Selon la directrice du FMI : "Aucun pays n'est à l'abri de la crise" - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
Les efforts pour combattre la crise doivent cependant commencer dans la zone euro qualifiée de "cœur de la crise". La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) estime qu'aucun...
Le mien serait « la réforme totalement inutile et vide de la Lagarde » !
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Oui, parce que pour le moment dans ce qui est annoncé il n’y a rien !
C’est le néant et le vide total. Enfin à première vue.
La bouffonnade environnementale
La BCE veut participer à la transition énergétique. Alors ils ont eu une idée géniale les mamamouchis de la BCE… ils ne prendraient que des obligations (en échange de cash) « vertes » de la part des banques.
Les banques aiment beaucoup l’écologie mais elles ont vite dit à la BCE d’arrêter ses lagourderies. Le vert c’est bien mais uniquement sur les billets américains et en dollars hahahahahahahahaha…. Non parce que quand une banque a besoin d’argent il lui faut de l’argent là maintenant, on ne va pas commencer à chipoter la verditude d’une obligation.
A peine arrivée, la présidente de la Banque centrale européenne s’attelle au vaste chantier de la révision de la politique monétaire qui devra prendre en compte les évolutions économiques récentes : faible inflation chronique et changement climatique.
Dame Christine qui nous promet de grands moments de rire, vient donc de commencer par une « revue de la politique monétaire » parce que « beaucoup de choses ont changé depuis 2003, a expliqué lundi Christine Lagarde.
« Le paysage macroéconomique a été marqué par la grande crise financière et plus récemment par un environnement de faible inflation. Parallèlement, de nouveaux défis sont apparus comme les technologies disruptives et le changement climatique ».
Deux thèmes devraient faire l’objet d’une réflexion approfondie dans les mois qui viennent. La BCE va d’abord réfléchir à la manière dont elle peut, elle aussi, à sa façon, verdir la politique monétaire.
L’autre grand débat qui s’annonce portera sur l’inflation , qui n’a jamais retrouvé son niveau d’avant-crise et s’est installée depuis de longs mois autour de 1 %, loin de l’objectif de 2 % visé par la BCE. Faut-il abaisser la cible ?
En résumé, il faut « verdir » le bilan de la BCE. Bon ça c’est pour amuser la galerie et les gamines qui font des clean walk (c’est l’expression utilisée et je sais que ça se dit marche de nettoyage en français) un i-phone à la main et menées par la mini-prêtresse Greta.
Le truc important en fait c’est le second, à savoir l’abandon éventuel du seuil de 2 % d’inflation cible. Cela voudrait dire que la BCE renoncerait à stimuler et à augmenter plus l’inflation en zone euro, et là, c’est potentiellement plein de conséquences.
Charles SANNAT
Source Les Echos.fr ici
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