Aucun d'entre eux n'avait été entièrement approuvé par la FDA jusqu'au 23 août 2021. Le premier à obtenir l'approbation était le vaccin Pfizer et ils l'ont appelé Comirnaty. Mais le problème c'est qu'on ne peut pas se faire injecter de force, pas aux États-Unis, ça n'existe pas. Et la raison pour laquelle ce n'est pas possible est que tout produit approuvé par la FDA est sous la responsabilité des fabricants de vaccins, à moins que ce vaccin ne figure sur le calendrier des vaccins pour enfants.
Si un produit est approuvé par la FDA, il existe également une exigence de transparence concernant le contenu des injections. Ce n'est pas le cas des produits autorisés en cas d'urgence. Donc, des pilotes se sont fait injecter une substance inconnue.
L'injection de «vaccins» Covid aux pilotes n'est pas conforme aux règles de vol de la FAA. "le vaccin doit être approuvé par la FDA", a déclaré le Dr Stillwagon.
"Aucun des vaccins que les pilotes ont reçu n'est approuvé par la FDA. Et il est dit pour Comirnaty et Spikevax que le pilote doit attendre 48 heures pour voir si des effets indésirables se manifesteraient
« Il y a d'autres vaccins que les pilotes peuvent recevoir. L'un d'eux, je crois, est le vaccin contre la typhoïde et l'autre est le vaccin contre la rage. Et pour ceux-là, il faut attendre 72 heures. Mais pour aucun des autres vaccins, il n'y a pas de période d'observation, un pilote peut retourner directement dans le cockpit et commencer à voler immédiatement.
«Pour qu'un pilote se inoculer une substance dans son corps, par voie orale, par injection, soit par frottement sur sa peau ou de toute autre manière, la loi exige qu'il y ait une période de 12 mois après que ce médicament ait été approuvé, pour voir si des effets indésirables de type aéromédical pouvaient survenir. Un an, ils doivent attendre, après que le produit ait été approuvé. C'est pour qu'ils puissent voir si des réactions indésirables de type aéromédical se produiraient dans le grand public et pourraient affecter la sécurité du vol d'un pilote.
« C'est pour un médicament. Mais ce produit n'est pas classé comme un médicament, bien qu'il devrait l'être, à mon avis, car ce n'est pas un vaccin. Il n'agit pas comme un vaccin, il ne contient rien qui tenterait même de faire ce qu'un vaccin est censé faire. »
C'est une violation claire de la politique de la FAA d'injecter aux pilotes des médicaments expérimentaux de thérapie génique. Pourtant, la FAA n'a encore rien dit pour protéger les pilotes, les passagers et le grand public. Cependant, le Dr Stillwagon a déclaré: «Il y a un mouvement avec des organisations qui ont été crées pour amener la FAA à faire une déclaration. Il faut y remédier, il faut y remédier avant de se retrouver dans une situation où des gens vont être blessés – et je ne veux pas que cela se produise, nous ne pouvons pas permettre que cela se produise.
«La FAA devrait réagir immédiatement et dire qu'il n'y a plus de vaccination sur les pilotes ou les agents de bord, nous en avons fini avec ça. Il n'y a plus de piqûres et nous devons commencer à examiner ces membres d'équipage, pour voir s'il se passe quelque chose d'actif dans leur système cardiovasculaire. S'ils le font, ils devront être écartés et placés sous traitement, afin qu'ils puissent prouver qu'ils ont retrouvé leur santé. Parce que ce sont des bombes à retardement. Ils mettent la sécurité du vol en danger et cela vous affecte en fin de compte en tant que passager.
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