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USA : Le procureur général de New York, Eric Schneiderman, a démissionné à la suite d'allégations d'agression par quatre femmes.

Publié par Brujitafr sur 10 Mai 2018, 07:15am

Catégories : #USA, #POLITIQUE

USA : Le procureur général de New York, Eric Schneiderman, a démissionné à la suite d'allégations d'agression par quatre femmes.
Michelle Manning Barish (above): After four weeks of being involved with Mr Schneiderman, she says that, as they were preparing for bed and still fully clothed, he "all of a sudden, just slapped me, open-handed and with great force, across the face" and then pushed her down and began to choke her. She says: "This was under no circumstances a sex game gone wrong... I did not consent to physical assault." She says he later said: "You know, hitting an officer of the law is a felony."

Michelle Manning Barish (above): After four weeks of being involved with Mr Schneiderman, she says that, as they were preparing for bed and still fully clothed, he "all of a sudden, just slapped me, open-handed and with great force, across the face" and then pushed her down and began to choke her. She says: "This was under no circumstances a sex game gone wrong... I did not consent to physical assault." She says he later said: "You know, hitting an officer of the law is a felony."

Tanya Selvaratnam: Says Mr Schneiderman warned her he could have her followed and phone-tapped and said he would kill her if she broke up with him, all of which he denies. The Sri Lanka-born author and actor says Mr Schneiderman called her "brown slave", adding: "Sometimes, he'd tell me to call him Master, and he'd slap me until I did."

Tanya Selvaratnam: Says Mr Schneiderman warned her he could have her followed and phone-tapped and said he would kill her if she broke up with him, all of which he denies. The Sri Lanka-born author and actor says Mr Schneiderman called her "brown slave", adding: "Sometimes, he'd tell me to call him Master, and he'd slap me until I did."

USA : Le procureur général de New York, Eric Schneiderman, a démissionné à la suite d'allégations d'agression par quatre femmes.

Le magazine New Yorker a publié un rapport citant les femmes, dont deux ex-petites amies, qui accusent M. Schneiderman, 63 ans, de les frapper.

 

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M. Schneiderman a été un ardent défenseur du mouvement #MeToo contre le harcèlement sexuel et un adversaire féroce du président Donald Trump.

Dans une déclaration, M. Schneiderman a déclaré qu'il "conteste fermement" les allégations.

"Dans l'intimité des relations intimes, j'ai participé à des jeux de rôle et à d'autres activités sexuelles consensuelles ", dit la déclaration. "Je n'ai agressé personne. Je n'ai jamais eu de rapports sexuels non consensuels, ce qui est une ligne que je ne franchirais pas."

M. Schneiderman a dit : "Bien que ces allégations ne soient pas liées à ma conduite professionnelle ou aux activités du bureau, elles m'empêcheront de diriger le travail du bureau à ce moment critique.

Comment'MeToo' expose l'ampleur de l'abus sexuel.
Est-ce que #meToo change Hollywood ?
Pourquoi les femmes craignent un retour de flamme pour #MeToo

M. Schneiderman est devenu procureur général en 2010 et avait l'intention de se présenter à nouveau à ce poste cette année.

Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, avait demandé la démission de M. Schneiderman, à la suite des rapports.

"Personne n'est au-dessus de la loi, y compris le meilleur juriste de New York. "Je ne crois pas qu'il soit possible pour Eric Schneiderman de continuer à servir comme procureur général."

M. Cuomo a déclaré qu'il demanderait à un procureur d'enquêter sur les allégations.

Michelle Manning Barish : Après quatre semaines de relation avec M. Schneiderman, elle dit que, alors qu'ils se préparaient à aller au lit et encore tout habillé, il "m'a soudainement giflé, les mains ouvertes et avec beaucoup de force sur le visage", puis l'a poussée vers le bas et a commencé à l'étouffer. Elle dit : "Ce n'était en aucun cas un jeu sexuel qui a mal tourné..... Je n'ai pas consenti à l'agression physique." Elle dit qu'il a dit plus tard : "Vous savez, frapper un officier de la loi est un crime."

Tanya Selvaratnam : M. Schneiderman lui a dit qu'il pouvait la faire suivre et la mettre sur écoute et lui a dit qu'il la tuerait si elle rompait avec lui, ce qu'il nie. L'auteure et actrice d'origine sri-lankaise dit que M. Schneiderman l'appelait "esclave brune", ajoutant : "Parfois, il me disait de l'appeler Maître et il me giflait jusqu'à ce que je le fasse."

Troisième partenaire romantique : Il dit qu'il l'a soumise à plusieurs reprises à des violences physiques non consensuelles.

Quatrième femme : Un éminent avocat, dit M. Schneiderman l'a giflée avec force après qu'elle ait refusé ses avances.

http://www.bbc.com/news/world-us-canada-44035718

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