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Qui a peur de Georges Soros? - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
Les fondations caritatives Open Society et Assistance appartenant à Georges Soros sont qualifiées d'" indésirables " en Russie. Leur activité est interdite dans le pays Les fondations caritativ...
http://www.brujitafr.fr/2017/06/qui-a-peur-de-georges-soros.html
De grandes ONGs forcent les portes. Nous assistons donc à l'existence d'un système bien rôdé qui permet à de grandes ONGs de rentrer dans les organisations internationales. Le président de l'European Center for Law and Justice raconte que « nous observons non seulement un phénomène d'entrisme, mais aussi de collusion qui peut s'expliquer lorsque l'on considère la puissance financière de ces ONGs », en rappelant que « l'Open society a été dotée de 32 milliards de dollars qu'elle a reversés et investis dans le secteur des droits de l'homme, des média et de la politique depuis 1984 » et que « le problème ne se limite pas à l'Open Society » car « il concerne aussi d'autres grandes fondations privées, telles que Gates, Ford ou Oak ».
L'homme de loi s'appuie sur « le récent livre de Gaétan Cliquennois sur la privatisation des droits de l'homme (Cambridge, 2020) pour argumenter. D'ailleurs, grâce à l'article publié par Valeurs Actuelles, on apprend que « l'ancien secrétaire général du Conseil de l'Europe, Thorbjørn Jagland, parlait de George Soros comme de son « bon ami », tandis que le Commissaire aux droits de l'homme, Nils Muižnieks, fut directeur des programmes ».
Commentaire : L'article de Valeurs actuelles ajoute ceci :
« L'emprise de ce réseau s'illustre désormais de manière publique et débonnaire. Nombre de dirigeants aiment à montrer leur proximité avec messieurs Soros père et fils. C'est le cas par exemple de Jean-Claude Juncker, l'ancien Président de la Commission européenne ou de Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme depuis 2018, photographiée dès sa prise de fonction avec George Soros et son fils. » Et plus loin :
« George Soros et ses lobbyistes ont bénéficié de pas moins de 64 entretiens avec des Commissaires et des hauts responsables de la Commission européenne ; c'est plus, paraît-il, que ce dont bénéficient les chefs d'États européens. » À la question : « Qu'en est-il des suites de votre rapport sur l'emprise des ONG de Soros sur la Cour européenne des Droits de l'Homme ? », Grégor Puppinck répond :
« Ce rapport (accessible ici), qui n'a jamais été contesté sur le fond, a eu un énorme impact en Europe et dans le monde ; plusieurs gouvernements et de nombreux responsable politiques s'en sont saisi. C'est le cas notamment de la Russie et de la Bulgarie. J'ai le sentiment que l'opinion publique est à présent informée et sensibilisée. Ce rapport prouve qu'au cours des dix dernières années, parmi les 100 juges permanents qu'a compté la Cour, 22 sont issus de sept ONG actives auprès de cette même Cour, et que 18 d'entre eux ont siégé dans des affaires impliquant « leur » ONG, en violation des règles élémentaires de la déontologie judiciaire. Parmi ces sept ONG, le réseau Open Society se distingue par le nombre de juges qui lui sont liés (12) et par le fait qu'il finance les six autres organisations citées dans le rapport. » Et à la question « Qu'en est-il des instances de Bruxelles qui ont aussi été saisies ? », le docteur en droit répond :
« De nombreux députés de divers partis politiques ont voulu se saisir de ce sujet, mais la crise sanitaire a bouleversé les agendas. Plusieurs députés au Parlement européen ont toutefois, eux aussi, adressé des questions parlementaires à la Commission européenne et au Conseil européen.
La Commission européenne a répondu par la voix de l'une de ses vice-présidente, Věra Jourová :
« Pas immédiatement, sauf un article du Monde. En revanche, nous sommes maintenant régulièrement la cibles d'attaques médiatiques. La dernière, et la plus importante, fut orchestrée par l'organisation Open Democracy, membre de la galaxie Soros, avec le soutien des lobbys de l'avortement. Cette organisation a publié il y a quelques semaines une pseudo-enquête contre l'ECLJ qui fut relayée simultanément dans une cinquantaine de journaux à travers le monde, dont Time Magazine et EuroNews. Open democracy mobilisa « Tracking the Backlash », son propre réseau informel de journalistes militants créé pour « traquer la réaction [conservatrice] ». Il s'agit pour eux d'entacher la réputation numérique de leurs adversaires politiques. D'après tous ces articles, l'ECLJ serait une menace majeure, qualifiant ses juristes de « croisés » et d'« armée secrète », « infiltrés dans nos institutions démocratiques », comme des « loups déguisés en agneaux ». Les propos de cette organisation sont évidemment outranciers, comme le fut son appel en mars dernier à « l'abolition de la famille », mais ils démontrent toutes la puissance de ces réseaux.
Ce type d'attaque confirme, s'il en était besoin, la nécessité d'exposer de façon objective les réseaux de pouvoir qui constituent le nouveau système de gouvernance, à la fois mondiale et post-démocratique. »
#Scytl : le logiciel qui rend nos votes inutiles... - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
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