Alors que les « sages » ont validé l’essentiel des textes sur la « loi de moralisation », qu’une polémique autour d’une députée pro-Macron qui a facturé des visites de l’Assemblée bat son plein. Entre le pouvoir et la conscience, on préfère s’asseoir sur la conscience. Voilà un énergumène qui n’a rien à faire en politique, incapable qu’il est, de contrôler ses nerfs. Les pétitions vont-elles fleurir pour demander son départ ? Dans la bande à Macron, les « affaires » sont légions et ça nous parle de « moralisation »….
Le député M’jid El Guerrab, mis en examen pour « violences volontaires avec arme », est devenu membre de la commission de la Défense de l’Assemblée nationale, selon le journal officiel de vendredi.
Le député LREM avait automatiquement cessé d’être membre de la commission des Finances après son départ du groupe La République en marche, conformément au règlement de l’Assemblée nationale.
Certains souhaitent qu’il démissionne de son mandat de député
Elu de la 9e circonscription des Français de l’étranger, M’jid El Guerrab a violemment agressé la semaine dernière à coups de casque le responsable socialiste Boris Faure lors d’une altercation à Paris.
Plusieurs responsables l’ont appelé à démissionner de son mandat de député. « Si j’étais lui, je serais extrêmement mal, je m’en défendrais [devant] la justice et si la justice confirmait les faits tels qu’évoqués, tels qu’ils sont reprochés, je pense que je démissionnerais », a notamment déclaré le porte-parole du gouvernement et secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement, Christophe Castaner. Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée, a au contraire estimé que M’jid El Guerrab était « face à sa conscience » et « ses électeurs » pour la suite de son mandat.
Source 20Minutes
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