Mais, bien que l'élection de Trump en novembre ait été un knock-down pour le NOM, les grands projets des globalistes n'ont pas été complètement démantelés.
Le carnage d’hier soir et de ce matin dans les rues de Hambourg témoigne de ce fait incontestable. Les mercenaires de George Soros - Antifa et Black Bloc - étaient au travail, incendiaient les voitures et terrorisaient les innocents, essayant de transformer la ville en enfer sur terre.
Tout comme DAECH et les Islamistes causent la mort et la destruction dans les points chauds du monde entier grâce aux dollars des mondialistes, les terroristes domestiques comme Antifa provoquent également le chaos dans les grandes villes occidentales. Tout cela fait partie du plan visant à déstabiliser les États-Unis et l'Europe, et à supprimer les libertés civiles, la vie privée et le droit à une vie décente.
Angela Merkel, l'animatrice du G20, gloussant et trottinant toute la journée, refuse de reconnaître que ses désastreuses frontières ouvertes ont fourni à l'élite mondialiste les terroristes, idiots-utiles, nécessaires pour faire leur sale travail pour eux.
Voici ce qu'ils se sont dit lors de leur face-à-face
Le président américain a rencontré son homologue russe pour la première fois lors du sommet du G20. Une "alchimie positive" mais aussi un échange "vigoureux".
Lors d'un premier tête-à-tête de près deux heures et demie,
Donald Trump et
Vladimir Poutine ont abordé la question de l'ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine mais sont convenus de passer outre des crispations pour se concentrer sur l'amélioration de leurs relations.
Donald Trump, qui s'est dit
"honoré" de rencontrer le président russe à l'occasion du
sommet du G20 à Hambourg, a suscité les critiques de ses adversaires démocrates, qui jugent que le nouveau démenti apporté vendredi par Vladimir Poutine dans cette affaire a été trop bien accueilli.
Les présidents américain et russe, qui avaient échangé une poignée de main et des sourires à l'ouverture du sommet en fin de matinée, ont entamé leur entretien vers 16h, aidés de traducteurs.
"Désaccord insoluble à ce stade"
A l'issue de la rencontre, le secrétaire d'État Rex Tillerson a évoqué devant des journalistes une "alchimie positive" entre les deux dirigeants. Donald Trump a ouvert les discussions sur les "inquiétudes du peuple américain quant à l'ingérence russe dans l'élection de 2016" et un "échange vigoureux et long" s'est ensuivi, a déclaré Rex Tillerson. "Le président a interpellé le président Poutine à plusieurs reprises sur la question de l'implication de la Russie. Le président Poutine a réfuté toute implication comme il l'a déjà fait auparavant."
Son homologue russe, Sergueï Lavrov, a pour sa part indiqué que Donald Trump avait accepté les explications de Vladimir Poutine. "Le président américain Trump a dit avoir entendu les démentis du président russe Poutine (...). Il les a acceptés", a-t-il dit. Tillerson a précisé que les deux chefs d'État ont cherché à surmonter la question. "Les présidents se sont concentrés sur les moyens d'avancer, partant de ce qui pourrait bien être un désaccord insoluble à ce stade", a déclaré Tillerson, évoquant un engagement russe à "ne pas interférer dans les affaires des États-Unis et notre processus démocratique".
Cette explication a été mal accueillie au sein des démocrates à Washington. "Travailler à compromettre l'intégrité de notre processus électoral ne peut et ne doit pas être un domaine où 's'accorder sur un désaccord' est une conclusion recevable", a déclaré dans un communiqué le chef de file des démocrates au Sénat, Chuck Schumer.
Amabilités en tous genres devant la presse
Donald Trump et Vladimir Poutine ont rivalisé d'amabilités lors d'une courte pause devant la presse, avant de poursuivre leurs discussions. "Le président Poutine et moi-même avons parlé de divers sujets et je crois que cela s'est très bien passé", a déclaré à la presse Donald Trump, assis aux côtés de son homologue russe. "Nous avons eu de très, très bons échanges. Nous espérons que cela entraînera de bonnes choses pour la Russie, les États-Unis et toutes les personnes concernées. Et c'est un honneur d'être à vos côtés", a-t-il dit à Vladimir Poutine.
"Nous avons discuté à de nombreuses reprises au téléphone (...) mais une conversation téléphonique ne suffit pas", lui a répondu le président russe, par l'intermédiaire de son traducteur. "Je suis très heureux de pouvoir vous rencontrer en personne, monsieur le président", a-t-il poursuivi.
Le tête-à-tête aurait pu se poursuivre encore longtemps si Melania Trump, l'épouse du président américain, ne les avait pas pressés de mettre un terme à la rencontre, a raconté Rex Tillerson, le secrétaire d'État américain.
Avant la rencontre, Donald Trump avait dit qu'il souhaitait trouver des moyens de travailler avec son homologue russe, un objectif rendu difficile par les camps adverses soutenus par les deux pays dans les conflits ukrainien et syrien, et les accusations d'ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine de 2016.
Trêve en Syrie
Les deux hommes ont exposé leurs divergences sur l'approche du dossier nord-coréen, a ajouté le chef de la diplomatie américaine. "Les Russes l'abordent un peu différemment de nous et nous allons donc poursuivre ces discussions et leur demander d'en faire davantage. La Russie a des échanges économiques avec la Corée du Nord", a-t-il dit à la presse.
Sur le dossier syrien, largement évoqué, les États-Unis, la Russie et la Jordanie ont conclu une trêve dans le sud-ouest syrien, a déclaré Rex Tillerson après la rencontre. Ils se sont également accordés sur la création dans la région d'une zone de "désescalade", a-t-il ajouté.
Le président US pris de court par la Russie
DEBKAfile, site proche du milieu du renseignement de l’armée israélienne, revient sur le feu vert russe à l’Iran pour qu’il accueille le sixième round des pourparlers syro-syriens : « Le fait que la Russie ait donné son aval à ce que l’Iran accueille Astana 6 prive de facto les États-Unis, la Jordanie et l’opposition syrienne de la possibilité d’y assister. Moscou vient ainsi d’éliminer les États unis, un véritable choc pour la partie américaine. »
Et le site de poursuivre : « En effet les Russes sont sur le point de faire passer un message aux Américains : ils sont prêts à soutenir jusqu’au bout la présence militaire iranienne en Syrie ».
DEBKAfile n’y apporte aucun commentaire, mais ce message est aussi adressé à Israël, dont les officiels ne cessent de réclamer ces derniers temps le « départ de Assad, de l’Iran et du Hezbollah » de Syrie.
Un premier drone israélien a d’ailleurs été abattu mardi dans le sud de la Syrie. À Tel-Aviv, le message a été reçu 5 sur 5 : les Israéliens ont arrêté net leurs frappes contre les positions de l’armée syrienne à Quneïtra.VOIR AUSSI:
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