Ce lundi 16 octobre, Brigitte Macron a accompagné Marlène Schiappa et d'autres membres du gouvernement au théâtre Antoine, à Paris, pour assister à la pièce "Les Chatouilles (ou la danse de la colère)" dont le sujet principal est la pédophilie.
Cet article vous a intéressé ? Moins de Biens Plus de Liens ! a besoin de ses lecteurs pour poursuivre son travail, faites un don.
C'est une sortie culturelle forte en signification qu'a faite Brigitte Macron, ce lundi 16 octobre. La première dame a assisté à la pièce de théâtre "Les Chatouilles (ou la danse de la colère)" d'Andréa Bescond au théâtre Antoine, à Paris.
Pour assister à cette représentation dont le thème principal est la pédophilie, elle était accompagnée de plusieurs membres du gouvernement : Marlène Schiappa, secrétaire d'État à l'égalité entre les femmes et les hommes, Nicole Belloubet, ministre de la Justice, et Benjamin Griveaux, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances. Le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, était lui aussi présent.
Si la venue de Brigitte Macron est restée secrète très longtemps, la première dame avait bel et bien noté depuis plusieurs jours ce rendez-vous dans son agenda. En effet, selon les informations de Closer, l'épouse du président de la République a été invitée par l'auteure Andréa Bescond qu'elle connaît personnellement et Brigitte Macron avait prévu de se rendre à cette représentation depuis longtemps. Toujours selon nos informations, Brigitte Macron reçoit énormément de courriers sur les violences sexuelles faîtes aux mineurs et elle souhaitait assister au débat qui a suivi la pièce, sans toutefois y participer.
Brigitte Macron s'est rapidement exprimée sur le sujet à sa sortie du théâtre :
"Je pousse vraiment à rompre le silence, c'est formidable. Quelque chose est en train de se passer".
À son arrivée, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a tenu elle à expliquer sa présence : "C'est important parce qu'il y a eu des affaires récemment qui nous ont beaucoup choqués, qui sont d'ailleurs pour certaines d'entre elles encore en jugement". Elle a également fait référence au mot-clé #BalanceTonPorc qui permet, ces derniers jours, à de nombreuses femmes sur Twitter de raconter les faits odieux de harcèlement sexuel qu'elles ont subis : "Je crois qu'il ne faut pas non plus tomber dans des excès qui aboutiraient à de la délation mais je crois que ce n'est pas le cas pour le moment".
Commenter cet article