Les rédacteurs en chef de VT confirment cette information en provenance de leurs sources locales en Irak et en Syrie. Cela expliquerait la question qu’on se pose depuis le départ: pourquoi et comment cette facilité à éliminer Soleimani, homme du grand secret à la protection et sécurité irréprochable depuis tant d’années ?
Réponse: il était en mission diplomatique commandée pour son pays et à la demande, si on en croit l’info ci-dessous, de Trump et de Pompeo ni plus ni moins… L’Irak a confirmé que Soleimani était en visite officielle et qu’il devait rencontrer le premier ministre. a ce titre, il ne se méfiait pas et a semble t’il baissé la garde. Il y aurait donc bien eu trahison… mais une trahison yankee, qui peut encore être surpris et surtout qui peut encore croire et faire confiance à toute cette clique de menteurs, d’escrocs et de criminels patentés, membres de toute administration yankee que ce soit ?..
Info confirmée: Soleimani assassiné en Irak alors qu’il était en mission diplomatique pour recevoir une lettre en provenance de Trump et Pompeo…
VT editors
5 janvier 2020
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~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Pas d’interception magique de renseignement ne fut nécessaire, nous l’apprenons maintenant depuis l’Irak, pour arranger l’assassinat du général Qassem Soleimani. Nous apprenons en ce moment que l’embuscade a été arrangée au travers des canaux diplomatiques, attirant Soleimani en Irak afin qu’il reçoive [pour l’Iran] une offre de réduction des sanctions de la part du président Trump.
Le général Soleimani a atterri en Irak pour y rencontrer son premier ministre Adel Mahdi, qui devait lui remettre un message pour l’Iran en provenance du président Trump. Au lieu de cela, il y fut assassiné ; la note diplomatique du ministre des affaires étrangères américain Mike Pompeo à l’envoyé iranien Soleimani fut, en fait, une invitation dans une embuscade fatale.
Soleimani s’est envolé depuis Damas et fut tué alors qu’il quittait la zone diplomatique de l’aéroport international de Bagdad. L’Irak agissait comme intermédiaire entre Téhéran et Washington, le général Soleimani agissant comme représentant diplomatique de l’Iran.
Le gouvernement irakien avait demandé au général Soleimani d’organiser et d’entrainer les forces qui ont vaincu l’EIIL / Daesh en Irak (NdT: créé par la CIA et les forces spéciales de l’armée yankee en utilisant l’organisation qu’ils avaient déjà créée au préalable: Al Qaïda en Irak et au Levant / AQIL dont l’EIIL/Daesh est l’héritier direct), un processus qui fut continué en Irak tout comme en Syrie en partenariat avec la Russie et la Turquie en tant que parties prenantes de la coalition d’Astana.
(NdT: pourtant, la Turquie n’a jamais agi contre Daesh, abritant des camps d’entrainement et de repos sur son sol; et favorisant le passage des mercenaires “djihadistes” de la CIA, du MI6 et de Mossad depuis ses frontières, même si depuis la tentative de renversement d’Erdogan par les Yanks dans le cadre de l’élimination des gouvernements des frères musulmans dans la région, Erdogan et la Turquie jouent double voire triple jeu…)
Lire notre dossier sur « L’affaire de l’assassinat de Soleimani par Trump »
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