Alexandre Benalla, "indispensable"
à #Brigitte Macron
"Alexandre Benalla n'est pas mon amant" : cette phrase de son mari que Brigitte Macron n'a pas appréciée
Envoyé Spécial a obtenu le témoignage exclusif du militaire Chokri Wakrim, suspecté d'avoir déplacé le coffre-fort d'Alexandre Benalla de son appartement d'Issy-les-Moulineaux. S'il nie toute implication dans ce déménagement polémique, il déclare qu'un second coffre-fort, situé dans le bureau de M. Benalla à l'Elysée, a été vidé par un garde du corps du président de la République, à la demande de l'ex chargé de mission.
Des documents très accablants pour Brigitte M. ainsi que son époux ....
Avez vous une idée sur quoi ?
Pour Macron, c’est “le cauchemar Benalla” qui est de retour, complète Il Fatto Quotidiano. Ancien homme de confiance du président, Alexandre Benalla a été mis en examen l’été dernier, notamment pour “violences volontaires” lors des manifestations du 1er mai, et démis de ses fonctions par l’Élysée. Mais depuis lors, “il n’avait jamais été aussi présent dans l’agenda présidentiel que ces dernières semaines”, observe le journal italien.
Étranges coïncidences
Comme l’a révélé La Lettre du continent, Alexandre Benalla, entre-temps reconverti dans le “consulting” en Afrique, s’est rendu au Tchad début décembre en avion privé avec une demi-douzaine de personnes et a rencontré le président Idriss Déby. “Était-il en service commandé ?” interroge Le Soir.
“Comment expliquer qu’une figure aussi proche du président de la République, et objet de tant d’attention, se rende dans le pays où Macron a décidé de passer la veille de Noël, et qui se trouve être décisif pour les alliances stratégiques de la France ?” se demande Il Fatto Quotidiano.
“L’Élysée a balayé cette coïncidence d’un revers de la main”, affirmant que le président Macron avait fait savoir au président Idriss Déby que Benalla n’était en aucun cas “un émissaire officieux ou officiel de la présidence”. De son côté, Alexandre Benalla a affirmé que ces voyages s’inscrivaient dans le cadre d’une mission de consultance pour des investisseurs qu’il a connus avant d’entrer au service de l’Élysée en 2012.
“Le problème, souligne Il Fatto, c’est que l’affaire Benalla s’enrichit chaque semaine de nouveaux détails”, comme le passeport diplomatique, dont, d’après Mediapart, il se sert pour ses missions d’affaires – malgré sa mise à pied, et bien qu’il ait affirmé, devant la commission d’enquête du Sénat, ne plus être en possession de ses deux passeports diplomatiques.
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