# BREAKING NEWS # Attention, les loulous, on attache ses ceintures, s'il vous plaît car ÇA VA SWINGUER ( via Maxime F.)
Prolongation de l'Etat d'urgence, allez ajoutons encore 12 mois, et le tout pour votre sécurité......
Un portrait du président avec un trou au milieu du front a été posté, assorti de cette légende en arabe : "L'heure de l'action dans moins de 64 jours."
Le message est arrivé au commissariat du 8e arrondissement, situé non loin du palais de l'Élysée, le lendemain de la passation des pouvoirs. Ce n'est pas la première fois que le nouveau président de la République est directement visé. Durant la campagne, un individu qui s'était procuré son adresse mail personnelle l'avait pris pour cible de manière très circonstanciés. Le corbeau, qui se présentait comme un pied-noir, s'était radicalisé après les propos de Macron tenus à Alger sur la colonisation.
La veille du second tour, la presse britannique faisait état d'un appel de l'organisation État islamique à « poignarder » les deux finalistes de la présidentielle française. Et une fois élu, le président de la République lui-même sera menacé dans un autre courrier d'être tué au couteau.
Une attaque kamikaze à l'Élysée, un scénario crédible
« Ce qui est nouveau depuis quelques semaines, ce sont les menaces sur le palais de l'Élysée lui-même », constate un haut fonctionnaire du renseignement. « Difficile de le dissimuler, mais pas commode d'en faire état. » Le Palais ciblé par un attentat kamikaze ? Le scénario avait été pris au sérieux alors que François Hollande terminait tranquillement son séjour à l'Élysée.
En un mois, au moins trois personnes fichées S pour leurs liens avec la mouvance islamiste radicale ont été repérées près de l'Élysée. Dernière en date, le 15 mai. Plus tôt, le hasard et l'expérience de l'équipe française de protection de l'ambassadeur des États-Unis – sa résidence est à quelques mètres du palais présidentiel – ont permis de repérer un individu au pedigree inquiétant.
Hors les murs, la famille élargie du président peut elle aussi être une cible.
Contacté, l'Élysée n'a pas souhaité faire de commentaires.
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