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L'esprit est comme un parapluie = il ne sert que s'il est ouvert ....Faire face à la désinformation


Benalla: Philippe boycotte le Sénat, Griveaux dénonce un «coup politique»

Publié par Brujitafr sur 22 Mars 2019, 05:58am

Catégories : #ACTUALITES, #POLITIQUE

Quel humour ce Benjamin !!!

Benalla: Philippe boycotte le Sénat, Griveaux dénonce un «coup politique»

Alors qu'Edouard Philippe préfère éviter les questions du Sénat au gouvernement, Benjamin Griveaux, porte-parole de l'Élysée dénonce un «coup politique» et une «instrumentalisation».

Le Sénat, en choisissant de remettre entre les mains de la justice les cas d'Alexis Kohler et Patrick Strzoda, notamment, dans le cadre de l'affaire Benalla, réalise un acte symbolique. Alors que l'Élysée indique qu'ils ne commentera pas la décision du Sénat, Edouard Philippe a lui choisi de boycotter les questions au gouvernement, en prévenant, d'avance, Gérard Larcher par téléphone, indique Matignon au Figaro. «C'est un premier ministre qui a toujours défendu le Sénat, défend l'entourage d'Edouard Philippe. Il est très attaché au bicamérisme. Le Sénat c'est la chambre haute, la chambre de la sagesse, qui n'a pas habitué les Français à faire de la politique politicienne». «Edouard Philippe a du respect pour l'institution, renchérit un conseiller gouvernemental. Mais respect ne veut pas dire baisser la tête». Au sein du groupe Les Républicains au Sénat, toutefois, on juge «ridicule» l'absence d'Edouard Philippe.

«Nous ne céderons rien à cette instrumentalisation politique»

Benjamin Griveaux, quant à lui, a décidé de se saisir de la question. «Nous avons affaire à une décision politique (…), a indiqué le porte-parole du gouvernement, au micro de Public Sénat. Il faut que le Sénat l'assume comme tel. Elle ne repose sur aucun fondement, ni en fait ni en droit. Au fond, à l'issue de cette procédure, les masques tombent. On est dans une instrumentalisation à des fins politiques, d'une affaire sérieuse, grave».

Benjamin Griveaux pointe du doigt un «coup politique», ne relevant «ni de la mesure, ni de la raison». Pour lui, la période se prête trop peu aux «jeux politiciens». «La Haute Assemblée devrait marquer l'importance de cette période, où on a besoin d'unité nationale, regrette-t-il. On doit faire fi des petits jeux politiciens, pour se rendre à l'intérêt général, et la Haute-assemblée n'est pas au rendez-vous». Revenant au gouvernement, il s'empresse d'ajouter: «Nous sommes extrêmement calmes, déterminés, et sereins. Nous ne céderons rien à cette instrumentalisation politique».

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