Utiliser l'hystérie pour masquer des mensonges d'état !
Les chiffres 2020 ATIH santé sont terribles de vérité 2% des hospitalisés et 5% des réa étaient Covid !
Véran, en novembre 2020, mentait à l’Assemblée nationale sur la réalité des hôpitaux !
#ATIH #COVID19 #Pfizergate #Macron #Veran #SystèmeMafieux #EtatProfond
ATIH (Agence de l’information sur l’hospitalisation) a publié en octobre 2021 un rapport concernant l’activité hospitalière de l’année 2020 au sujet des malades atteints de Covid-19. Très peu de médias en ont parlé, seul Martin Blachier a repris quelques chiffres sans entrer dans le détail du rapport que nous avons lu en intégralité afin de vous faire ce petit résumé très intéressant.
Ce rapport nous apprend que le pourcentage d’hospitalisations Covid-19 comparé au total annuel est de… 2.3% seulement ! 272.000 patients sur 11.6 millions de malades pris en charge ! N’importe quel Français auquel vous poserez la question vous dira qu’il s’agit de 30 à 50 % des hospitalisations en raison de la panique générale et de l’hyper médiatisation autour de cette crise sanitaire. Non, c’est juste 2.3 % du total des hospitalisations !
Nous apprenons également que la durée moyenne d’hospitalisation en unités de soins critiques est de 2 semaines par patient et non de plusieurs mois comme l’ont déclaré de nombreux morticoles cathodiques. Pire encore, seulement 5 % de l’ensemble des patients pris en charge en soins critiques étaient des covidés (page 3) ! La moyenne du séjour en soins critiques est de 15.7 jours pour le Covid-19 ; pour comparaison, il était de 11 jours pour la grippe en 2019 ; la différence n’est pas phénoménale.
Cette étude de l’ATIH classe les établissements de santé en 4 catégories. Premièrement, la prise en charge dite MCO pour médecine, chirurgie, obstétrique et odontologie. Deuxièmement, les soins de suite et de réadaptation (SSR, 1800 établissements pour 100.000 lits disponibles en France). Troisièmement, les hospitalisations à domicile ou HAD dans lesquelles les EHPAD sont inclus. Enfin, quatrièmement, les soins de psychiatrie.
Mais ce qui est le plus troublant dans ce rapport, c’est de constater le nombre de décès hospitaliers en 2020 qui est très largement inférieur à ce qui avait été annoncé par Santé Publique France dans son Point épidémiologique hebdomadaire du 31 décembre 2020, publiant un chiffre de 64 078 décès ! Avec ses 44 091 décès enregistrés en milieu hospitalier, le rapport de l’ATIH présente une différence de près de 20 000 décès ! Des broutilles ! Comment est-ce possible ? On peut également remarquer une très grosse différence concernant le nombre de patients hospitalisés comptabilisés à hauteur der 217 974 malades dans le rapport ATIH contre 261 123 pour SPF ! Une différence non négligeable de 43 149 hospitalisations !
On apprend à la page 5 du rapport qu’au plus fort de la crise de mars 2021, les établissements SSR comptabilisaient 8000 patients Covid-19. Au cours de la seconde vague, le nombre maximum de patients hospitalisés en HAD atteint un maximum de 2500 le 20 novembre 2020. Ces chiffres ne nous paraissent pas extraordinairement élevés, insurmontables pour un système de soins français qui dépense chaque année 210 milliards d’euros de cotisations à la seule Sécurité sociale !
Nous apprenons également que l’âge des patients hospitalisés est très avancé. Il est inférieur à 100 patients sur 100.000 habitants chez les moins de 35 ans tandis qu’il est de 4241 patients pour 100.000 habitants concernant les plus de 95 ! Il est de 2645/100.000 habitants chez les 85 à 94. Ce taux d’hospitalisation est largement supérieur chez les hommes que chez les femmes, que ce soit au niveau de l’hospitalisation ou du soin critique. Le taux des décès hospitaliers est d’ailleurs 1.5 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes.
Qu’en est-il des comorbidités
Là encore, les chiffres sont très clairs. 72 % des patients hospitalisés présentaient une ou plusieurs comorbidités dont la plus importante -50 % des cas-, est le risque cardio-vasculaire (HTA et diabète). Mais le chiffre le plus effrayant et le plus troublant reste celui des carences, c’est-à-dire une dénutrition, carence en vitamine D que nous savons essentielle pour cette maladie ! Il s’agit selon le rapport de 25 % des cas ! Il s’agit clairement ici de personnes qui sont maltraitées et totalement abandonnées par leur entourage. Il faut dire que lorsque l’on observe les repas lamentables que servent les EHPAD à leurs résidents, on comprend mieux l’origine de ces carences !
Les patients admis en soins critiques ont, pour les 2/3, des risques cardio-vasculaires, la moitié a un risque d’hypertension artérielle et, pour 1/3, du diabète. Sans oublier bien entendu l’obésité qui est un risque important de la maladie.
Enfin, un point important est relevé en bas de la page 15 de ce rapport. On apprend que la proportion de patients âgés décédés est beaucoup plus importante chez les HAD/Ehpad, elle est de 31 % ! Ce pourcentage chute à 20 % pour les patients hospitalisés en MCO. D’ailleurs, le décès des patients en HAD survient en moyenne à 7.5 jours d’hospitalisation contre 14 jours en MCO (page 16). Ces 2 chiffres nous démontrent clairement que plus on s’occupe des patients, plus ils ont de chances de survivre à la maladie. On imagine que l’utilisation du Rivotril y est pour beaucoup. C’est également le résultat du triage des malades qui est observé ici ; en effet, la moyenne d’âge des patients est de 69 ans dans le parcours MCO tandis qu’il est de 85 ans dans le parcours HAD/EHPAD.
A diffuser sur tous vos réseaux sociaux, merci.
Puisque vous êtes là…
|
Abonnez-vous à notre newsletter
Rester libre !
N'oubliez pas de partager.
Commenter cet article